La dernière chose qui pouvait arriver

Résumé : C'est vraiment la dernière chose qui pouvait arriver à Idril, se retrouver en Terre du Milieu ! Elle savait qu'elle était une elfe et qu'un obscur secret entourait sa naissance, mais le choc fut grand ! Surtout lorsqu'elle se retrouve face à l'elfe le plus arrogant du SDA ! Soyez indulgents, c'est ma première fic ! Reviews please !

CHAPITRE I

Prologue

Idril avait 17 ans, c'était une jeune femme extrêmement douée pour diverses choses comme la magie, les arts martiaux et qui adorait la lecture. Physiquement elle était assez mignonne, avec des yeux noisette et une chevelure châtain clair avec quelques reflets dorés. De plus elle était assez bien faite. Mais cette apparence « humaine » était en réalité un astucieux déguisement, car Idril, était en fait une elfe. Une elfe très belle avec une longue chevelure si noire qu'elle en paraissait bleue, et ses yeux étaient d'un bleu très étrange où se mêlait du vert.

Idril vivait en Angleterre depuis l'âge de 9 ans, depuis que son père y avait été nommé ambassadeur de la France. Elle avait donc fait ses études au collège Poudlard, en compagnie d'un certain Harry Potter qui s'était révélé être son cousin au troisième degré, mais elle ne l'avait apprit que lors de sa quatrième année, lors du retour de Lord Voldemort. Cette année là, tout le monde sut qu'elle était une elfe, car son déguisement perdit son effet à cause de la présence maléfique du Seigneur des Ténèbres. Celui-ci ignora sa véritable nature jusqu'à la tragique soirée au Ministère de la Magie, où il l'aperçut, elle et ses oreilles pointues. Avant de disparaître avec Bellatrix, il lui avait jeté un regard étrange, intrigué. Et elle avait alors pressentit que tout ne faisait que commencer pour elle. En effet, dans les mois qui suivirent, elle échappa de justesse à deux tentatives d'enlèvements. Dumbledore l'emmena alors avec Harry en sécurité chez les Weasley en attendant la Rentrée scolaire à Poudlard. Ce fut la pire rentrée qu'elle avait jamais connue : Idril fut observée comme une bête de foire, les élèves l'insultait, ou avaient peur d'elle. Fort heureusement, ses meilleurs amis, Harry, Ron, Hermione, la majeur partie des Gryffondor et certains élèves des autres maisons avaient fait comme si rien ne s'était passé, et continuait à lui parler comme avant. Mais elle pouvait encore utiliser son déguisement en présence des moldus, ce qui lui était fort utile et lui assurait une certaine tranquillité. L'année fut dure, il y avait chaque jour son lot de morts, de disparitions, mais pourtant, Idril savait qu'elle y survivrait, que c'était son destin, et elle fit de son mieux pour soutenir et aider Harry lors de la mort de Dumbledore. Assassiné ! Il avait été assassiné par le professeur Rogue, un homme qu'elle avait toujours respecté malgré ses agissements souvent injustes envers les Gryffondors. Si elle avait comprit la haine qu'Harry ressentait pour cet homme, elle ne désirait jamais sa mort et elle éprouvait de la pitié pour cet homme à présent traqué comme une bête par les Aurors du Ministère de la Magie.

Idril avait décidée d'accompagner Harry dans son dangereux périple après avoir assisté en sa compagnie au mariage de Bill et Fleur qui devait avoir lieu dans trois jours. Pauvre Bill ! Un jour ses pouvoirs seraient assez développés pour lui rendre son visage d'autrefois. Mais pour l'instant, son père l'avait convoquée dans la demeure familiale dont l'emplacement était incartable, et surtout secret. Il lui avait dit dans le message qu'il lui avait envoyé à Poudlard à la fin de l'année, qu'il avait d'importantes révélations à lui faire et des choses à lui remettre.

Elle espérait au fond d'elle, que son père apporterait les réponses aux questions qu'elle se posait depuis toujours : « Quel était le secret de sa naissance, de ses origines ? », « Pourquoi ne lui avait on pas dit plus tôt ? » et « surtout, pourquoi avait-t-elle l'impression d'être crainte même par les siens ? »

C'est en relisant cette lettre qu'elle pénétra dans le parc du manoir familial, qui se trouvait quelque part Provence, en France.

Oui, aujourd'hui elle saurait !