Titre : Love ! When you take us
Auteur : Usagi-chan
Disclamer : Si jamais je dit que j'ai menacée le Grand Masashi Kishimoto avec le death note et Sebas-chan pour avoir Naruto et Sasuke, vous me croyez ? Non ? Pff, même pas drôle... Le retour à la réalité est dur. Je les empreinte juste, mais je ne suis pas sure qui reviennent en un seul morceau.
Résumé : "Nii-chan ! Je rentre au Japon !". Voilà le plus grand cauchemar pour lui. Que doit-il faire ? Ecouter son coeur ? Brider tous ses sentiments ? Ou tout simplement se laisser emporter par les évènements ? En sachant que pour lui il est plus qu'un frère adoptif.
Genre : Humor/Romance/AU/OOC
Raiting : M
Ma première fic longue ! Prions simplement que je la laisse pas traîner en longueur. Je ferais les publications des chapitres toutes les 2 semaines, comme ça, j'ai le temps que mes bêta-lectrices la corrige. -Merci Neko-chan et Yuko- Ça sera régulier car sinon je sens que mes chères et tendres Bêta-lectrices n'auront qu'une seule envie, celle de me tuer grâce à l'argenterie... Alors sinon, je préviens, la classe Uchiwa a décidée de se cacher car mon imagination lui faisait trop peur. -En même temps je la comprends- Elle a voulu s'exiler sur Mars ou Vénus, mais en cours de route, elle s'est perdue et a été enlevée 4 fois par des extraterrestres. Maintenant elle se situe de l'autre côté de la galaxie mais, pour mon simple corps d'être humain, c'est beaucoup trop loin. Donc Sasuke sans classe Uchiwa vaut à un Sasuke OOC.
! YAOI ! Ou relation homosexuel si vous préférez. Donc c'est à vos risques et périls. Vous êtes prévenus.
Ne venez pas vous plaindre.
Prologue: Retour inadéquate.
« Nii-chan,
Comment vas-tu ? Je ne te manque pas trop ? Sûrement que oui mais tu vas dire que c'est faux.
Ne fait pas cette tête là, je te connais par cœur maintenant -Même si j'en ais mis du temps.-
Tu as remarqué que ton génie de petit frère, malgré une année assez sexuelle -Qu'est-ce que tu veux, je suis à croquer.- passée à New York, sais encore bien parler Japonais ? Comment ça, je me glorifies moi-même? Rabat joie…
Tu te demandes sûrement pourquoi je t'envois une lettre plutôt qu'un coup de fil, hein ?
Non, non, ce n'est pas parce que je n'ais plus d'argent pour payer mon abonnement téléphonique -Quoi que c'est en grande partie à cause de ça.- Je veux juste que tu gardes une trace écrite de ce qui va suivre.
Moi, ton frère adoré et indéniablement magnifique, rentre enfin à la maison !
Heureux? Ne dit pas non, je sais que tu l'es.
En tous cas, Itachi-san avait l'air de l'être…
Je vivrais surement quelque temps chez toi en attendant de trouver un appartement.
Ne dit pas que ca te déranges !
Frère sans cœur! Tu vas me laisser mourir de froid et de faim dans les rues en plein hiver ?
J'arriverais normalement le vendredi 13 Mars vers les 11 heures. Tu viendras me chercher?
Allez, soit gentil avec moi… Comme récompense t'auras en bisous !
Oh ! Et je te ramène une surprise de taille ! Mais bon tu verras par toi-même.
Kyu-chan. »
La lettre tomba lentement sur le sol. C'était une blague, non ? Sûrement un mauvais rêve… Rien de plus, rien de moins. Il allait bientôt émerger de ce cauchemar, et tout reviendrais comme avant. Toute cette mascarade se fissurerait. Il se pinça le bras et retint un léger gémissement de douleur. Il n'en revenait pas… Tout cela était vrai. Aucune illusion… Rien, Nada… Même pas une mauvaise blague, comme une de celles que ces imbéciles de gamins affectionnaient et aimaient jouer au plus idiot du quartier. Et comme par hasard, c'était toujours pour sa pomme. En parlant d'eux, pourquoi ne pas leurs inculper les bonnes manières avec la mythique farce du 'coup-de-la-crotte-enfermée-dans-un-sac-en-papier-enflammé' ? Non, ça serait se rabaisser à leurs niveaux, et un Uchiwa ne s'incline pas. Question de fierté -mal placée soit dite en passant-. Et puis pour ce coup-là ils n'avaient rien fait. Ca serait injuste… Et ils n'avaient que dix ans alors que lui en avait quinze de plus. S'il comprenait bien :
La lettre était vraie.
Kyu-chan allait revenir… -Ô joie ! Ô bonheur ! Ô désespoir !-
Il était totalement sur le cul en cet instant -sens au premier et second degrés.- Qu'avait il fait quand il était plus jeune pour avoir autant de rancune de la part de Monsieur destin ou de quelconques divinités alcooliques -on ne pouvait pas en vouloir à un Uchiwa quand on était sobre. Trop risqué…- et perverses -Ca restait encore à démontrer.- Il en était sur, son père ou son imbécile de frère avait décidé d'écrire son histoire en jouant aux fléchettes et en buvant bouteille sur bouteille… Et ça ne devait pas être de l'eau. Le suicide ? Non… Pas un Uchiwa, fierté oblige ! Parricide pour ensuite passer au fratricide ? Non plus… Il les aimait trop pour ça… Et puis un Uchiwa ne trahis pas son nom. En même temps, la prison ne l'intéressait pas plus que ça. Règles et obligations sans intérêts et exaspérantes… Pouvait-il fuir ? Il se prit la tête dans ses mains et se balança d'avant en arrière. Il revenait… Kyu-chan revenait… Son fantasme revenait ! Il était foutu… Adieu classe Uchiwa ! Adieu fierté ! Et bonjour hormones masculines en ébullition ! Il se releva lentement et ramassa la lettre. Pourquoi avait-il reçu ce torchon ? Il n'aurait pas du rentrer au pays… Son corps avait de légers spasmes… Pitoyable, il avait peur de le revoir… Non, peur était trop faible… Terrifié serait plus exact. Il ne voulait pas lui sauter dessus et encore moins… Ressentir ses sentiments contradictoires qui avaient lieu en son sein. Haine, dégout… Amour, fascination. Il était bon pour une atroce migraine, et par la suite, finir dans un asile pour aliénés -camisole en bonus.- A peine avait-il reçu l'annonce de son arrivé qu'il avait déjà mal a la tête. Il aurait mieux fait de rester au States au lieux de venir lui pourrir la vie ! Mais pourtant, pendant tout ce temps loin de lui, son regard lui manquait. Ses magnifiques prunelles où logeaient tendresse, amour, douceur, détermination, force… Tellement de sentiments différents mais pourtant si complémentaires… Un râle retentissant se fit entendre dans le silence de mort.
-STOP ! Ne plus penser, ne plus penser…
Son poing rencontrât violemment la table. Il était perdu… Il posa son regard sur sa montre… 10h… Un drôle d'impression le prit… Quel jour était-il ? Il n'en savait rien mais pourtant il avait la sensation d'oublier quelque chose d'important… De vraiment très important. Il se dirigea vers la cuisine, d'un pas lourd et gauche -c'est ça quand on vient juste de se lever de son lit- et regarda le vieux calendrier à fleurs qui était posé sur le frigidaire… -Chacun ses gouts comme on dit.- 13 Mars ?… Un ange passa. Ses yeux étaient écarquillés et sa mâchoire était à deux doigts de craquée. 13 mars… 10h ? 'J'arriverais surement le vendredi 13 Mars vers les 11 heures'. Il eut comme un blanc l'espace d'un instant, et quelque temps après avoir remis ses neurones correctement en place, il était en train de détaler vers sa voiture de sport -cabriolé et rouge, s'il vous plait ! On n'a pas tous les mêmes valeurs- en pyjama de soie noir et pieds nus… Peu importe sa tenue, son 'frère' rentrait, et il devait aller le chercher. Sinon sa torture serait pire que la mort. -Kyu-chan est vraiment terrifiant parfois- Après avoir évité plusieurs pots de fleurs et autres obstacles qui se dressaient sur son chemin, il entra précipitamment dans la voiture et mis le contact. 10h10... Il était dans les temps, enfin pour l'instant. A peine avait il mit le pied sur l'accélérateur que le cadran de vitesse indiquait 100 km/h. Si jamais il faisait le rencontre de gentils policiers sur la route, il était bon pour un retrait de permis et pour, en bonus, les sanglots de son Kyu-chan. Prions pour que ça n'arrive pas… L'autoroute était pleine de monde. Comment allait-il bien faire pour arriver dans les temps ? Bonne question… Il se cogna la tête contre le volant, ce qui fit sonner le klaxon qui le fit relever la tête précipitamment.
Il avait battu son record de vitesse… Il en était sur. Même une formule un n'aurait pu lui tenir tête... Mais, malgré la grande rapidité à laquelle il roulait, il avait été pris dans les bouchons. Foutu trafic ! Et en plus, il avait failli y passer en manquant de se prendre plusieurs voitures, poteaux, ou autres objets et avait finit plusieurs fois en tête à queue. Mais il était dans les temps, et c'était le principal. Il se demandait comment d'ailleurs… Il sortit de sa voiture la tête haute et des lunettes de soleil hors de pris -On est Uchiwa ou on ne l'est pas- au bout du nez. Mais tout cela dénotait avec le seul habit qu'il avait sur lui, ce foutu pyjama en soie noir qui faisait ressortir la fine musculature qui avait élu domicile sur son torse. 10h45... Il avait encore le temps. Il entra dans l'aéroport et se dirigea vers un bar au nom plutôt alléchant. Tout en buvant son café d'une traite et en décortiquant son croissant d'un flegme évidente, il écrivit sur une pancarte en carton 'Kyu-chan'. 10h55... Il se leva et partit en direction des arrivées. Il ne lui restait plus qu'à jouer l'épouvantail -plutôt beau- pendant 5 minutes en tenant cette maudite pancarte blanche dans les mains. Fierté, où es tu passé ? Plusieurs filles le mangeaient du regard mais il s'en fichait bien. Qu'elles regardent et qu'elles profitent, de toute façon c'était gratuit. Mais interdiction de l'approcher. Il n'aimait que les services trois pièces… Surtout un en particulier… Umh, umh… La voix 'sensuelle mais pas si sensuelle que ça' de l'hôtesse d'accueil retenti dans l'aéroport pour annoncer le typique -mais barbant- message qui était :
-Le vol venant de New York vient d'arriver. Je répète, le vol venant de New York vient d'arriver.
Il aurait du rester couché aujourd'hui, il en était sur. Mais alors qu'il tenait la saloperie de pancarte bien élevée, et qu'il n'avait que pour seule envie, celle de s'enfuir la queue entre les jambes loin de ce lieu, il vit avancer une vague silhouette -qui tirais derrière elle deux grosse valises pleine à craquer- qu'il semblait connaitre. Elle s'arrêta et regarda de tout les côtés pour semblablement rechercher quelque chose ou plutôt quelqu'un. Au bout de quelques secondes elle arrêta son regard sur lui. Non…Tout mais pas ça ! Ces cheveux blond, ce regard si bleu qui ressemblait au ciel d'été, cette fine musculature mise en valeur par la chemise moulante noir qu'il aurait bien voulut arracher et ces petites fesses bien rondes qui semblait lui dire : « Croque-moi ! Mange-moi ! Dévore-moi et surtout prend moi. »…. Il déglutit péniblement et murmura :
-Naruto.
Le dit Naruto lui fit un sourire étincelant et courut vers lui –valises laissées à l'abandon-, le corps bougeant dans de légers mouvements sensuels –involontaires mais pour le brun, il le faisait exprès… L'amour rend aveugle…- en criant :
-SASUKE ! (Mode VF activé. -Comme dans les Naruto shippuden quand le baka blond retrouve Sasuke chez Orochimaru.-)
Galère… Il était très, très mal barré…
Usagi-chan : A suivre dans le prochaine épisode !
Sasuke : C'est quoi ce bordel ? Depuis quand je me prend la tête pour cet imbécile de barbie ?
Naruto : Oh ! Pour moi, ça me va. Personnellement je suis plutôt bien traité...
Sasuke : Pff... Descrimination
Usagi-chan : Et alors ? Naruto est trop mignon pour le faire souffrir... Quoi que... Et puis c'est une vengeance ! T'avais pas le droit de...
Naruto met sa main devant la fanficeuse détraquée et lui chuchote à l'oreille.
Naruto : Pas de spoil. Tu risques te mettre tes lecteurs à dos.
Sasuke : Touche pas à MA Barbie. Et puis si tu veux te plaindre va voir l'auteur original.
Usagi-chan : Trop loin et puis... Ken, ton texte.
Sasuke : Ouai, ouai... Reviews ?
La fanficeuse commence a se diriger rapidement vers un abri anti-bombe nucléaire.
Sasuke : COMMENT TU M'AS APPELÉ SALE FOLLE ?
