Auteur : Kestrel.
Disclaimer : allez on en fait un correct pour démarrer...après je garantis pas ! tous les noms que vous reconnaitrez sont à JK Rowling. Tous les autres sont à moi ! je précise également, que, dans le premier chapitre, il y a une scène de vol/danse. OUI effectivement, l'idée y est aussi dans la fic de Gabrielle TrompeLaMort, MAIS, si c'est ça qui m'a filé l'idée c'est assez courant comme astuce dans les fics. J'ai même lu un roman où c'était utilisé. Voilà c'était juste pour pas être accusée de copiage, et si vous trouvez une autre ressemblance avec une quelconque fic, ben dites le moi, mais là, ce serait un hasard total !
Genre : Adventure/Romance pour la suite.
Situation : Univers Alternatif. Ça se passe au XVIIe/XVIIe siècle. Il n'y a pas de magie, la seule magie, ce sont les acides et les remèdes. Dans ce monde, il n'y a que deux choses : les pirates, et les autres.
N/A : Bon-jour !! me présente pour ceux qui me connaissent pas : je suis Kestrel, tarée de mon état, mais dans mes fics, il m'arrive d'être sérieuse, juré ! si vous me laissez des reviews, je serais très contente !
Histoire de pirates.
Chapitre 1 : Faites la connaissance du Tiger Princess
- En avant les filles ! Hissez la grand voile ! Armez les canons et préparez vous au combat !
Une clameur répondit au discour de la capitaine.
- Prenons les de vitesse ! comme d'habitude !
La joie morbide du combat commençait à se répendre sur le navire.
- Candy ! hisse le pavillon !
- Oui capitaine !
Le drapeau d'Angleterre descendit et fut remplacé par le pavillon noir orné de la tête de mort, du sablier et du sabre pirate. La capitaine grimpa sur le beaupré, ses cheveux auburn flamboyant dans le soleil de fin de journée.
- Les filles ! ce qui nous attend là bas n'est que richesse ! de l'or des joyaux des bijoux et des marchandises ! CAMILLA ! quel est leur pavillon ?
- Espagnol cap'taine ! vaisseau marchand flambant neuf ! le capitaine doit être un nouveau, je ne repère qu'une vingtaine de soldats sur le pont !
- Parfait les filles ! méfiance, ces espagnols sont fourbes ! avant de crier victoire on fouille le bâteau de fond en comble, c'est clair ?! en plus de l'or nous aurons de la soie et des perles !
- OUAIIIIIIIIIIIIIIIIIIIS ! hurla l'équipage en brandissant le sabre.
- Les espagnols n'ont pas de sabres ! ils n'ont que des épées ! elles sont plus lourdes et moins maniables que nos sabres, mais elles sont aussi plus longues, alors faites attention !
La capitaine se tourna vers la mer. Le navire espagnol venait de jeter l'ancre et tentait désespérément de faire demi tour.
- Tss...ils tentent de fuir ! c'est parfait leur position va nous permettre de les attaquer sans qu'ils puissent riposter immédiatement ! tu as raison Camilla, le capitaine doit être un nouveau ! pour l'initier aux joies de la mer, nous allons lui faire faire la connaissance de l'équipage du Tiger Princess !
L'ovation fit trembler le navire. Le navire espagnol était presque à portée de tir.
- Attention préparez vous à ouvrir le feu !
Elle attendit encore quelques instants avant de donner l'ordre de tirer. Le premier boulet tomba à un mètre du navire. Le deuxième brisa un mât qui tomba sur le pont dans un bruit de tonnerre.
- Bien visé ! rugit Camilla du haut de la vigie. Tout un peloton de soldat a été écrasé !
- Parfait...murmura la capitaine en dégainant son sabre.
Elle sortit son mousquet et prit un poignard entre les dents.
- Préparez vous à l'abordage ! Jetez l'ancre !
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Le capitaine espagnol regardait, impuissant, les pirates grouiller sur le navire en face pour se préparer à l'attaque. Il fronça les sourcils.
- Pedro. Viens là.
Le second s'approcha. Le capitaine lui tendit la longue vue.
- Dis moi ce que tu remarques sur le navire en face.
Le second porta la longue vue à son œil et observa un moment. Finalement, il regarda son capitaine, hésitant.
- Je...je me suis peut-être trompé, mon capitaine, mais...ce sont des femmes !
- C'est bien ce qu'il me semblait...prépare les hommes qui sont restés en vie !
Le capitaine reposa son instrument.
- Pff, des femmes ! n'importe quoi !
Il descendit sur le pont. Carlos Garcia ne connaissait pas encore le Tiger Princess, sinon il l'aurait pris au sérieux. Il fallait dire que c'était la première fois que le navire pirate venait dans les eaux de Gibraltar. Il était déjà connu dans le Pacifique, les Antilles, l'océan Indien et l'Atlantique nord. C'était un vaisseau pirate anglais, le seul au monde dont l'équipage soit uniquement composé de femmes avec, à leur tête, la première capitaine de l'Histoire, Lily Evans.
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- On y va !
Les deux bâteaux se heurtèrent dans un grincement et, dans divers cris de guerre, les pirates se jetèrent à l'abordage avec des grapins et des cordes. Lily attrappa une corde et sauta dans le vide. Contrairement à son équipage qui montait directement sur le pont, elle atterrit sur la bouche d'un canon, le faisant dévier vers la mer.
- Bonjour ! dit-elle en souriant aux officiers ébahis qui allumaient le canon.
Le boulet se perdit dans la mer, et d'un rapide allez retour de sabre, les deux espagnols tombèrent au sol. Lily décida de faire un peu le ménage chez les canonniers. Ils s'étaient remis de leur surprise et lui fonçaient dessus, épées au poing. Lily parât facilement le premier coup, esquiva sur la gauche et trancha la jugulaire du premier. Son jeu de jambes était parfait et elle semblait danser, se promenant parmi les hommes et sur les canons. Elle trancha net une mèche enflammée. Le canon était braqué droit sur son navire.
- Excusez moi, fit-elle avec un sourire. Mais ce mois ci je l'ai suffisamment réparé, ce navire !
Elle tira un coup de mousquet et le dernier officier s'écroula. Elle remonta sur le pont. Son équipage avait presque fini. Sentant un appel d'air dans son dos, elle se retourna vivement et fit un saut de côté pour éviter d'être coupée en deux par l'épée du capitaine.
Celui ci semblait incertain. Cette horde de femmes en furies venaient de défaire son équipage, et elles semblaient jeunes, pour la plupart.
- C'est toi le capitaine ? grogna-t-il.
- Enchantée ! rétorqua narquoisement Lily.
Le capitaine l'attaqua. Leurs deux armes se heurtèrent dans une gerbe d'étincelles.
- Voyons un peu ce que vaut le capitaine espagnol, murmura Lily.
Elle se déplaça sur le côté, l'obligeant à pivoter pour la suivre. Elle se déplaçait fluidement, et beaucoup trop vite pour lui qui, arnaché dans son armure, avait du mal à se déplacer.
- T-t-t, soupira Lily en secouant la tête. Ces armures ! ça vous coûte toujours la vie...ces espagnols qui détestent le changement, vraiment !
Elle se positionna derrière lui. Il soufflait comme un bœuf.
- Sans cette boîte de conserve, le jeu de jambe n'est pas trop mal...voyons les parades !
Elle attaqua vivement par en dessous. L'espagnol eut du mal à parer et fit un pas en arrière, vacillant. Lily l'attaquait sans lui laisser d'autre possibilité que de parer, ne lui laissant aucune ouverture d'attaque. Elle se recula brusquement.
- Hum... ce n'est pas trop mal, mais l'endurance, ce n'est pas ça, hmmm ?
Elle le contourna habilement, laissant sa main effleurer la ceinture de l'espagnol. Elle rengaina son sabre, et, lançant sans regarder son poignard dans le crâne d'un officier qui la visait avec son mousquet, elle descendit sur le pont où la bataille était terminée. Un coup de feu retentit brutalement. Le capitaine venait de lui tirer dessus. Elle sourit et se retourna. Elle n'avait rien. Le capitaine, surpris, regarda alternativement Lily et son arme. Avait-il mal visé ? il la remit en joue.
- Ça ne sert à rien, dit tranquillement Lily. Du moins, tant que ceci vous manquera.
Elle ouvrit la main. Au creux de sa paume reposait les balles du mousquet. En le contournant, elle les lui avait subtilisées.
- Habile, n'est-ce pas ? sourit-elle en les mettant dans sa poche. Je vous ai également réquisitionné votre réserve, simple précaution. Maintenant, vous allez rejoindre vos hommes.
Elle pointa sa propre arme vers sa poitrine.
- Immédiatement.
Le capitaine lâcha son arme et descendit sur le pont. Lily s'écarta pour le laisser passer puis le suivit. Les filles entouraient les survivants, en s'amusant beaucoup. Deux d'entre elles s'amusaient à terrorriser les plus jeunes officiers, jouant à les draguer avec des sourires et des moues aguicheurs.
- Ça suffit les filles, dit Lily lorsque le capitaine eut rejoint ses hommes.
Carole et Maori se reculèrent en souriant à leur capitaine amusée.
- Beau boulot ! apprécia Lily. Dix volontaires avec moi pour fouiller le navire.
Dix filles se détachèrent du groupe pour venir se ranger près de leur chef.
- Toi ! fit Lily en pointant le capitaine. Y a-t-il d'autres soldats sur ce navire ?
Elle avait remarqué qu'il regardait fréquemment en direction de la trappe. Le capitaine sourit.
- Si tu attends les canonniers c'est inutile ils sont morts.
Le sourire disparut.
- Je répète une dernière fois ma question, après je te laisse en pâture à mes filles.
L'équipage de Lily se mit à sourire.
- Y a-t-il, oui ou non, quelqu'un d'autre sur ce rafiot ? et gare si tu me mens !
A contre cœur le capitaine secoua la tête.
- Il y avait quelques cuisiniers et hommes à tout faire, dit-il, mais ils sont déjà montés.
Lily sourit.
- Merci bien, capitaine. Surveillez les attentivement les filles. Attendez mon retour si vous voulez vous amuser, ok ? je ne serais pas longue.
Lily descendit, suivie des autres. Après une fouille en règle, elles admirent qu'à part sur le pont il n'y avait personne de vivant. Lily sourit.
- Parfait ! prenez vos sacs, et emportez tout ce que vous voulez ! Belinda, remonte le dire aux autres. Que dix filles restent en haut pour les surveiller.
Les ponts inférieurs du gallion espagnol furent envahi par les pirates. Elles s'amusaient à se parer de soie et de collier de perles en se mettant des plumes dans les cheveux
- Lily vient voir ! hurla Maori, une grande métis aux cheveux nattés, le second et meilleure amie de Lily.
Lily descendit à la calle avec une partie de son équipage. Maori désigna une porte cadenassée. Lily fit un signe de tête à Carole.
- Ouvre ça.
Carole sortit une fiole de sa chemise et en répandit deux gouttes sur le cadenas. Son mécanisme rendit aussitôt l'âme avec un filé de fumée. L'acide avait dévoré le fer rouillé.
- Comment peux-tu garder ça sur toi ? commenta Maeva, une tireuse d'élite. Imagine que tu tombes et que cela se brise ! ça ferait un trou dans ta peau !
- Il n'y a pas de risques, répondit Carole en défaisant les chaînes. Je les gardes dans une bourse d'acier remplie de mousse.
- Ah, tu prends quand même des précautions...
- Ma tante a perdu la moitié de la hanche avec un accident de ce genre.
- Tout s'explique ! murmura Lily en poussant la porte.
Elle saisit une torche avant d'entrer. La calle était sous la mer, il y faisait donc noir et humide. Le long des parois étaient enchaînés des esclaves. Lily grimaça de dégoût. Ça gémissait de tous les côtés. Plusieurs avaient des marques de fouet sur le corps, des marques encore sanglantes.
- Libérez les, ordonna Lily, et faites les monter sur le pont.
Une heure après, tout le monde était réuni sur le pont. Les pirates admiraient négligemment les perles et bijoux dont elles s'étaient parées. La majorité du butin avait été rapatrié. Les esclaves se tenaient en rang. Lily commença à les inspecter.
À
Suivre
...
Autoresse/e/trice/euse/tricesse/on-sait-pas-comen-ki-fo-dire : tadadadadadadadadaaaaaaaammmmmmmmmmmm !! alors ?! je continue ?!
La conscience : pas la peine de faire ça pour une connerie pareille !
Autoresse/e/trice/euse/tricesse/on-sait-pas-comen-ki-fo-dire : mais je t'emmerde toi ! pis en plus elle se prend un nom à part de moi maintenant ! t'es dans ma tête t'y reste ! elle va bientôt m'faire une guerre d'indépendance non mais !
Conscience : (plus con que science d'ailleurs !) dire qu'avant elle voulait que je parte...
Autoresse/e/trice/euse/tricesse/on-sait-pas-comen-ki-fo-dire : meuh nooooon...me suis juste rendu compte de mon erreur : c'est teeeellement marrant de te voir t'arracher les cheveux.
Conscience : certains disent que cette fille n'a pas de conscience. En fait oui. Mais elle n'est pas entendue, voilà tout.
Autoresse/e/trice/euse/tricesse/on-sait-pas-comen-ki-fo-dire : pas écoutée, nuance ! c'est comme quand on bouffe au self. C'est "comestible", pas "mangeable". Mangeable, ça veut dire qu'on peut l'avaler sans avoir envie de vomir. Ce n'est pas le cas.
Conscience : sauvez moi...sauvez moi...où est la SPCM ? vous savez, la Société Protectrice des Consciences Martyrisées ! pourquoi l'auteur/e/se/etc. n'est-elle jamais à court de conneries...
Autoresse/e/trice/euse/tricesse/on-sait-pas-comen-ki-fo-dire : faut le dire en entier ! répète après moi ! Autoresse/e/trice/euse/tricesse/on-sait-pas-comen-ki-fo-dire !
