Salut tout le monde, Ça fait très longtemps. Voilà j'ai une nouvelle histoire que je travail il un petit bout de temps. C'est encore un cross-over de Percy Jackson et de Harry Potter. Cette histoire est passe dans Harry Potter et la pierre philosophale, et toute l'histoire et pratiquement pareil dans le livre.

Avertissement : je ne possède pas les personnages d'Harry Potter et de Percy Jackson.

Le survivant

Dans une nuit froide et humide de novembre, un chat tigré assis près sur le mur de la maison 4, immobile comme une statue, fixant de ses yeux grands ouverts le coin de Privet Drive. Pas de réaction lorsqu'une portière de voiture claque dans la rue voisine, ni quand deux hiboux passent au-dessus de sa tête. Il est presque minuit quand il bouge enfin.

Un homme apparaît à l'angle de la rue que le chat a observée pendant tout ce temps. Il apparaît si soudainement et dans un tel silence qu'il semble avoir jailli du sol. La queue du chat frémit, ses yeux se rétrécissent. On n'a encore jamais vu dans Privet Drive quelque chose qui ressemble à cet homme. Il est grand, mince et très vieux, à en juger par la couleur argentée de ses cheveux et de sa barbe qui lui descendent jusqu'à la taille. Il est vêtu d'une longue robe, d'une cape violette qui balaye le sol et chaussée de bottes à hauts talons munies de boucles. Ses yeux bleus et brillants étincèlent derrière des lunettes en demi-lune et son long nez crochu donne l'impression d'avoir été cassé au moins deux fois. Cet homme s'appelle Albus Dumbledore.

Le tonnerre gronde dans le ciel et un éclair atterrit proche de Dumbledore, un homme d'une trentaine d'années, les cheveux noir jais mi-long et la barbe soigneusement couper, les yeux d'un bleu électrique, il a un regarde majestueux. Il porte un costume à fines rayures, il dégage une forte aura et une odeur d'ozone autour de lui. Cet homme est Zeus, le dieu du ciel et roi des dieux.

— Seigneur Zeus, dit Dumbledore en se penchant la tête comme une révérence au roi des dieux.

Zeus regarde le vieillard et d'une voix grave et majestueuse :

— Albus Dumbledore et Minerva McGonagall.

Au lieu du chat assis près mur de la maison 4 est une femme d'allure sévère avec ses lunettes carrées qui a exactement la même forme que les motifs autour des yeux du chat. Elle aussi porte une cape, d'un vert émeraude. Ses cheveux sont tirés en chignon serré et elle a l'air singulièrement agacée, s'approchant d'eux.

— Mon seigneur, dit-elle en se prosternant devant le dieu du ciel.

— Avant vous me poser une question, je suis venu chercher mon fils Harry. Il n'est pas question qu'il vît ici, dit l'immortel.

— Mais, mon seigneur Zeus, il serait plus en sécurité ici… dit Dumbledore avant être coupé par Zeus.

— Non, les Parques m'ont dit que Harry vivra au Camp des Sang-Mêlé après cet événement et de plus, je viens d'assister une crise de colères de mon épouse Héra.

— Mais… dit McGonagall avant être encore coupé par Zeus.

— Il n'a pas de mais, dès que Hagrid arrivera avec le petit, je le prendrais au Camp, s'il vit ici, il ne serait pas prêt pour affronter ce qui s'en vient. Je jure sur la rivière du Styx qui connaîtra votre monde.

Dès qu'il finit sa phrase, le tonnerre gronde. Dumbledore soupire de défaite et il dit :

— D'accord mon Seigneur.

Ils s'asseyent silence, en attende de ce Hagrid arrive. Après qu'il semble des heures d'attente, ils entendent un grondement sourd qui a brisé le silence de la nuit. Le bruit augment d'intensité tandis qu'ils scrutent la rue des deux côtés pour essayer d'apercevoir la lueur d'un phare. Le grondement se transforme en pétarade au-dessus de leur tête. Ils lèvent les yeux et voient une énorme moto tomber du ciel et atterrit devant eux sur la chaussée.

La moto est énorme, mais ce n'est rien comparé à l'homme qui est assis dessus. Il est à peu près deux fois plus grand que la moyenne et au moins cinq fois plus large. Il est même tellement grand qu'on a peine à le croire. On aurait dit un sauvage, avec ses longs cheveux noirs en broussaille, sa barbe qui cache presque entièrement son visage, ses mains de la taille d'un couvercle de poubelle et ses pieds chaussés de bottes en cuir qui ont l'air de bébés dauphins. L'homme tient un tas de couvertures dans ses immenses bras musculeux.

— Professeur Dumbledore, Professeur McGonagall, Seigneur Zeus, dit le géant en descendant de la moto.

— Hagrid, dit Dumbledore avec soulagement. Vous voilà enfin. Où avez-vous déniché cette moto?

— L'ai empruntée, Professeur Dumbledore, Monsieur, dit le géant en s'approchant d'eux. C'est le jeune Sirius Black qui me l'a prêtée. Ça y est, j'ai réussi à vous l'amener, Monsieur.

— Vous n'avez pas eu de problème? dit Zeus.

— Non, mon Seigneur. La maison était presque entièrement détruite, mais je me suis débrouillé pour le sortir de là avant que les Moldus commencent à répliquer. Il s'est endormi quand on a survolé Bristol.

Dumbledore, Professeur McGonagall et Zeus se penchent sur le tas de couvertures. À l'intérieur, peine visible, un bébé dort profondément. Sous une touffe de cheveux d'un noir de jais tout comme Zeus, ils distinguent sur son front une étrange coupure en forme d'éclaire.

— Quand il sera plus vieux, il sera le sorcier le plus puissant de sa génération, dit Zeus. Hagrid, donnez-le-moi, il est temps de faire ce qu'il faut.

— Quoi? dit Hagrid.

— Il y a eu des changements de dernières minutes, Hagrid, dit Professeur McGonagall.

— Ha, d'accord, dit-il.

Zeus prend Harry dans ses bras et se prépare à se téléporter au camp. Avant qu'il puisse le faire, Hagrid lui demande :

— Mon Seigneur, est-ce, que… est-ce que je pourrais lui dire au revoir?

Zeus hoche la tête, Hagrid se penche sa grosse tête hirsute vers Harry et lui donne un baiser qui doit être singulièrement piquant et râpeux. D'un coup d'éclair, Zeus disparaît avec Harry laissent les trois sorciers.

Le Camp des Sang-mêlé n'est pas comme les autres camps Moldus ou Mortels. C'est le sanctuaire où des héros sont formés. Ce sanctuaire ressemble à une ville de la Grèce antique avec une grande maison blanche, située à Long Island de New York, il fait encore jour.

Zeus apparaît près de la maison et il marche vers la terrasse, où deux hommes jouent à un jeu de cartes. Le premier homme est petit, mais gros, il a le nez rouge, de grands yeux larmoyants et des cheveux bouclés si noirs qu'ils paraissent presque violets. Il ressemble aux peintures des bébés anges… comme ça s'appelle, déjà? Des poupins? Non, des chérubins. C'est ça. Il a l'air d'un chérubin qui serait devenu quinquagénaire dans une banlieue pauvre. Il porte une chemise hawaïenne à imprimé tigre. Cet homme s'appelle Dionysos, le dieu du vin et de la folle, plus connu comme Monsieur D. il est le directeur du camp.

Quant à l'autre homme de quinquagénaire assis dans un fauteuil roulant électrique. Il a les cheveux clairsemés, la barbe hirsute et une veste en tweed élimée qui sent toujours le café. Cet homme n'est nul autre que Chiron le légendaire centaure qui a enseigné aux plus grands héros de la Grèce antique.

Dès que Chiron voit Zeus, il lui sourit, dépose son jeu sur la table et s'approche de lui. Monsieur D. fait pareil et il lui dit :

— Père, que vaut cette visite?

— Mon fils, je t'apporte un nouveau pensionnaire, ton petit frère, dit Zeus.

Il tend le tas de couvertures à Chiron qui maintenant prend sa forme de centaure, un immense étalon blanc. Mais à l'emplacement de son cou, commence le tronc de l'homme. Il prend le bébé dans les bras du dieu. Le bébé maintenant réveillé regarde droit dans les yeux de Chiron, ses yeux d'un vert émeraude changent de couleur, il passe de vert émeraude à bleu électrique. Le dieu du vin s'approche de son petit frère, à son tour il le prend dans les bras de Chiron et lui sourit.

Soudain, une brume apparaît de nulle part et un homme d'une trentaine d'années apparaît. Il ressemble beaucoup à Zeus à quelques détails près, il a la peau tannée comme s'il passait ses journées à la plage, ses yeux d'un vert-océan si on les regardait, c'est comme si on se noierait dans. Il porte une chemise hawaïenne et des bermudas beiges, il dégage une forte aura et une odeur de sel autour de lui. Cet homme est Poséidon le dieu de la mer et des tremblements de terre.

Tout comme son frère, il tient un tas de couvertures dans ses bras bronzés et il dit d'une voix grave et majestueuse :

— Zeus, Chiron et Dionysos.

— Poséidon, dit Zeus. Je vois que vous avez réussi à l'amené.

Ils approchent du tas de couvertures pour découvrir une fillette asiatique, elle une touffe de cheveux bruns avec des reflets roux, ses yeux bridés sont ouverts, ils sont bruns avec des éclats orangés, tout comme celles de Harry, ils changent de couleur, du brun au vert-océan. À peine visible, il y a une tache de naissance en forme de patte de loup sur le cou gauche.

Poséidon tend le poupon à Chiron et Poséidon dit :

— Ces enfants ont un destin pas comme les autres jeunes demi-dieux.

— Tu as parfaitement raison, mon frère, dit Zeus. Je crois qui est temps de partir.

— Pour moi aussi, dit Poséidon, avant de partir il donne un baiser sur la tête de la fillette. Nous nous reverrons bientôt Naomi Lu.

Et sur ce il disparaît dans la brume en laissant une odeur de la mer. Zeus fait pareil que son frère et avant de disparaître dans une éclaire, il dit au petit garçon :

— Nous nous reverrons bientôt Harry Potter, le survivant.