Discamer : Harry et compagnie ne m'appartiennent pas, seulement leurs états
d'âme au moment où j'écris cette fic.
Résumer : Introspection sentimental de nos héros, juste avant la bataille
final. Très tristeuuuuh snifffff.
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Est-ce que notre vie est entièrement fondée sur notre passé ? Est-ce que le
fait d'avoir fait ses premiers pas à 12 mois à plus d'importance que de les
avoir faire à 13 ? Est-ce qu'on est plus intelligent si on suit en court ?
Est-ce qu'on aura un meilleur métier dans ce cas ?
Tant de questions tournaient dans sa tête depuis peu de temps. Est-ce que
sa vie aurait été autrement s'il avait été quelqu'un d'autre, si les choix
et les actes avaient été autre.
Si seulement on pouvait savoir à l'avance où on pouvait poser nos pas. Où
nos choix nous conduisent avant de se rendre compte qu'on avance à toute
allure dans un mur ?
Oui Séverus Rogue se posait souvent ces questions. S'il avait su, jamais il
n'aurait fait les choix qu'il a fait, jamais ses actes ne l'auraient amener
à ce qu'il est devenu.
Un moldue avait dit qu'il fallait mieux vivre avec des regrets qu'avec des
remords, pourtant ses choix, il les regrettaient et il avait des remords de
les avoir suivi.
Sa vie triste, sombre comme les cachots où il passait la plupart de son
temps. Par obligation, certes mais le soleil lui manquait des fois. Voilà
encore un regret. On ne vit pas mieux avec eux.
Mais pourquoi est-il si triste, si nostalgique, si désespérer. Sûrement
parce que le dernier combat approche. L'ultime combat. Celui du bien contre
le mal.
Il ne savait pas où il se trouvait dans tout cela. Avec le bien ? Avec le
mal ? Ses doutes, ses souffrances lui revenaient, ses choix plus que
douteux, ses amours plus qu'irréel.
C'est vrai qui pourrait l'aimé, lui le taciturne maître de potion,
sarcastique, sombre, si .... méchant !!!
Pourtant il savait qu'il aimait. Oui il était amoureux de tout son âme et
de tout son cœur. Sa vie entière était dévoué à la personne qui vivait dans
ses tripes.
Mais il savait que jamais cette personne ne partagerait son amour, jamais
elle ne serait amoureuse de lui.
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Elle souffrait de se savoir partager ainsi. Son cœur saignait, et son
imagination se mit en marche. Elle écrit un poème.
Mon cœur saigne
Séparé par une fissure
Que nul ne réparera
D'un coté un amour éloigné
De l'autre une amitié séparé
Que faire lorsque notre cœur
Se trouve tiraillé
Pour ses deux êtres chers
Que nul ne voudrait séparé
Un être que l'on aime
Un autre que l'on adore
Que faire de ses deux amours
Aucun choix n'est possible
De peine en peine
Mon cœur hésite
L'un ou l'autre
Mais pas les deux
Mon cœur pleure
De toutes ses séparations
Que de larmes versés à leurs attentions
Que même le bonheur ne m'effleure.
Ah ! châtiments bien mérité
Que de souffrir pour deux êtres aimés
Nul ne refermera mon cœur meurtri
A part la mort pour l'infini.
Les larmes coulaient sur ses joues. Les larmes ... salutaires, peut-être.
Elle était amoureuse de deux personnes en même temps, cherchant la personne
parfaite qu'ils formaient lorsqu'elle les voyaient ensemble.
Une complémentarité qu'elle n'obtiendra jamais. Non jamais Hermione ne
trouverait quelqu'un qui serait la synthèse d'eux.
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Quand tu me dis non !
Cela éveille en moi
Les angoisses anciennes
Des peurs encore inexplorées
Des ombres fugitives d'appels inexpliquées
Des abîmes d'inquiétudes sourdes
Quand tu me dis non !
Le ciel se ferme
Et ma vie s'arrête
L'espoir se déchire
Et la mort se découvre
Et je retrouve
Le visage fascinant
Des instants de vertiges
Pourtant
Quand tu me dis non !
C'est ton existence
Que tu me révèles
Que tu me rappelles
En te refusant
C'est ton désir à Toi
Que tu affirmes
Que tu me tends
A bout de peurs
A fleur d'espoir
Quant tu me dis non !
Et que je l'entends
Et que je l'accepte
Sans me sentir nié
Sans me sentir écartelé
Nous pouvons commencer à Etre
Toi et Moi
Instant précaire
Mais ô combien fertile
D'une vraie rencontre.
Le jeune sorcier blond releva la tête de son recueil de poème et laissa un
larme couler sur ses joues. Il était amoureux de la seule personne sur
cette terre qui jamais lui pardonné ce qu'il était depuis sa naissance.
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Dumbledore regarde dehors par la fenêtre que son bureau. Il semble
rêvasser. Se souvenir d'un ami qui avait écrit quelque chose qui lui
semblait si réel maintenant. Il lui semblait que ce moldue, Diderot, lui
avait ouvert le cœur sur le futur, mais s'il était mort depuis longtemps.
Doucement dans sa tête, la litanie des mots repris sa place, heureusement
que sa mémoire ne lui échappait pas malgré son grand age.
« Les idées que les ruines réveillent en moi sont grandes. Tout
s'anéantit, tout périt, tout passe. Il n'y a que le monde qui reste. Il n'y
a que le temps qui dure. Qu'il est vieux ce monde ! Je marche entre deux
éternités. De quelque part que je jette les yeux, les objets qui
m'entourent m'annoncent une fin et me résignent à celle qui m'attend.
Qu'est ce que mon existence éphémère, en comparaison de celle du rocher qui
s'affaisse, de ce vallon qui se creuse, de cette forêt qui chancelle, de
ces masses suspendues au-dessus de ma tête et qui s'ébranlent ? Je vois le
marbre des tombeaux tomber en poussière, et je ne veux pas mourir ! Et
j'envie un faible tissu de fibres et de chair, à une loi générale qui
s'exécute sur le bronze ! Un torrent entraîne les nations les unes sur les
autres au fond d'un abîme commun moi, moi seul, je prétends m'arrêter sur
le bord et fendre le flot qui coule à mes côtés ! »
Le vieux sorcier frissonna.
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Dans le magasin où nous nous sommes rencontrés, le temps a tout effacé. Une
musique vient m'envahir comme un orage de chagrin. Je suis contre le faite
de te perdre. Tous les violons se mettront à jouer en même temps lorsque tu
partiras.
Les années passeront et je ne cesserais de pensées à ce magasin où les
sentiments se sont bousculés dans ma tête lors de notre rencontre. Le même
refrain se fait entendre, jamais il ne me fera oublier tes yeux de cette
rencontre où, pour cette première journée, qui était le plus belle, celle
qui nous avait réunis.
Dans le magasin où nous nous sommes rencontrés, le temps maintenant à tout
emporté, effacé, mais pas dans mon cœur car c'est gravé
Si seulement tu pouvais comprendre à quel point je t'aime, tu serais étonné
de trouver tant d'amour pour toi chez quelqu'un que tu méprise plus que
tout.
Harry sera une photo sur son cœur. Une photo d'un sorcier blond dans un
magasin de vêtement pour sorcier.
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Comment dois-t-on faire, lorsque l'envie de verser des larmes vous éprend,
mais que rien ne veut s'enfuir de nos yeux embrumées d'eau ?
Comment crier l'amour que l'on porte sur son cœur à l'élu du notre, quand
aucuns sons ne peut vous parvenir, comme si en un instant votre voix
s'était tue, et, à la place la lueur d'espoir qui s'était animé en vous il
y a de cela si longtemps, maintenant s'était à jamais éteinte ! Comment ne
pas plonger dans le désespoir lorsque ce triste évènement vous tombe
dessus, comme tombe la pluie sur nos têtes nues !
Comment la vie parfois peut vous apparaître comme une injustice, qui ne
s'abat que sur vous, et que des jours comme tous les autres vous paraissent
moroses.
Eh oui ! C'est la triste réalité du ressentiment que j'éprouve de l'amour.
Ah l'amour, c'est un bien grand mystère encore peu découvert. Cet amour qui
parfois peut être aussi cruel que merveilleux. Cet amour éternel mais
parfois éphémère, une sorte de bonheur que l'on ne peut atteindre.
Voilà ce qui est pour moi l'amour, un étendu vaste et calme avec quelque
fois ses tempêtes et ses naufrage qui ravages nos pauvres cœurs souffrants
de douleurs....
Pourquoi fallait-il que Ron soit tomber amoureux d'elle !!!
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Snifffffffffffffffff sniffffffffffff je sais mais une p'tite review pour me
dire que je vous ai pas trop fait pleurer me ferait le plus grand bien !
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