Quand Hermione fit son apparition au quai 9 ¾, se fut avec classe, élégance, mais surtout une confiance absolu, chose qu'on ne lui connaissait pas habituellement. Mais chose encore plus étrange, suspendu à son bras se trouvait Pansy Parkinson -son ennemis de toujours-, ensemble elles riaient aux éclats. Tout le monde se retournaient sur leurs passages, la pensée que toutes ces personnes avaient en commun était : « Est-ce vraiment Hermione Granger ? Qu'a-t-il bien put lui arriver ? ». Tous sauf ses amis de toujours, Ron et Harry, qui eux, étaient tout simplement fou de rage.
« Je vais réduire le pékinois en bouillit. » Prévint Ron, rouge tomate.
« Non Ron. Laissons faire Hermione, c'est une grande fille, elle sait ce qu'elle fait, j'ai confiance en elle. » Intervint Harry, donnant une tape amicale sur l'épaule de Ron.
« C'est Hermione ? C'est quoi ce look ? » S'étonna Ginny, en arrivant.
« Aucune idée, sa doit être dut à sa copine : Pansy Parkinson alias Pékinois. » Répondit Ron.
Ginny se frotta le front, mal à l'aise. Elle seule était au courant de se qui ce passait dans la vie d'Hermione ces temps-ci apparemment. Mais elle ne dirait rien, parole de Weasley.
« Toi, tu sais quelque chose. » Accusa Ron.
« Moi ? Non ! » Contredit Ginny.
« Chéri, je t'aime, mais il faut que je te dise, tu es une très, mais alors très mauvaise menteuse. » Rigola Harry.
« Dis nous ce que tu sais, ou on te fera passer au aveux. » Menaça Ron. « Manière douce ou forte ? »
Ginny et Harry le regardèrent, puis Harry interrogea Ginny du regard.
« Il a passer l'été à regarder des films ou séries policières. » Expliqua celle-ci.
« C'est pas le sujet ! Qu'est-ce que tu nous cache ? » Attaqua Ron.
« Je ne peux rien dire désolé. » S'excusa Ginny, reculant d'un pas.
« Laisse là Ron, elle a raison. Si Hermione veut qu'on sache, elle nous le dira quand elle sera prête. » Intervint Harry. « Reste plus qu'à attendre qu'elle soit prête. »
« Harry Potter, le roi de la sagesse, qu'est-ce que tu peux m'énerver quand tu t'y met. » Informa Ron, montant dans la train.
Ils allèrent rejoindre Hermione, dans un compartiment spéciale, comme chaque années. Mais là, surprise ! Pansy Parkinson. Ron, Harry et Ginny s'assirent sur la banquettes face à elles. Ron tirait la tronche, Harry d'un calme habituelle et Ginny souriait pour rassurer les deux filles.
« Qu'est-ce que le pékinois fait là ? » Agressa Ron, lançant un regard haineux à la concerné.
« Ron ! » S'écria Hermione.
« Je croyais qu'on allaient dans le compartiment de TES amis, parce qu'ils étaient plus compréhensif que les miens. » Dit doucement Pansy, à Hermione.
« Sa doit être le faite de te voir avec moi, qui les déstabilise quelque soit peu. » Objecta Hermione.
« Tu ne leurs à pas dit ? » S'étonna Pansy.
« Dis quoi ? » S'enquit Harry.
« Si, moi je sais. » Intervint Ginny.
« Pansy est ma sœur. » Déclara Hermione.
Harry et Ron explosèrent de rire, mais voyant que leur amie ne rigolait pas, ils se calmèrent et l'interrogèrent du regard.
« J'ai appris que j'ai été adopter en début d'été. Après ça mes parents biologique -les parents de Pansy- m'ont réclamé, c'est alors que je suis partis avec eux, et avec Pansy on a fait la paix, car après tout, on est sœur. Depuis le temps que je rêvais d'en avoir une. Bon, c'est vraie qu'au début j'étais pas emballer que se soit Pansy, mais elle c'est révélé fantastique, et je suis heureuse de l'avoir pour sœur. » Expliqua Hermione.
« Sa y'est Harry, notre petite Hermione perd la boule ! » S'exclama Ron.
« Oh il est l'heure. » Informa Hermione. « Bon, Pansy, vu l'accueil que tu as eut, tu voudrais sûrement retournée avec tes copains, comme je dois y aller. »
« Tu vas où ? » S'enquit Harry.
« Je suis préfète en chef cette année, je dois aller dans mon compartiment. Excusez-nous, on s'en va. » S'excusa Hermione en tirant Pansy hors du compartiment.
Hermione déposa Pansy devant le compartiment de ses amis, la prit dans ses bras et s'en alla vers le sien, celui des préfet en chef. Quand elle en ouvrit la porte elle crut rêvé, son homologue masculin était…
« Malfoy ! Qu'elle mauvaise surprise. » Observa Hermione, prenant place face à lui.
« Tu es en retard Granger. » Informa Malfoy, dédaigneusement.
« Oh vous êtes là, tout les deux, parfait. » Arriva McGonagall. « Jeunes gens, comme vous le savez, vous voila préfet en chef pour votre dernière année. Félicitation à vous deux. J'espère que vous serez digne de cet place. Et aussi que vous montrerez le bon exemple en évitant de vous entretué. Vous disposerez d'appartement privé, je ne pense pas qu'il soit nécessaire de dire pas de bêtise, quoi que… Si vous vous tuez, sa serait une énorme bêtise, alors pas de bêtises. Une nouvelle règle à été instaurer, tout les dernières années n'ont plus obligation de porter l'uniforme de Poudlard, vous l'annoncerez au repas d'accueille. Sur ce, bon trajet. Et je répète, pas de bêtises. Monsieur Malfoy, Mademoiselle Parkinson. »
« Granger. » Reprit Malfoy.
« Pardon ? » S'étonna McGo.
« Vous avez dit Parkinson, vous vous êtes tromper, c'est Granger. » Expliqua-t-il.
« Non. Parkinson. » Insista McGo en refermant la porte derrière elle.
« Elle débloque. » Conclut Malfoy.
« Non, je ne vois pas pourquoi tu dis ça. » Répondit Hermione.
« Elle t'a appeler Parkinson. »
« Et alors ? C'est mon nom. »
« Quoi ? » S'étonna-t-il.
« Le serpent n'est pas au courant. Pansy t'expliquera. »
« Je veux savoir Granger ! »
« Tu demanderas à Pansy. »
« Pansy ? Ce n'est plus Pékinois ? Dis moi ce qui se passe tout de suite ! » Ordonna-t-il, sèchement.
Hermione croisa les bras sur sa poitrine, pour lui faire comprendre qu'elle ne dirait rien. Fous de rage, Malfoy se leva et sortit du compartiment pour se diriger d'un pas furieux vers celui de ses amis. Il en ouvrit brusquement la porte.
« Pansy ! » Cria-t-il.
Pansy le regarda, étonné, mais finit par se lever. Elle le rejoignis dans le couloir et se tourna vers lui après avoir refermer la porte.
« Que ce passe-t-il ? » S'enquit-elle.
« Pourquoi la vieille chouette à appeler Granger, Parkinson ? » S'écria-t-il.
« Oh… » Souffla-t-elle.
« Répond ! » Hurla-t-il.
Tout les élèves regardèrent par les vitre de leurs portes de compartiment, alors qu'ils virent tous Hermione, arriver, poing serrer sur sa baguette.
« Je t'interdis de lui crier dessus Malfoy, ce n'est pas ton chien ! » S'énerva Hermione.
Draco se retourna pour faire face à Hermione, dos à Pansy.
« Tout vas bien, Mione. » Rassura Pansy.
« Non, tout ne vas pas bien. De quoi te mêle-tu sang de bourbe ? » Cracha Malfoy.
« Draco ! Ne parle pas comme ça à ma sœur ! » Ordonna Pansy.
Draco se figea, avant de se retourner vers Pansy.
« Ta quoi ? »
« Ma sœur… Hermione est ma sœur… Ma vraie sœur… » Bégaya Pansy, baissant les yeux.
« Alors tu es une sang pure ? » Demanda-t-il en se retournant vers Hermione.
« 100% pure, 100% sorcière mon cher. » Répondit Hermione, sur d'elle.
« Alors ça, c'est ce qu'on appelle une surprise. » Murmura Draco, troublé.
« Tous dans vos compartiment ! » S'écria McGo. « Je vous avaient pourtant dit de montrer le bon exemple. »
« Excusé-nous professeur sa ne se reproduira plus. » S'excusa Hermione.
Pansy rejoignit son compartiment, ainsi que Draco et Hermione. Ils s'assyirent dans la même position que précédemment, face à face, ce toisant. Draco avait l'impression qu'Hermione avait changer et la détaillait, le problème c'est que tout avait changer.
« Tu as changer. » Lança-t-il, plus rudement qu'il l'avait pensé.
« Normale, je ne suis plus la sang de bourbe à tes yeux. Sa change ton point de vue. » Répliqua Hermione.
« Non. Pas seulement. »
« Alors quoi ? »
« Tes cheveux ne sont plus broussailleux, mais adopte de boucles souples, tu te maquille et la manière dont tu t'habille… » Commenta-t-il.
« Je dois prendre sa comme un compliment ? »
« Non. Oui. Je sais pas. » Hésita-t-il.
« Tu ne sais pas comment te comporter avec moi n'est-ce pas ? »
« Étant donner que ta mère est ma marraine et ta sœur ma meilleure amie. Effectivement, j'en ai aucune idée. » Avoua-t-il.
« A vrai dire moi non plus. Surtout que ma mère m'a demander d'être sympa avec toi, Pansy lui a raconter nos… Altercations. » Informa Hermione.
« Et elle m'en demandera sûrement autant à ton sujet. » Répondit-il. « Puisse que… Tu n'es plus une sang de bourbe, que tu est la fille de ma marraine, la sœur de ma meilleure amie, qu'on va être obliger de se supporter… cher nous et sûrement en dehors de temps en temps à cause Pansy, on devrait essayer de se supporter. » Déclara-t-il.
« Bien, on fait la paix ? » Proposa Hermione, tendant sa main.
Draco regarda la main de la jeune fille, ses ongle parfaitement limer en arc de cercle, adoptant du vernis à ongle violet très foncé, presque noir, parfaitement appliquer. Hermione avait changer.
« Une petite chose. Nos joutes verbales ? Ne compte même pas à ce que j'arrête. » Prévint-il.
« Moi non plus. » Répondit Hermione.
« Marcher conclut. » Dit Draco, serrant la main de la jeune fille.
Sa peau était étrangement douce, il en fut étonner. La jeune fille, retira doucement sa main de celle du jeune homme, pour la reposer sur ses genoux. Elle fouilla dans son sac pour en sortir une petite pochette, elle posa un miroir sur le rebord de la fenêtre et se remaquilla convenablement devant celui-ci. Puis elle attrapa de la mousse à cheveux et s'en mit, pour que ses boucle garde le même aspect, elle attrapa une bombe de lac et s'en aspergea.
« C'est quoi ses truc ? » Grimaça Draco.
« De la mousse à cheveux. Qui garde mes cheveux bien boucler. De la lac. Qui fixe le tout. C'est moldu. Qu'est-ce que tu veux, on ne se refait pas ! »
« Pourquoi ne pas utiliser un sort pour ça ? »
« Je n'ai pas trouver le bon encore, je m'y suis pas vraiment pencher a vraie dire, je n'ai pas eu le temps de réviser cette été. Du moins pas sous cet aspect. » Déclara-t-elle.
« Comment ça ? Tu n'as pas réviser un seul de nos cours ? » S'étonna Draco.
« Non. J'étais trop occuper à découvrir ma sœur, mes parents et a apprendre à être une vraie dame avec ma mère. » Expliqua Hermione.
« Oui, ba y'a encore du travail. » Releva-t-il, détaillant la position de la jeune fille.
Celle-ci était accroupis par terre, pencher en avant devant le miroir.
« Qu'elle position aurais dus-je adopter alors ? » S'enquit Hermione.
« J'aurais plein de réponses à te donner pas très… Catholique. »
« Oui, je vois des qu'elles tu parle. » Rigola la Gryffondor.
Il fut étonné de ne pas la voir rougir. Et laissa même échapper un sourire amusé. Hermione le regarda, pour la première fois elle le voyait sourire, sa donnait une certaine gaieté à son visage.
« Bon alors, tu m'enseigne ? » Demanda Hermione.
Il arqua un sourcil en sa direction.
« Je ne parle pas, des positions non catholique, je te rassure. » Ajouta-t-elle en rigolant.
