Salut, les gens ! Me revoilà pour un nouveau one-shot. J'espère que vous aimerez. Je sais, ça fait longtemps que je n'ai pas posté mais j'ai une bonne excuse. Je suis en terminale. Terminale = bac = révision qui m'ont pris pas mal de temps.
La ville de Rome brûlait. Partout, des incendies éclataient. La raison ? Une invasion barbare. Intéressons-nous à l'une des rares maisons à ne pas encore être la proie des flammes. Son propriétaire était le représentant de l'Empire Romain, aussi connu sous le nom de Romulus. Il observait le désastre par la fenêtre. Tout à coup, il vit le représentant de la Germanie se diriger vers sa demeure. Il su ce qu'il devait faire. Il appela ses deux petits-fils et les mena près d'un coffre. Il poussa le coffre, révélant un passage secret. Il se tourna vers les enfants et dit :
-Empruntez ce tunnel. Il vous mènera en sécurité.
-Tu va venir avec nous ? Demanda Feliciano.
-Je ne peux pas, mon grand. Je dois aller me battre.
-Alors, je reste avec toi. J'aime pas être loin de toi.
-Tu n'a pas le choix, Feliciano. J'essaierai de vous rejoindre une fois le combat terminé, mais ce ne sera peut-être pas possible. Mais je veux que vous sachiez que même sans l'être physiquement, je serai toujours avec vous. Où que vous ailliez, quoi que vous fassiez, je serai là. Toujours.
En disant ça, il posa ses mains sur les poitrine des deux petites nations.
-Dans nos cœurs ? Demanda Lovino.
-Oui. Lovino, veille sur ton frère, d'accord ?
-Promis ! Tu peux compter sur moi, le vieux !
-Très bien ! Maintenant, filez.
-Mais... Objecta Feliciano.
-FILEZ !
Lovino, sentant que son frère continuerait à protester, le tira à l'intérieur du tunnel. Ils le traversèrent en courant pendant un temps qui leur paru interminable. Lorsqu'ils arrivèrent de l'autre côtés, ils s'aperçurent qu'ils étaient dans une forêt. La nuit était tombée. Tout à coup, une douleur fulgurante leur traversa le cœur. Elle ne dura pas longtemps mais les fit chanceler.
-Tu l'a senti ? Demanda Lovino.
-Oui. Est-ce que tu crois que ça veut dire que grand-père...
-Oui. Je crois que le vieux est mort.
-On savais que ça pouvais arriver, hein ?
-Oui. Il nous avait prévenu. En y réfléchissant, je pense que ça pouvait pas finir autrement.
Pendant quelques instants, il restèrent silencieux, les yeux dans le vague. Puis, Lovino rompit le silence.
-Feli ?
-Oui, Lovi ?
-J'ai envie de pleurer.
