Résumer: Une méconnaissance l'un de l'autre a fait de Harry et Draco des ennemis. Un père violent, une mère négligente et une enfance malheureuse à fait de Severus un homme froid, antipathique et mal aimer. Une famille qui ne l'acceptai pas, la perte de ses meilleurs amis et une condamnation à tord a fait de Sirius un homme malheureux. Et si un accident de potion leur donnaient à tous une seconde chance?

Note: C'est un Harry/Draco mais pas un Sirius/Sévérus. Donc c'est un peu une sorte de prologue, j'espère qu'ils vous plaira et vous donnera envie de lire la suite!

Beta: Ninoia


"Les enfants dans le noir font des bêtises

mais des bêtises dans le noir font parfois des enfants..."

"- Nous allons faire cette potion par binôme, leur dit le professeur Rogue, et comme le directeur tiens beaucoup à l'amitié entre les maisons. Il se stoppa un instant pour jeter un regard noir à son tout nouveau collègue, puis reprit. Les binômes seront fait d'un Serpentard et d'un Griffondor. Ils seront valable dans tout les cours et ne seront pas changer de l'année."

Bien-sûr, la nouvelle fut accueilli par un enthousiasme... mitigé dirons-nous. Depuis la fin de la guerre, qui eu lieu la sixième années, et surtout depuis la rentrée, le Directeur déployai une énergie folle pour l'entente entre les maisons Serpentard et Griffondor. Tous les cours étaient en commun et il avait été jusqu'à donner un collègue à l'impitoyable professeur de potions pour tempéré sa haine des rouges et ors. C'est pourquoi ce dernier supportai, avec peine, Sirius Black à chacun de ses cours.

La liste des binômes était égrainée et se formait sous les grognements plus ou moins coopératif des élèves, jusqu'au fameux :

" Harry Potter et Draco Malfoy."

Tout le monde s'y attendait à celle-là, sauf les premiers concernés visiblement. Le deux plus grands ennemis de Poudlard, ensemble huit heures par jour, cinq jours sur sept ? Pas sur que l'école reste debout très longtemps... Surtout qu'entre eux, depuis la rentrée, c'était encore pire que les six dernières années réunis. Leurs amis respectif, las des nombreuses heures de colles et de la constante perte de point, avait essayés d'évité toutes rencontres fortuites dans les couloirs. Mauvaise idée, très mauvaise, s'ils n'avaient pas, l'un comme l'autre, leur dose de confrontation mutuelle, ils étaient invivables pour leurs proches. Ne les supportant plus au bout de deux jours, tous ceux de leurs dortoir personnel laissèrent tombé cette "délicate" intention. Ils se contentaient maintenant d'observer de loin pour être sûr que ces combats n'aillent pas trop loin. Les deux adolescents avait complètement laissé tombé leur baguette lors de ces luttes devenue quotidienne. Ils préféraient visiblement se battre à mains nus, frappé, griffé et mordre, sentir le corps de l'autre craqué, voir le sang couler, c'était devenu leurs seul raison de ce lever le matin... Et comme ils sont à peu près la même taille, la même stature et surtout de la même force et la même puissance, cela pouvait duré des heures.

Alors, quand l'enseignant articula ces deux noms, c'est sans surprise qu'une joute verbal entre les deux concernés commença. Mais le potioniste n'était vraiment pas d'humeur...

"- Black, essaye de maîtriser ton filleul un peu !

- Je te retourne la directive, Rogue!"

Ce dernier se pinça l'arête du nez et respira profondément. Non, ne pas s'énerver... D'un regard il coupa court à la chamaillerie des deux élèves. Du moins en apparence.

"- Je te préviens Potter, il est hors de question que ton incompétence légendaire ruine ma moyenne ! marmonna Draco à son camarade. Alors tu fait exactement ce que je te dit.

- Oui, mon maître..." Répondit ironiquement le brun.

Si la première heure se passa sans trop de mal, ce ne fut pas forcement le cas de la deuxième.
Sirius s'était approché de Neville, qui était juste devant Harry, pour essayer de l'aider et lui donner des conseils, quand un cri du blond fit se retourner la classe entière et attira vers eux l'impitoyable professeur Rogue.

"- Potter! T'es vraiment un crétin ma parole ! Comment tu peut confondre le crin d'une licorne et les cheveux d'une sirène ?!

- C'est toi qui m'a dit que c'était ça ! s'indigna Harry.

- Je croyais que tu savait faire la différence, mais visiblement, c'était trop demander!

- Qui m'a dit "fait exactement ce que je te dit" ?

Trop pris par leur dispute, ils ne remarquèrent pas que leur chaudron bouillonnait avec un peu trop de vigueur. Neville et les autres élèves proche de la "zone de danger" c'étaient éloignés par précaution. Les deux professeurs l'auraient sûrement fait aussi, s'ils n'étaient pas eux-même en pleine dispute pour défendre leur filleul respectifs . Et bien sûr, ce qui devait arriver arriva. Le chaudron explosa.
Draco ne dû sa survie que grâce aux réflexes de sa Némésis qui l'avait attrapé in extremis et avait roulé avec lui sous le bureau pour éviter toute projection de potion.

"- Ah, bah bien, Potter! T'es fière de toi j'espère ! Tu as fait explosé cette potion et en plus tu as chiffonné ma chemise! Râla le blond en se relevant.

- Je t'ai sauvé ! Tempêta Harry en faisant de même. Et je te ferais remarquer que c'est uniquement de ta faute si cette potion a explosé !

- Mais je ne t'ai rien demandé, figure toi."

Ils étaient encore reparti pour une violente dispute quand ils furent interrompu par un babillage d'enfant. De jeune enfant...
Dans un ensemble tout à fait charmant pour un observateur extérieur, les deux adolescents tournèrent la tête en direction de ce bruit incongru dans une salle de classe de collège. Et là, où ce tenait il a encore quelques instants leurs deux professeurs, gisait maintenant deux tas de vêtements.
Et au milieu de ces tas de vêtements ce tenait respectivement deux enfants, entièrement nus, âgé d'environs un ans et demie.

"- Potter, t'as rajeunit nos parrains!"

Ce dernier, trop choqué par la situation, ne releva pas. Encore heureux, on n'avait pas besoin d'une dispute en plus.
Sauf que les cachots, en Écosse, au mois d'octobre, c'est froid. Que des adolescents en état de choc ont une réactivité proche de zéro. Que les enfants ne sont pas un exemple de patience. En sachant tout cela ce n'est pas étonnant que, devant toute la classe médusé, Sirius se mit à pleuré à chaudes larmes. Et comme c'est le cas avec tout les enfants, Sévérus ne mit pas longtemps à le suivre dans sa crise de larmes.
Mais les cris portèrent leurs fruits vu qu'ils eurent au moins l'avantage de sortir Harry et Draco de leur état de transe et qu''ils se précipitèrent vers leur parrain respectifs. Ils les enveloppèrent chacun dans une cape et, d'instinct, les collèrent contre leur torse pour les rassurer.

"- Dumbledore? Demanda le brun.

- Je ne vois que ça..." Acquiesça son acolyte.


Voila pour le premier chapitre, je ne sais pas quand arrivera le deuxième mais si cette fiction plait, je vais essayer d'être assez régulière.

N'hésiter pas à dire ce que vous en avez pensé!