Hey les enfants ! Nous voici donc aujourd'hui pour un Unty, la première songfic d'une petite liste ! Celle-ci à donc été créée à partir de la chanson 'Les mains froides' d'Oldelaf. Voilà.
À oui, par contre j'ai changer des mini trucs pour que la chanson aille un peu plus avec le ship (parce que des boobs sur un mec, c'est pas très normal lol )
Du coup voila ! C'est parti pour mon premier Unstiteuf !


C'était si beau la rue Monge sous la neige,
Et je marchais les deux mains dans les poches,
Toutes trouées de mon pantalon beige,
Pourquoi d'ailleurs avais-je mis le plus moche ?

Même si cet hiver me glaçait le sang, mon coeur ne cessait de se réchauffer en tambourinant dans ma poitrine comme si elle allait exploser. On se parlait depuis tellement longtemps... Plusieurs mois, plusieurs années même ! Et il avait fallut qu'on se rencontre pour la première fois sous la neige.

Je t'ai croisé sans vraiment m'y attendre,
Et en même temps on avait rendez-vous,
Tu as souri et t'es venu me prendre,
Les mains que je planquais dans mon futal à trous.

J'avais toujours détesté la neige et l'hiver, mais en ce moment même, je les remerciaient secrètement de pouvoir me fournir une excuse concernant le rouge qui commençait à teinter mes joues. Ton sourire m'avait fait chavirer au sens propre du terme... Je m'étais fait un gros hématome sur le front en glissant sur le verglas, rappelle-toi !

Je me souviens que j'avais les mains froides,
Je tremblotais, et j'étais à la traîne.
Tu ne devais pas les trouver si froides,
Car malgré tout, tu les laissas dans les tiennes.

Tu riais silencieusement dans ton coin depuis quelques secondes avant de me tendre la main pour m'aider à me relever. Tu esquissas un petit frisson lorsque je la saisie, j'avais encore oublier mes gants. Tes doigts étaient chauds et ta paume était douce, pour rien au monde je n'aurait voulus la lâcher. Mais toute les bonnes et belles choses ont une fin.

On a marché vers la rue des Écoles,
On s'est posé tout au fond d'un bistro,
Je t'exposai une théorie folle,
Que par ce temps, c'est sympa un thé chaud.

J'avais réussi à m'habituer à ta présence, mais je n'arrivais toujours pas à parler comme nous le faisions avant. Et en plus, je ne pouvais plus affirmer que le froid me faisait rougir, il faisait tout à fait bon dans ce petit bar... Presque trop d'ailleurs.

Toi tu souriais en plissant tes yeux bruns,
Que je voyais même sans les regarder,
Tu t'es levé, t'as payé au comptoir,
Puis t'es venue par les mains me chercher.

Elles m'avaient manquées tes mains, elles me semblaient encore plus douces et chaleureuse que tout à l'heure... M ais je crois que ce que j'ai préféré chez toi, c'était tes yeux. J'avais l'impression que tes pupilles rentraient dans mon esprits, y incrustaient ton images au fer rouge avant de la balayer d'un coup de cils. Et puis la ou certains diraient que ce ne sont que des yeux bruns, j'y voyais tout un torrent d'émotions déferlant vers moi dès que j'y plongeais le regard. Je n'avais même plus la force de bouger mes paupières tant j'étais captivé par ton être.

Je me souviens que j'avais les mains froides,
Je tremblotais, et j'étais à la traîne.
Tu ne devais pas les trouver si froides,
Car malgré tout, tu les laissas dans les tiennes.

Ce n'était plus l'appréhension qui me guidait comme ses quelques derniers jours, mais la peur et l'angoisse de te quitter qui me tordait les tripes. Je ne voulais pas te voir t'éloigner après un simple « Salut, à la prochaine !».

On est allé dans ta chambre au sixième,
J'avais prévu de te lire des poèmes,
T'as mis un vieux disque de Billy Paul,
Je me suis tu et j'ai lu les paroles.

Ton appartement étais comme je l'imaginais ( en un peu plus soigné je l'avoue ), rempli de goodies et d'objets en tout genre destiné aux geeks. Mais c'est bien en voyant ta chambre qu'on te reconnaissais, toi et ta passion. Des dizaines de figurines, de posters, et d'autres gamineries touchants au monde fantastique de pokémon. Même moi je ne décorais pas autant mon appart' en fonction de mes goûts ! ( j'aurais l'air fin avec des posters de pin-ups partout dans ma cuisine... ) Après quelques secondes de silence reposant, je sorti une petite feuille ou était inscrits pleins de mots gribouillés à l'arrache.

Il te restait quelques gouttes de madère,
J'ai dit «pas trop», tu m'as servi un verre,
Et au moment ou j'allais y goûter,
Tu m'as souris, et tu m'as embrassé.

Je ne le croyais pas... Je devais sûrement être entrain de rêver. Et pourtant cela s'était bien produit... J'avais vu de l'alcool dans un coin, je ne m'étais pas demander pourquoi la bouteille était là, mais j'en avais tout de même voulu. Tu m'avais souris en guise de réponse et puis tu t'étais levé pour remplir un verre que tu m'avais apporté. Je crois même que j'en avais profité pour reluquer tes poches arrières ! Je n'avais jamais adoré l'alcool, et je ne sais pas si à ce moment là tu l'avais deviné, mais sa m'aurai bien embêté de finir saoul lors de cette soirée. Alors tu as placé ta main sur celle qui tenait le petit gobelet et tu as posé tes lèvres sur les miennes alors que mes joues se teintaient peu à peu d'une couleur cramoisi.

Je me souviens que j'avais les mains froides,
Je tremblotais, et je me sentais nul.
Tu ne devais pas les trouver si froides,
Car malgré tout, tu les laissas sous ton pull.

Je crois que j'aurais été incapable de te décrire ce que j'ai ressenti à ce moment là. Cette sensation... Ça devait ressembler à un feu d'artifice explosant dans ma poitrine, propageant une vague intense de chaleur et de confort partout dans mon corps... Je suis désolé, c'est pas très poétique ce que je te raconte, mais je n'ai jamais été fort en description...

Tu m'as dit : «Gars, j'aime bien tes manières»,
Et moi j'ai dit : «Je connais un poème».
Tu m'as souri, t'as éteint la lumière,
Dans mon oreille, t'as glissé un : «Je t'aime».

Le noir, l'absence de lumière, appelez ça comme vous voulez, moi la seule chose que je retenais, c'était une nouvelle parade pour mes joues cramoisies. J'avais presque cru faire un arrêt cardiaque ! Et même si mourir après avoir appris que tu m'aimais ne m'aurais pas chagriné, je n'aurais pas supporté de te rendre triste... Mais je crois que je suis parti un peu trop loin.

J'aurais dû dire un mot tendre et sympa,
Mais moi je t'ai juste dit rien du tout,
Puis doucement, tu t'es collé à moi,
Et pour le reste, ça n'appartient qu'à nous.

Je te l'ai sûrement déjà dit, je n'ai jamais été très fort pour exprimer mes sentiments et pour faire des compliments, mais j'ai eu la légère impression que cela ne t'avais pas gêné... Je me souviens encore de ta peau contre la mienne et de chacun de tes gestes qui m'embrasaient les uns après les autres. Mais je crois que je divague... Tout ce que je peux te dire, c'est que ça à été la plus belle soirée de ma vie.

Je me souviens que j'avais les mains froides,
Je tremblotais, mais je me sentais bien.
Tu ne devais pas les trouver si froides,
Car malgré tout, tu les laissas sur tes hanches.

Nt, je ne cesse de te découvrir depuis cette fameuse soirée, et rien ne me rend plus heureux que ta présence auprès de moi.
Je t'aime, et je ne veux plus te quitter.

Unster.


Voilà voilà ! Ça c'était de la guimauve ! Du coup je sais pas trop ce que je vais faire pour la suite... On verra bien ! ^^
N'hésitez pas à me dire se que vous en avez pensé ! Pour m'éviter de faire du caca plus tard par exemple !
Gros bisou ! Sur ce, c'était votre seule et unique loutre reine du monde, pour vous servir ! 3