Je m'excuse auprés des francophones et tous les lecteurs ici, je m'excuse d'essayer d'écrire en francais et d'écrire sans vraiment y réfléchir. Cette histoire ne sera qu'un essai de mon francais. Peut-être que je ne devais pas même le publier, mais...
On commence en italiques parce que ce chapitre s'est passé avant, (bien que je ne sache pas même si ca va continuer).
Cette fois-là il venait de sortir de chez Watson, il avait pris un fiacre, et là, il ôta son chapeau à peine mouillé (étant donné qu'il avait commencé à tomber des gouttes dehors).
Le fiacre bougeait vite et parfois saccadait, et ce n'était que normal. Il peigna et en même temps ébouriffa ses cheveux avec ses doigts.
Ces chevaux étaient forts et sains et leurs robes luisaient sous la pluie avec chaque pli de leurs muscles, leurs jambes commençaient à s'enfoncer avec des pas furieux dans des flaques, puisqu'il pleuvait de plus en plus. De la boue aussi s'embourbait sur la rue mal pavée.
Soudainement une foudre éclaira tout confusément, un tonnerre gronda et le fiacre stoppa lui faisant bondir. Et lui, qui avait les petites rideaux tirées n'ayant voulu voir personne ou activité quelconque, se demanda s'il avait manqué à écouter le son d'une branche craquant et tombant à travers du chemin.
Il ouvra les rideaux et ne vit rien, alors il ouvra le vitre et cria : - Hé ! Pourquoi avons-nous arrêté?
La portière de l'autre côté s'ouvra, Holmes fit une moue et ses épaules reculèrent, désarçonné, pour mieux examiner la présence intruse. C'était un gros chapeau et une cape noirs en montant, et après, assise et la portière fermée, la silhouette d'une femme et mains délicates gantées en noir. Et elle leva la tête et son large sourire le dévoila telle qu'il l'avait attendu maintenant : Irène, la femme fatale…
Holmes laissa tomber sa moue et roula ses yeux à sa place.
- Oh Sherlock ! Vous êtes si plu de me voir !
- Prendre le premier fiacre, marmonna-t-il, n'est jamais recommandable, peu importe les circonstances.
- Eh ben, on laisse les jeux maintenant Sherlock, je ne suis pas d'humeur.
Holmes avait croisé les bras et alors recula une autre fois, pour l'observer plus attentivement, les sourcils froncés. – Ah non ?, et pourquoi ça ?
- Je viens à demander ton aide.
- Et alors ? Ça n'est pas nouveau… Vous êtes trempé, si récent est votre problème ?
Elle leva la tête une autre fois et lui fit face, sous l'ombre de son chapeau ses brillants yeux verts s'agrandirent, angoissés, suppliants. – Oui !
Il prit un souffle profond, rassemblant de la patiencepour l'écouter.Enfin il lui fit face et haussa les sourcils en l'encourageant : 'c'est quoi donc ?'. Mais elle mordit sa lèvre, gênée.
- Allez, parlez ! Ou à bientôt, bon courage…
- J'y vais !... Sherlock, je viens de tuer quelqu'un.
- Ah, la vache !, il ne manquait plus que ça ! Mais qu'est-ce que vous voulez que je fasse ? Tant pis pour vous, débrouillez-vous seule !
- Mais je ne peux pas ! C'est ça le problème ! Toi ! T'es le problème !
- Moi ?
- Lestrade ne sait pas qui est le tueur ! Tu comprends?, il va te chercher et te montrer un morceau de ma robe.
Elle écarta les basques de sa cape et montra sa robe, courte de la partie qui va devant la laissant courir vite comme elle courait, sa jarretière n'en étais pas une, c'était une porteuse d'armes, et il y avait une déchirure en bas où la jupe devenait longue… et mon Dieu, que ses cuisses étaient bien faites!
- Tu vois?, un maudit clou ! Qu'est-ce que je pouvais faire ?, j'étais en fuite… Si !, pour comble il était un flic !
Holmes se sentait comme une religieuse à côté d'elle, il voulut faire le signe de la croix.
- Je sais que tu l'aurais su instantanément ! Mais je t'en jure, c'était absolument involontaire !
Elle commença à mimer la scène, emballée par ses réminiscences, en prenant un des pistolets, réels et chargés, de sa fausse jarretière.
- Bam ! J'ai tiré vers le sol pour l'effarer, et le maladroit en me voyant sortir l'arme a fait un plongeon, où ?, bien sûr que vers la balle !
- Taisez-vous Irène s'il vous plait… vous êtes une vraie canaille!
Il y songea, mais n'importait ce qu'il fît, ce serait horrible pour lui, donc il secoua la tête et se frotta le visage, agacé.
–Vous êtes le pire qui me soit jamais arrivé.
- Vous me pardonnez donc ?
- Quand est-ce que j'ai dit ça ?
- Vous me pardonnerez…
- Ah oui ? Je vois que vous en êtes sûre.
- Si, parce que t'es bon, et tu me comprends. Elle suppliait à nouveau, agrippant son avant-bras. - C'était un accident!
Il grogna, mais pas aucun mot.
Elle semblait se désespérer, et planta ses yeux verts sur ceux de lui. - Je ferai ce que tu voudras…
- Vous faites la putain à chaque fois que vous avez des problèmes ?
- Ne m'insulte pas ainsi…, susurra-t-elle en reculant sur elle-même, rougissant. - Tu sais bien que je suis amoureuse de toi.
- … Et de la moitié du Londres.
- Sherlock !
Holmes bouda, voûté, les bras bien resserrés sur sa poitrine. Enfin il marmonna : - Allez-vous-en! Vous êtes libre.
- Vraiment ?
- Disparaissez avant que je me ravise. Elle s'exécuta. - Attendez ! Vous voyez pas qu'il pleut à torrents?
Mais elle ricana. – Ne sois pas ridicule Sherlock, je suis trempé déjà comme tu l'as dit. Et avec un baiser sur sa joue elle fit ses adieux: - Je t'adore.
Le fiacre de nouveau en marche il se plaignait de sa malchance. La famille du pauvre mort penserait qu'il était aussi bête que Lestrade… Ah oui, et la femme fatale, elle, elle était partie à la jungle.
