Disclaimers : Haikyuu ne m'appartient pas.
Coucou, voici une petite pause inspiration avec deux petits OS faits à la va-vite. Au menu, du HinaTsuki pour le premier et du KenKuro pour le deuxième. Merci kama-chan59 pour ta review sur Cutie Pie. C'est vrai que Yamaguchi est du genre timide mais dans certains doujins YamaShima et YamaTsuki... Voilà. Pour les fics, je reviens sur du POV avec du citron cette fois-ci et... euuuh bonne lecture. (J'ai hooooonte). :)
Je ne sais pas pourquoi mais j'ai toujours faim.
Je ne parle pas seulement de manger, je veux dire, j'adore le riz à l'oeuf, les brioches que nous achète le capitaine et tout ça mais là, ce n'est pas pareil.
"Clic... Clic..."
Je sais aussi que je commence à avoir très, très, très, faim quand on est sur le point de perdre quand on joue un match. Moi, ça me donne encore plus envie de bouffer nos adversaires et je ne suis pas le seul, Kageyama est aussi affamé que moi.
"...Clic, clic..."
Non, là, c'est une faim bizarre qui se manifeste à chaque fois que je le vois, lui.
Quand il se moque de moi, surtout. Ça m'ouvre l'appétit.
"Mmmm... mmmm." Suga-san a dit un jour que tout le monde a ses secrets et il n'a pas tort.
Moi, j'en ai un en tout cas et...
"Mmmmm"
Ah, qu'est-ce que ça me fait sourire quand il est comme ça.
"Désolé, je ne t'entends pas."
Aaaah, c'est tellement bon et tellement chaud d'aller et venir en lui.
J'adore comment il est étroit aussi.
C'est vraiment délicieux.
"Clic... Clic, clic..."
Le son des chaines font une jolie musique. "Si tu n'arrêtes pas de bouger, je ne pourrai pas jouir. C'est ce que tu veux?"
Il s'arrête.
Je le contemple en caressant un moment ses hanches.
Sa peau toute pâle, ses joues roses, ses tétons percés qu'il cachait à tous sauf à moi.
Sa bouche baillonnée par mon propre sous-vêtement souillé de sa salive.
Ses yeux mordorés qui me regardent docilement.
Ses longues jambes sur mes épaules.
Ses poignets enchainés au-dessus de sa tête.
Qu'est-ce qu'il est beau! Je pourrai le regarder comme ça pendant des heures.
Un mouvement de hanches.
Ah, il en veut encore.
"Sauf que c'est moi qui décide, déclarai-je avec un grand sourire, voyons comment tu réagis si je te touche ici, j'ajoute en pinçant doucement ses tétons.
Kei n'avait décidé juste de se faire juste des petits percings. Pas d'anneau. Il dit que ça manque d'esthétisme.
"... Clic, clic, clic..."
Il se cambre et se contracte autour de moi.
"Mmmmm."
Purée, il va me faire jouir si ça continue.
Je vais plus vite, plus fort aussi en le contemplant dans son plaisir.
Ses beaux yeux semblaient plus sombres.
Ils me regardent à l'air de dire "Prends-moi encore."
Magnifique.
J'y vais plus brutalement cette fois-ci tout en sachant qu'il adore ça mais je fais quand même attention à respecter ses limites.
Sinon, ce n'est plus un jeu.
Oooooh, ce que c'est bon de bouger en toi, Kei.
Mes hanches y vont toutes seules, ma faim continue de monter.
J'en veux encore, encore, encore.
Je ne peux pas me lasser de cette sensation.
Tu es si délicieux, mon Kei.
Je me régale.
Tu te contractes encore plus quand je te caresse.
"Cliiic!"
"Mmmpf!"
Ça y est... Je viens... en toi.
Je me répands bien que le préservatif a tout retenu puis je me retire.
Tu as joui sur ma main. C'est tout chaud.
Après l'avoir jeté la capote à la poubelle et essuyé ma main sur ma cuisse, je te rejoins pour te détacher et retirer mon caleçon de ta bouche. Pas grave, j'en ai un de rechange comme toujours quand je viens chez toi. Je regarde les traces rouges sur tes poignets.
Je les embrasse tendrement. "Ça va?
- Tu y es allé mollo, ce soir, me répond Kei de son ton moqueur, aurais-tu perdu la cadence?
- Je ne voulais pas te faire mal vu qu'on s'est beaucoup entrainés, répondai-je avec mécontentement, et puis, tu n'aurais pas pu marcher correctement si j'y avais été plus fort. Et ça, je ne veux pas que ça t'arrive." Je sais que je dois être en train de faire la tête mais cet idiot de Kei l'a bien cherché. Non mais, il a beau être masochiste, hors de question que je le fasse souffrir. Je l'aime, moi.
Pourtant Kei s'excuse juste après en me faisant un calin. "Je sais, Shouyou. Je plaisante.
- Eh ben, tes blagues sont bizarres, rétorquai-je pendant qu'il rangeait les accessoires dans sa cachette. Il a l'habitude de planquer les menottes, le lubrifiant et les préservatifs derrière sa petite bibliothèque. Je me laisse aller ensuite sur le lit en soupirant en attendant que Kei se mette à coté de moi.
Il nous recouvre de sa couverture avant de me prendre nouveau dans ses bras. Ça doit faire plus de cinq mois qu'on est ensemble, lui et moi, et même si je trouvais ça bizarre au début (parce que je pensais qu'il me déteste), je suis super heureux maintenant.
Et puis, j'ai découvert des partis de moi que je n'aurais jamais cru exister. Je me mets à sourire lorsque Kei me fait un bisou sur le bout du nez. "Je t'aime."
Je me blottis contre lui en réponse. "Moi aussi, Kei."
Et cette faim ne sera jamais rassasiée à tes cotés.
