Ce chapitre se situe entre le 11e et le 12e de l'histoire. C'est la première fois que j'écris un chapitre contenant un lemon, j'espère qu'il vous plaira.

Ce chapitre et les suivants suivent le cours de la fiction I'm Young, mais ne sont pas compter dans l'histoire. Ce sont des chapitres non officiels, qui n'interviennent pas avec l'histoire. ;)

Bonne lecture !


Chapitre Inter 11-12

Barbe Blanche nous regarde partir avec un air bienveillant, alors que les autres Commandants envisagent divers scénarios entre Marco et moi pour la nuit à venir. Je le suis à travers les nombreux couloirs jusqu'à destination. Une fois dans la cabine, je referme la porte derrière moi. Marco m'indique qu'il va prendre une douche, et que pendant ce temps je peux me changer et prendre la place côté mur du lit. J'attends qu'il ait fermé la porte pour sortir de mon sac ma chemise nuit. "J'ai peur d'avoir l'air aguicheuse avec seulement une chemise trop grande comme pyjamas… Il me faudrait un short en dessous."

Je décide d'enfiler la chemise, et de garder mon pantalon en attendant de trouver une solution. J'enlève la clé de ma poche pour chercher une petite chaîne pouvant servir de collier dans mon sac. "Je suis certaine d'en avoir vu une traîner."Après l'avoir trouver, je la passe dans l'une des ouvertures de la clé, pour la porter autour de mon cou plus tard.

Marco sort de la salle de bain, et me regarde faire en silence, vêtue d'un short et d'un tee-shirt. Je me retourne, en l'entendant sortir.

- « Est-ce que tu aurais un short à me prêter pour la nuit, pour mettre en dessous de ma chemise. »

- « Pas besoin, ta chemise est assez longue, un short ne servirai à rien. De plus tu auras trop chaud avec, Yoï. »

- « Trop chaud ? Pourtant les nuits sont encore fraîches. »

- « Je ne suis pas aussi chaud que Ace grâce à son fruit, mais je reste un homme-phénix. »

Je le regarde curieuse, et pars ensuite dans la salle de bain pour enlever mon pantalon, et mes chaussures. Je les dépose ensuite près de mon sac à côté du lit, et je vais directement m'engouffrer entre les couvertures en voyant Marco attendre. Il me tend un coussin, que j'installe. Marco s'installe à son tour.

- « Quand penses-tu que nous atteindrons Logue Town ? »

- « Demain sûrement, une bonne nuit de sommeil nous sera utile. La ville grouille de Marines. »

- « Bonne nuit. »

- « Bonne nuit, Yoï. »

Il éteint la lumière, laissant la pièce éclairé par les rayons lunaires traversant le hublot. Je pose ma tête sur l'oreiller, et je ne mets pas longtemps à m'endormir.


Je suis encore en partie endormie lorsque je sens du mouvement à ma gauche. Il est très tôt, et le soleil n'est pas encore levé. "Marco avait raison… Le lit est bouillant maintenant…" Je commence à pousser les couvertures recouvrant mes jambes afin de profiter d'un peu air frais sur celles-ci. Je n'ai pas le courage d'ouvrir les yeux, me sentant encore attiré par les bras de Morphée, ainsi qu'étrangement aussi par ceux de Marco. Je sens pourtant la couverture revenir sur moi lorsque je tente de m'en débarrassée. J'ouvre doucement les yeux vers Marco. Il me regarde, les yeux encore ensommeillés, et ses cheveux sont un peu en désordre. Je sens ses mains sur mon corps, le caressant de haut en bas, puis de bas en haut.

- « Tu avais raison hier… J'ai trop chaud maintenant… »

- « Toi aussi tu avais raison, Yoï. J'aurai dû te donner un short. »

La réponse du commandant se veut taquine, et me fais comprendre bien vite la situation. Je regarde alors ma chemise, celle-ci étant maintenant remontée largement sur mes hanches. Et les mains de Marco elles aussi, sont largement remontées sur mes hanches. Je rougis en le laissant m'entraîner contre lui.

- « Ne t'en fais pas. Je ne me suis pas rincé l'œil plus que nécessaire cette nuit. »

- « Quelle est ta définition de nécessaire ? »

- « Assez pour me satisfaire, mais pas trop, pour ne pas me mettre dans le pétrin. »

Il pose ses mains sur mes fesses, et passe ma jambe droite au-dessus de sa hanche. Il me fait rouler en dessous de lui, et m'allonge sur le dos, me laissant sentir son corps contre le miens. Nos visages sont face à face, et nos souffles chauds s'entremêlent. Je sens une inquiétude grandir en moi aussi rapidement que mon envie envers lui. Nous nous regardons dans les yeux, et il ne tarde pas à venir parsemer ma peau de baisers brûlants. Il commence par mes clavicules, et remonte doucement jusqu'à l'angle de ma mâchoire, pour finir contre mes lèvres. Ses mains remontent à nouveau, traçant leurs chemins depuis mes fesses vers mes hanches, puis ma taille. Ses mains sont douces, et me procurent de tendres et chaudes caresses. Elles remontent toujours sous ma chemise, se plaçant maintenant juste sous ma poitrine. Marco dépose ses mains dessus, et semble découvrir la forme ronde de mes seins, tandis que ses lèvres contre les miennes deviennent de plus en plus passionnées. Il commence à défaire un à un les boutons de ma chemise qui semble le gêner, pendant que je viens glisser mes mains sous son tee-shirt à la découverte de ses muscles. Je pose mes deux mains à plats sur son corps, les remontant avec l'avidité de découvrir chaque parcelle de son torse. Il ne reste plus qu'un seul bouton sur ma chemise, et Marco ne prend plus le temps de le défaire, il tire dessus avec force allant d'un mouvement rapide, faire voler ma chemise sur le sol. Son tee-shirt part rapidement la rejoindre, et mes mains découvrent sa nuque et son visage. Nos lèvres se séparent pour nous permettre de respirer, et ses baisers reprennent leur voyage de retour vers mon cou, puis mes clavicules. Je sens son souffle chaud, et ses lèvres brûlantes descendent sur ma poitrine, et faire le tour de l'un de mes seins sans oublié d'en visité la pointe. Il redescend ensuite sur mes côtés traçant une ligne droite, jusqu'en dessous de mon nombril. Il continue sa descente jusqu'à la limite imposé par mon sous-vêtement, et il l'agrippe entre ses dents pour le faire lentement descendre. Je suis un peu anxieuse de la suite, mais mon corps en réclame bien plus de sa part. Je décide alors pour une fois d'écouter mon corps, et de mettre ma raison de côté.

- « Marco… Arrêtes…de me faire languir. »

Je sens son sourire contre le haut de ma cuisse, et il finit de m'enlever ma culotte à la main. Il se redresse, et m'observe, remontant ses mains le long de mon corps avec un regard avide. J'observe son torse si bien sculpté, puis dépose mon regard sur le dernier vêtement encore présent sur lui. Il me sourit à nouveau, et je ne peux même plus deviner à quel point le phénix doit être à l'étroit dans cette pièce de tissue. Le fait est indéniable.

- « Tu as confiance en moi ? »

- « Oui… »

- « J'irai doucement. »

Il retire la pièce de tissue gênante, et se place entre mes cuisses, entrant doucement. Je passe mes bras autour de son cou, et je me colle contre lui durant son cheminement à l'intérieur de moi. J'ai vaguement eu le temps de voir la taille de sa virilité, et je ne suis pas certaine qu'elle entrera entièrement. Il m'embrasse à nouveau, accrochant ses mains autour de mes hanches en poussant toujours un peu plus loin son membre. Je laisse échapper un gémissement plaintif, après avoir ressentie une douleur ressemblant à quelque chose qui se déchire en moi. Marco aussi semble l'avoir sentit.

- « Ne t'inquiète pas. C'est normal. »

Il me laisse un temps pour m'habituer à sa présence comme envahissante à l'intérieur de mon corps. Puis commence doucement quelques mouvements de hanches de haut en bas. Je sens le désir grimper en moi, et j'ondule du bassin sous ses mouvements. Marco lâche un grognement de satisfaction au fur et à mesure que ses mouvements s'intensifient. Je me laisse aller contre lui, gémissant doucement contre lui à chacun de ses assauts répéter. Ses allers et venues se font avec de plus en plus de force, mes jambes s'enroulent autour de ses hanches, et sa tête s'enfonce contre mon cou. Je gémis contre son oreille sous ses mains expertes dévorant du toucher chacun de mes seins. Je descends ma main sur l'une de ses fesses, venant à mon tour faire preuve d'une certaine audace. J'ai l'impression de perdre peu à peu contact avec la réalité, mon corps est en feu et ma peau me brûle sous les attaques de baisers du phénix. Je nous sens doucement quitter la réalité, nous commençons à arriver vers l'orgasme. Marco se crispe en lâchant un long râle pendant que je laisse échapper de longs gémissements de satisfaction contre son cou. Dans un dernier coup butoir je le sens se déversé en moi, puis se détendre et relâcher tous ses muscles contre mon corps. Je me relâche également contre lui, caressant ses cheveux doucement. Je lui susurre doucement :

- « C'est tellement… bon… »

- « Je suis content de te faire plaisir Yoï. J'espère à nouveau pouvoir le faire. »

Il me serre contre lui, et je me blottis dans ses bras pendant qu'il caresse mes hanches et ma taille. Je pose ma tête contre son torse, laissant mon corps prendre un repos bien mérité.


J'espère que ce petit chapitre vous a plu ! N'hésitez pas à me donner vos impressions pour que je puisse m'améliorer.