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Pensez à enlever les espaces.

Fascination

« Tu me fascines… Il y a tellement de chose en toi qui m'étonne, me divertisse, m'attire

_ Que dirais-tu si je te disais penser la même chose de toi ? »

Il sourit, comme toujours.

« Qu'est-ce qui pourrait bien te fasciner chez moi ?

_ Tant de chose… Qui moi aussi m'étonne… et surtout m'attire. Peut-être même bien plus que toi.

_ Veux-tu vraiment parier ?

_ Je ne joue pas à ce genre de jeu, mon bel enfant…

_ Mais tu ne diras pas non… » Susurre-t-il avec amusement.

Elle sourit, comme toujours.

« Ceci, par exemple.

_ Quoi donc ? Demande-t-il.

_ Cette façon que tu as de t'insinuer avec facilité chez une personne.

_ Je ne comprends pas.

_ Tu comprendras, car je suis un peu pareil ».


Tu es comme moi. Tu trompes ton entourage, tu fais tout dans le paraître. Un caractère forgé pour supposer une personnalité forte et digne, un masque souriant continuellement, parfois changeant au gré de tes humeurs… Une chose qui marque une légère différence entre toi et moi. Ce masque nous donne soit l'image d'un être cruel et sadique, d'un homme qui s'amuse de tout et de rien, ou encore d'un homme au sourire mystérieux qui ne laisse rien paraître en dehors de ce sourire. Les aprioris se forgent, on te voit comme tu le laisses penser : à l'image que donne ton sourire.

Mais moi, je sais que cela n'est qu'une façade. Derrière ce regard argenté, si on t'observe bien, ton sourire paraît soudain faux. Car, tout le monde le sait, le seul endroit qui n'est pas figé, dans le masque, c'est le regard… J'ai observé ton regard, j'y ai vu ta mélancolie, ta nostalgie, ta tristesse, ta douleur… Cet éclat argenté qui fait penser à la lame de ton épée… Même à la lumière, il y aura toujours un côté dans l'ombre.

Je te l'ais dit, nous sommes pareilles sur un point : nous avons une grande facilité à comprendre les personnes. De ton côté, c'est presque normal, un médecin est pédagogue. Mais j'ai moi aussi cette possibilité… pour les personnes qui me ressemblent. Alors, sache que le jour où tu auras tout découvert de moi, tu pourras te dire que de mon côté, j'aurais déjà tout vu de toi.

Et saches aussi qu'à jamais je ne pourrais t'oublier.

A jamais à toi,

Robin.


Prologue

Te souviens-tu de la première fois où je t'ai vu ?

Tu étais comme un ange tombant du ciel…

Ce jour-là, tu m'es apparu comme l'éclat déchu

Qui me deviendra très vite essentiel.

Aujourd'hui encore, je ne sais pourquoi j'ai levé les yeux. Je n'aurais pas du t'entendre, la bagarre faisait tant de bruit que même si l'on m'avait appelé, je n'aurais sûrement pas entendu. Et pourtant, j'ai levé les yeux, et je t'ais vu. Tes cheveux d'un noir de jet ont volé tandis que tu te jetais dans le vide. Et, comme si tomber de plus d'une dizaine de mètre paraissait pour toi quelque chose de normal, tu croisas les bras et quelque chose te poussa dans le dos. Je ne sus trop ce que c'étais, mais cela te créa des ailes fantastiques qui te firent voler comme un ange. J'avais un ange devant moi, et malgré tout ce que j'aurais pu dire, il est vrai que je t'ais trouvé belle.

Et puis, tu t'es posée au sol. Et en voyant arriver vers toi deux gardes, tu croisais à nouveau les bras. C'est là que je compris ce qui t'avais poussé dans le dos. Tout simplement des bras. Et cela me fascina.

Les soldats se retrouvèrent avec deux bras qui leur entourèrent la tête et avec un léger sourire flottant sur tes lèvres, les bras leur brisèrent la nuque. Je ne sus ce que mes yeux auraient pu te montrer à cet instant, mais je puis t'assurer que tu m'as très vite attiré.

Tu avais la beauté d'un ange, mais une beauté meurtrière. Dans ce que j'ai vu à cet instant, briser la nuque à tes ennemis était pour toi comme une facilité qui fut vite déconcertante. Tu les battais tous d'un simple geste, sans jamais paraître être dégoutée, effrayée, étonnée, voir même surprise. Tout de ce que – en réalité et je l'assume – je voyais en une femme. Mais tu n'étais pas comme toutes les femmes. Tu étais… exceptionnelle.

Je dois t'avouer que j'étais captivé par toi, et seulement par toi. Jusqu'à ce que Rayleigh Silver, le seigneur des ténèbres, face son apparition.

Il assomma d'un pouvoir surprenant toutes personnes dans la salle, mis à part les équipages des pirates. Et puis, Rayleigh nous remarqua, moi et Kidd, et nous fit remarquer que malgré son pouvoir, nous ne nous étions pas évanouis. Ainsi, cela prouvait notre détermination. Mais cela nous fit aussi remarquer… De toi notamment.

Tu posas pour la première fois ton regard sur moi et d'une voix claire, ténébreuse, calme, tu énonças mon nom.

« C'est Trafalgar Law, aussi surnommé le « Chirurgien de la mort ». C'est un des onze supenovas avec une prime à 200 000 000 de berrys. L'autre c'est Eustass "captain" kidd, à 330 000 000 de berrys ».

Et j'ai compris que tu étais intelligente et cultivée. Car tu nous reconnaissais avec facilité. Et puis, je commentais enfin mon étonnement pour la présence d'un homme aussi célèbre ici. Les actions s'enchainèrent jusqu'à ce que Kidd décide de nous devancer avec son habituel moquerie. Il allait nous ouvrir le passage en se débrouillant seul. Mais je n'appréciais guère sa remarque, ni Mugiwaras d'ailleurs. C'est ainsi que nous sortions nous occuper rapidement des soldats de la marine.

Après ça, je suis parti.

Saches alors qu'avant que tu ne partes, j'ai observé le fruit de ton travail, et je suis à mon tour restée fasciné. Car ce pouvoir était exceptionnel, ce qui faisait alors de toi quelqu'un d'exceptionnel. Et, tout au fond de moi, j'ai espéré un jour te revoir.


ça vous a plu ?

J'espère ! Si vous avez n'importe quel remarque à me faire - qui pourrait être utile pour améliorer au mieux ce chapitre ou encore l'histoire en elle-même, faite m'en part !

Merci de déposer une petite review si vous avez lu et apprécié !

Un grand bisous à tous !

Tsuki.

PS : Corriger. Merci à Kama !