Le bla bla de Petite-Etoile :
Alors bonjour, je suis Petite-Etoile, et bienvenue chez les entremetteurs de l'impossible !
Le but de ce...truc immonde, n'ayons pas peur des mots, ou recueil d'OS pour être polie, est de mettre en scène des couples impossibles, choisis par mon frère Son-of-the-Moon et écris par moi (car LUI est incapable d'écrire, saleté de tricheur !) En d'autres termes ce sont des défis (tortures) que je relève (que je suis obligée de faire sous peine de moquerie durant les 500 prochaines années.)
Et toutes les cinq histoires, c'est du M (je vais MOURIR.)
Bref, voilà, donc tout ça c'est de sa faute et je décline toute responsabilité.
Paring : Walburga/Dobby. Oui, vous pouvez vomir.
Rating : K + (Heureusement !)
Résumé : Walburga Black décide de rendre visite au couple Malefoy, mais elle s'attendait pas à trouver l'amour là-bas, dans les bras...d'un elfe de maison bien connu.
Disclamer : Rien à nous, tout à JKR, sauf les idées tordues qui sont à Son-of-the-Moon et l'écriture à Petite-Etoile.
Bonne lecture !
L'amour rend aveugle
Walburga Black arriva au manoir Malefoy par la cheminée, grommelant à cause de la suie qui lui rentrait dans les yeux. Déjà qu'elle voyait mal (fichue cataracte sorcière) si en plus elle était aveuglée par la cendre, autant se crever les yeux ! Cette cheminée était vraiment mal entretenue, quelle honte !
Elle avait brusquement décidé de rendre visite à sa nièce Narcissa et son (abruti de) mari, Lucius. Ils attendaient un enfant et c'était un garçon. Il avait décidé de l'appeler Drago, lui avait dit Druella. Quel nom stupide ! Non mais vraiment, et pourquoi pas Léo aussi ? Ou Scorpius ? Comme ça, la ménagerie serait complète ! Vraiment ! A coup sûr, c'était Lucius qui avait eu cette idée. Walburga n'avait jamais pu l'encadrer.
Elle entendit la porte s'ouvrir et une petite personne s'approcher d'elle, l'air craintif. Ais-je dit que Walburga voyait mal ? Cela explique peut-être qu'elle ne reconnue pas un elfe de maison. Cela explique sûrement qu'elle en tomba sous le charme car, par Salazar, c'était la plus merveilleuse des créatures existant dans cette univers.
" Oh madame Walburga ! Vous venez voir les maîtres, Dobby s'excuse madame, les maîtres sont absents ! "
Walburga ne prêta pas une attention pleine et entière aux paroles de son coup de cœur.
Si elle l'avait fait, elle aurait reconnue la façon de parler d'un elfe de maison. Mais c'est tout juste si son cerveau enregistra les mots " Dobby " et " absents ". Donc, elle comprit qu'elle était seule avec cet apollon, lequel se prénommait Dobby.
Walburga était une Black, de naissance et de mariage. Et une Black ne manque jamais de profiter d'une occasion.
" Oh quel dommage ! Mais ça ne fait rien, je vais les attendre.
- Bien madame. Voulez-vous quelque chose Madame ?
- Oh non merci, mon cher. A part un peu de compagnie peut-être... Voulez-vous rester avec moi ?
Dobby avait du mal à y croire. Il avait ressentit une arrivée dans le salon et c'était précipité pour voir qui est-ce que c'était. Et c'était Walburga Black en personne ! Dobby avait eu l'occasion de la voir lors d'une réception donnée par les maîtres et il en était aussi tôt tombé amoureux. Cette voix, cette présence, ces yeux, ce ventre... car chez les elfes, les gros ventres sont signes de beauté et force est d'avouer que Walburga n'était pas maigre. Depuis cette soirée, elle hantait les fantasmes récurrents de Dobby. Mais bien sûr, Dobby était un elfe de maison, il ne devait pas oublier sa place de serviteur.
Cependant, il n'en revint pas quand Walburga se montra gentille, très gentille. Et, par le Grand Elfe, elle semblait... intéressée ? Par lui, le misérable Dobby ! Il voyait ses rêves se réaliser. Dobby n'en croyait pas sa chance quand Walburga lui fit signe de s'installer à côté de lui, sur le canapé, et commença à parler.
-Walburga était très satisfaite. Cela faisait un quart d'heure qu'elle parlait, épiloguant sur sa pauvre vie, racontant son veuvage récent, sa tristesse, son fils chéri qui était mort, son renégat d'autre fils déshérité qui lui faisait honte, le fait que personne ne s'intéressait à elle ou ne venait la voir...
Dobby chéri l'écoutait attentivement, approuvait tout, compatissait. Walburga, plus que tout, appréciait les hommes soumis, et celui-ci en était un ou elle ne s'appelait pas Black !
Elle s'arrêta soudain de parler et regarda Dobby dans les yeux.
" Je vais vous avouer que... depuis la mort de feu mon mari, que Merlin est son âme je me sens... comment dire..en manque.
- Oh madame, réellement ?
- Oh oui... Je vieillie, je n'attire plus personne...
- Madame, Dobby est sûr que c'est faux. Madame est resplendissante et je...
Dobby s'interrompit brusquement et piqua un fard.
- Je... reprit Walburga, extatique.
- Oh madame et bien...
- Chut, lui fit Walburga, en posant son doit sur les lèvres de Dobby, j'ai compris.
Et elle l'embrassa.
C'était encore mieux que tout ce qu'ils avaient pu imaginer, que ce soit depuis plusieurs mois pour Dobby ou vingt minutes pour Walburga. Les langues s'enroulaient tendrement, dansant un ballet millénaire, celui de ceux qui s'aiment et qui savent que ça s'arrêtera à ça.
Une porte, la porte d'entrée, claqua et Dobby rompit le baiser et se releva.
- Madame, je doit y aller.
- Très bien. J'ai était ravie, j'espère vous revoir.
- Moi de même madame.
Et Dobby transplana.
-Walburga morrut une semaine plus tard. Elle ne sut jamais la vérité sur cet instant volé, peut-être cela valait-il mieux.
Dobby lui fut inconsolable, et resta en deuil le reste de sa vie, le deuil de cette femme qui pour lui resta la seule femme dans son cœur, Walburga Black.
Prochain OS : " Vengeance commune "
Voilà ! Et maintenant, le bla-bla de Son-of-the-Moon :
Et voilààààààààà. MON oeuvre ! Et oui car personne ne doute du fait que je suis le véritable génial génie créateur de cette oeuvre artistique littéraire qui restera dans les annales de fanfiction. Moi vantard ? A peine ! Bref. Comme l'idée du couple et les remarques qui vont suivre sont de moi je me considére comme père de l'oeuvre. Et si la râleuse qui me sert de coéquipière n'est pas d'accord avec moi je m'en fiche vous, vous le savez bien que vous m'aimez ! Hein?
Bref. Pauvre Dobby...Remarquez, c'est peut être mieux pour Walburga...Je veux dire regardez Harry Potter. Dobby l'aimait et il a faillit le tuer ! Vous imaginez ce qu'il aurait pu faire a cette pauvre Wallie ? Hein ? Bref, voila quoi. Quand à Wallounette mieux valait qu'elle ne sache pas pour Dobby. Cela l'aurait entrainée a créer la SALE avant Hermione. Ce qui aurait était très con, admettons-le.
Les Black sont malsains de toutes façons à force de se marier entre eux. J'imagine bien l'enfant que Sirius et Bellatrix aurait pu avoir...Niark Niark.
En fait ils en ont eu deux, Son-of-the-Moon et Petite-Etoile ! NIARK NIARK NIARK!
J'aimerais bien.
Bon ça y est j'ai écrit plus de ligne que la râleuse alors je pense que je peux vous laisser. C'était pas vraiment drôle mais j'ai pas d'idée pour cette verrez au autres couples. .
Cordialement,
!
PS (Parti des Saucisses) : N'appelez pas les messieurs en blanc (ou psychiatres si vous préferez) pour venir nous chercher, ils en ont marre.
PPS : Ni la police, l'armée, le président, la marine, les aliens, ou tous ce que vous voudrez. Ils ont peur aussi.
PPPS (ce qui fait beaucoup de saucisses) : Oui j'ai surnommée Walburga Black ! Que celui que ça gêne lève la main ! Baissez-moi ces mains immédiatement!
PPPPS : Pour ceux qui ne comprennent pas pour le Parti des Saucisses c'est pas grave. Petite-Etoile non plus. Et moi non plus en y repensant bien. MAL INITIAL, SORT DE MON CORPS ! " Pas envie ! "
Hem...
C'était Son Of The Moon en pleine crise de délirium aigu et Petite-Etoile qui essaye désespérément de le calmer, à vous les studios !
