Disclamair: Je ne suis pas la très heureuse madame Rowling, en condition de quoi je ne reçois pas la moindre noise pour cette histoire. Les lieux, les personnages tirés de 1996 (sauf Gary) lui appartienent.
Univers Alternatif: Voldemort n'existe pas et n'a jamais existé, Tom Jedusor s'étant contenter de cheminer gentiment à Poudlard sans faire d'histoire.Pour ceux qui s'inquiètent de son sor,t il est devenu apoticaire, très recconnu d'ailleurs.
Sur ce, plus d'emmerde, la lecture est à vous!
1 septembre 1996
- Harry pour l'amour de Merlin, lève-toi, il est déjà neuf heure!
J'entendis la voix de ma mère comme derrière un brouillard, et lui répondit d'un grognement. D'accord, ça fait au moins trois fois qu'elle me dit de me lever mais il est trop tôt…
- Il est bien assez tard, et puis tu serais en pleine forme si tu t'étais couché è une heure raisonnable hier au lieux de faire la fête avec Ron et ses frères…, murmura à mon oreille une voix que je connaissais trop bien
- A, ta gueule la conscience! Et puis d'abord, il n'y avait pas juste les frères de Ron, sa sœur était là aussi… , lui répondis-je
J'attrapai mes lunettes et les mit, tout en maudissant ma très chère mère qui m'avait jeter ce foutu sort de conscience l'année précédente lorsque j'avais "accidentellement" fait exploser des pétards mouillés dans la volière de Poudlard. Un sort qui me suivrait jusqu'à ma majorité, soit dans un an… J'attrapai des vêtements moldus et me dirigea vers la salle de bain. Tout en prenant ma douche, je m'interrogeais sur la possibilité des effets d'une potion de vieillissement sur ce sort. Il faudrait que je demande à Hermione.
- Combien même c'était faisable, tu ne devrais pas faire ça, si ta mère t'a jeté ce sort, c'est bien parce que tu le méritais! Et tu sais que je dois t'apprendre à agir correctement, c'est pour ton bien Harry!
- Toi, ta gueule, j't'ai rien demandé!, répondis-je à ma conscience
- Tu devrais être plus poli avec moi Harry. D'ailleurs, tu devrais être plus poli avec tout le monde.
- Blablabla…
Je finis ma douche sous les conseils acerbes de ladite conscience et enfilai mes vêtements. Je devrais peut-être lui trouver un nom à cette voix idiote, c'est long comme nom conscience, et c'est nul.
- Ma voix n'est pas idiote du tout!
- La voix peut-être pas, mais toi si!
- Faut bien, je suis TA conscienc,e je te rappelle, je dois tenter de te ressembler!
- Ça, c'était méchant! Tu es un gars ou une fille?
- Comment tu veux que j'aie un sexe? Je suis une conscience, c'est tout!
- Une conscience, tu es donc une fille. Je vais t'appeler Prude l'agace à l'avenir.
- Toi, tu t'arranges pour que je te colle encore dix ans!
- T'as vraiment le goût de m'enduré encore dix ans?
- En fait, non.
- Moi non plus. Et puis t'en fais pas pour ton nom, Prude l'agace c'est trop long aussi, je vais juste t'appeler Prude.
- Si ça t'amuses, paresseux.
- Mais ta gueule!
- Tu manques sérieusement d'argumentation, jeune homme.
Pas question de continuer ce dialogue idiot. Je me contentai de rouler des yeux et de descendre déjeuner.
- Dit maman, ce foutu sortilège que tu m'as lancé l'année dernière… Tu es certaine que tu n'as pas envie de me l'enlevé? Comme cadeaux de rentrée? Parce que j'ai eu des bonnes notes l'an passé? S.T.P, demandais-je à ma mère
- Non. Pas question. Il s'en ira tout seul le jour de tes 17 ans. Et c'est bien parce que l'autorité parental cesse légalement à partir de ta majorité, parce que crois moi, je te l'aurais collé au derrière jusqu'à tes 102 ans., me répondit-elle, le plus sérieusement du monde.
Je préférai ne pas argumenter, au cas ou elle déciderait de vraiment le faire. Je m'assis en silence devant mon assiette d'œuf au bacon, en plaignant sincèrement mon pauvre père, qui vivait avec elle à longueur d'année. Faut pas se m'éprendre, ma mère est super, charmante et brillante. Mais nom d'un dragon, quand elle à une idée en tête… Elle aurait dû aller à serpentard celle-là!
Après avoir déjeuné, ma mère me serra contre elle et me prodigua une bonne dizaine de recommandations de bonne conduite avant de me laisser partir avec mon père vers la gare de King Cross.
- Écoute pas toutes les bêtises de ta mère Harry, me recommanda mon père, il te reste juste deux ans à Poudlard, profites-en!
- Inquiète-toi pas p'pa, lui répondis-je, je serai pas sage
- Arranges-toi juste pour ne pas être renvoyé!
- Entendus.
- En passant, tu as amené la cape?
- Ben c'est sur! Comment je pourrais passé l'année sans ça?, m'exclamais-je
- Bonne question. J'en ai aucune idée. Je me demande déjà comment tu fais sans être animagus…
- Je m'débrouille. Pis moi j'aurais aucune raison de devenir animagus.
- Effectivement…
La discussion continua ainsi jusqu'à la gare.
- Putain d'moldus!, jura James
- Y savent pas stationné comme du monde!, rajoutais-je
C'était vraiment infernal, il y avait des voitures garées dans tout les sens de tout les côtés, dans une anarchie totale. Enfin, nous finîmes par trouver un endroit ou se stationner (ben en fait on s'est caché dans une ruelle et Papa a réduit la voiture avant de la caché dans sa poche, mais chut) et nous passâmes sans problèmes la barrière pour se rendre au quai 9 et ¾
- P'pa, pourquoi c'est 9 ¾? Me semble que la barrière est dans le milieu, ça devrais pas être 9 et demi?
- Ouais, et on devrait aussi avoir un Ministre de la Magie intelligent et il devrait pleuvoir des Gallions.
- Vrai.
Arrivé sur le quai donc, j'aperçut un gamin de onze ans que je connaissais trop bien. Je marchai silencieusement jusque derrière lui, l'attrapai par la capuche et le soulevai.
- Salut Gary, tu vas à Poudlard cette année?
- Harry lâche-moi, tu m'étrangles espèce de crétin!
Je le déposai en riant.
- Alors, tu y vas ou pas?
- Bien sur, qu'est ce que tu crois?
- Je savais pas qu'ils acceptaient les crétins comme toi, me moquais-je plus ou moins gentiment, il est où ton père?
- Avec le tien, triple idiot!
Je me retournai pour voir mon père qui était effectivement accompagné de mon parrain, mais avant que j'aie le temps d'aller les rejoindre, une voix désagréable raisonna pour la énième fois à mon oreille.
- Tu devrais être plus gentil avec le petit Gary Black! Ce n'est qu'un enfant!
- De quoi j'me mèlle? C'est une teigne!
- Tout comme toi…
J'échappai un grognement et couru rejoindre mon parrain.
- Bonjour Sirius, ça va?
- Ouaip, et toi?
- Super
- J'peux te demander un service Harry?
- Bien sûre, quoi?
- Laisse un peu Gary tranquille cette année…
- Tu m'en demande beaucoup là! Mais je vais faire un effort…
- Tu ferais bien. Hey, c'est pas les Weasley là bas?
- Ouais, bye P'pa, bye Sirius, on s'revoit à Noël!
Je ne leurs laissai même pas le temps de me répondre, et courus vers Ron, qu'Hermione avait déjà rejoint. Comme d'habitude, ils se disputaient.
- Comme oses-tu espèce d'affreux pervers?, s'exclama une Hermione furieuse
- Arrêtes de délirée, je te dis que c'était un accident!
- Et moi je te dis que tu en as profité, connard!
- T'es malade? Tu crois vraiment que j'ai envie de… Toi!, s'exclama Ron, Tu es aussi attirante qu'une Mandragore!
- Hey, ho trêve vous deux!, m'exclamais-je, qu'est-ce qui se passe encore?
- Il se passe que ce pervers m'a… , Hermione s'interrompit, rouge comme un souafle.
- Elle disjoncte pour rien! C'était un accident!, rétorqua Ron, tout aussi rouge.
- Ron t'a quoi, Hermione?, demandais-je, amusé par la situation
- Il m'a… , marmona-t-elle de façon incompréhensible
- Quoi?, demandais-je, sadique
- Jeluiaitouchélesseins. , expliqua Ron, plus rouge que ses cheveux
- A je vois. Faut pas être timide les enfants! Vous savez, en vrai, les bébés, c'est pas la licorne qui les amène!, me moquais-je
- Rigole pas! Et puis d'abord c'était un accident! Elle se fait plaisir à imaginer que c'était voulu, mais c'était un accident!, se justifia Ron
- Menteur, accusa Hermione
- Bon, bon, bon, qu'est ce qui s'est VRAIMENT passé?, demandais-je à nouveau
- C'est la faute de ton affreux cousin, dit Ron
- Quel cousin?, demadais-je
- Gary, répondit Hermione
- Cette teigne n'est pas mon cousin!, me défendis-je
- Peu importe, je disais donc que Gary est passé et il a fait un croque-en-jambe à Hermione, elle est tombé, j'ai tenté de la retenir mais je suis tombé.. sur elle… et puis eh bien…
- Et puis il a plaqué ses deux mains sur ma poitrine voilà!, accusa Hermione
- T'as même pas de poitrine!, rétorqua Ron
- Ok, Ok, c'est assez vous deux!, intervins-je en riant
Hermione croisa les bras sur sa poitrine, un air buté imprimé sur son visage. C'est vrai qu'elle n'a pas beaucoup de poitrine, mais quand même, c'était vache de la part de Ron. Surtout en sachant qu'il est probablement fou d'elle! Peu importe. Ron avait le même air boudeur qu'elle. Je soupirai. Le voyage jusqu'à Poudlard allait être long… Je vais encore devoir jouer à l'intermédiaire.
- Ron, Hermione, excusez-vous. , leurs demandais-je
- Pourquoi je m'excuserais? J'ai rien fait, c'est elle qui paranoye!!, s'exclama Ron
- Pour je m'excuserais, c'est SA faute!!, me répondis Hermione au même moment
- Hermione, excuse toi à Ron de l'avoir traité de pervers, Ron, excuse toi à Hermione d'avoir dit qu'elle était aussi attirante qu'une mandragore., demandais-je
Ils hésitèrent un moment puis s'excusèrent. Il était 10:58. Nous grimpâmes rapidement dans le train et partir à la recherche d'un compartiment à peu prêt vide. Voilà, encore une situation impossible régler part nulle autre que le grand Harry Potter!
- Tête enflée!
- … Je t'avais presque oublié toi, tout serait parfait si t'étais pas là
- À qui parles-tu Harry?, me demanda Hermione
- Eee.. À personne…
- D'accore…
Elle me regardait bizarrement et n'avait pas l'aire de me croire du tout, mais peu importe, je vais quand même pas lui raconter que ma propre mère m'a jeté un sort de conscience! Elle se moquerait de moi jusqu'à la fin des temps! Déjà il y a Ron qui le sait et qui rigole en ce moment, lui il a comprit… Bon, revenons à nos dragons(), c'est-à-dire : trouver un compartiment. Malheureusement pour nous, il s'avéra qu'il ne resta pas de compartiment dans lequel il restait 3 places.
- Merde!, jura Ron
- Franchement Ron, c'est de notre faute après tout, si on avait pas tant tardé à embarqué dans le train…, fit remarquer Hermione
- Hey, ho! C'est votre faute, pas la mienne! Si vous ne vous étiez pas disputé… , me défendis-je
- A ça va en! Ça ne nous avance pas plus., dit Ron
- Il reste encore quelques compartiments par-là bas, ajouta Hermione, il reste peut-être de la place?
- Peut-être, grogna Ron, allons voir…
Finalement, nous trouvâmes un compartiment ou il y avait de la place pour trois, malheureusement, il était déjà occupé par Malefoy, Parkinson et Zabinni. Ils finirent par accepter que l'on voyage avec eux, après avoir constaté comme nous qu'il n'y avait pas de place ailleurs. Le voyage se déroula dans les grincements de dents, mais à part une petite.. Disons… Prise de bec entre Parkinson et Ron, rapidement calmé par Hermione, le voyage c'est tout de même passé à peut prêt convenablement, les Grfondor ignorant ostensilement Serpentard, et inversement.
Arrivé à Pré-au-Lard, nous fûmes quand même plus qu'heureux de nous séparé de Malefoy et sa clique de débiles profonds. C'est vrai quoi, ils sont merdant! Je regardais la file des élèves qui sortait du train pour se diriger vers les diligences-qui-avencent-toutes-seules, Merlin ça va être long se rendre! Enfin, notre tour arriva et nous pûmes heureusement nous installer seul tous les trois dans une même diligence. Nous nous installâmes à notre aise, Ron sortit de se poches tout les bonbons qui lui restait du trajet, et les partagea entre nous trois. La discussion allait bon train lorsque les provisions se mirent à manquer. Chacun fouilla dans ses poches à la recherche d'une ultime friandise, sans succès.
- Là! Il est à moi, cria Ron en pointa une dragée surprise qui était tombé par terre
- Non! C'est pour moi, tu déteste ça de toute façon!, rétorquais-je
- Battez vous pas pour un bonbon, de toute façon, c'est moi qui vais l'avoir!, s'exclama Hermione
Nous nous regardâmes tous les trois et nous éclatâmes tous de rire. Évidemment, il aurait été stupide de se battre pour un bonbon…
- Allons, réglons ça à la courte baguette!, déclara Ron
- Courte baguette?, demanda Hermione
- Ben oui, expliquais-je, c'est un peu comme la courte paille moldue, faut juste lancer un "accio" tous en même temps vers le bonbon, il va automatiquement atterrire dans la main d'un de nous trois, et c'est lui qui le gardera!
- D'accore, s'exclama Hermione
- À trois, souffla Ron
- Un…, commençais-je
- Deux…, Continua Ron
- TROIS!, s'exclama Hermione
Nous pointèrent tous nos baguettes vers la malheureuse dragée et nous écrièrent d'une même voix:
- ACCIO!
Mais la dragée ne vola pas dans la main de l'un d'entre nous, elle explosa d'un coup, une lumière vive s'en échappa et m'aveugla complètement. J'eux l'impression que la diligence explosait et j'atterris durement sur le sol, toujours aveuglés…
proverbe emprunté à Alixe, sur son site : http://ffnetmodedemploi.free.fr/
N.A: en pensant, pour les Européens: je suis Québecoise donc au niveau des repas, veuillez prendre note que Déjeuné petit déjeuné, Dîner Déjeuné et Souper Dîner, merci!
