Ceci est un fan-fic parlant de la relation entre Sangohan et Videl, et de la réaction de leurs parents et amis respectifs. (C'est plus trop vrai!)
Genre : Comique, romantique, et songeur, vu les nombreux souvenirs rappeler
Couple : Sangohan et Videl, et pas mal tout les autres!
Titre : Les parents, des fois! (Il faudrait peut-être le changer pour le rendre plus unique!)
Chapitre 1 : Quand les premiers rendez-vous s'en viennent…!C'était à la fin de Boo. Son père avait vaincu le mauvais démon, et ils étaient tous en paix, à présent. Mais une grave nouvelle devait attristé sa vie : recommencer à faire ces cours à distance. Sangohan en était bien désolé, car ça voulait dire tant de chose…!
Ne plus voir les gens qui l'avaient pris en amitié et même ceux qui l'avaient pris en grippe. Ne plus rencontrer ces professeurs, en chair et en os, qui avaient si vites vu toutes ses qualités et ses défauts, l'avaient mis sur la voix pour obtenir le fruit de son rêve : devenir un scientifique. Et… Ne plus voir Videl.
Bang! Cette dernière pensée le plongeait dans un léger élan de déprime. Sa très bonne mère, Chichi, l'observa avec un regard compatissant, lui apportant la théière, s'assoyant à côté de lui sur le divan. Elle lui parla calmement, tentant de rendre la situation moins pénible
-Allons! Fiston, tu n'as pas à rester planté comme une plante suppliant le ciel de lui donner de l'eau! Je sais ce qui va te faire plaisir! s'exclama sa mère, lui passant une tasse remplie du doux et chaud breuvage.
Il prit le contenant, souffla et bu, sentant son cœur se réchauffer sous la présence si merveilleuse de celle de sa mère, si encourageante et positive. S'il pouvait sortir de son état de déprime, se serait bien grâce à…!
-Tiens! Des devoirs de maths d'un niveau très avancé! Et si tu les réussis, tu pourras entrer dans l'option « université plus »! expliqua Chichi, lui mettant la pile de document sur ses genoux, entouré d'un beau ruban rouge, comme un cadeau de Noël.
Finalement, il n'aurait pas du s'attendre à autre chose de sa mère tant attachée aux études. Elle, elle était parfaitement heureuse de la situation. Elle avait retrouvé son mari. Elle avait lui et son frère comme trésor. Et à présent que lui, Sangohan, il était revenu à l'école maison, elle allait pouvoir surveiller sa scolarité. Vraiment, c'était le paradis pour elle! Il ne restait plus que le Sangoku trouve un travail, et il n'y aurait plus aucune peine ou déception dans le monde!
Mais pour lui, jeune homme de dix-huit, allant sur ses dix-neuf ans, il avait bien aimé aller à l'école publique! Il s'était faits des amis, avait côtoyé des profs en cher et en os et avait rencontré une justicière têtue mais très bien… vraiment très bien!
Et ça y était! Il avait retrouver la triste déprime, son amie de cellule, depuis ces quelques jours où l'excitation d'avoir vaincu Boo redescendait partout dans le monde.
Sangoku en était inquiet et personne, ni dans sa famille, ni dans ses amis, ne comprenait ce qui se passait chez le jeune adulte. Mais la bonne et si véritable amie du studieux garçon vint lui faire une visite surprise.
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Alors qu'il prenait d'un air morose la pile de document sous l'œil joyeux de sa mère, on sonna à leur porte. Sangoten alla ouvrir, un lézard qu'il s'en allait montrer à son père en main.
-HIIIIIIIIIP! s'écria soudain la voix très reconnaissable, pour l'oreille affûté du jeune homme, de sa charmante mais têtue amie.
Il fonça, échappant du même coup à son futur travail scolaire sous l'œil horrifié de sa mère, et vint au lieu où son amie épouvantée s'éloignait de l'entrée, là où Sangoten et un crocodile adulte se campaient, tout deux surpris de son effarouchement. L'aînée fit signe à son frère d'aller jouer à l'extérieur avec son nouveau pote, avec un attendrissement dans le cœur, n'ayant pas oublié l'époque où il s'était fait ami avec un dragon mais ne le voyant plus, depuis qu'il était parti en migration. Mais afin de ne pas paraître trop bizarre devant son amie à la vie « normale », il fit en sorte de témoigner de la stupeur et invita enfin son ancienne collègue de classe de bien se donner la peine de rentrer.
-Je… Je suis désolé, mais…! commença-t-elle, se prenant le pouls de son cœur, tout frémissant dans sa poitrine, mais se sentant gênée de réagir comme n'importe quelle fille dans un roman feuilleton télé ou un manga.
-T'en fait pas! Je ne savais même pas qu'on avait des alligators dans notre région! expliqua son ami, affichant un air désolé quoi que très content de la voir.
-Qui est-ce? demanda Chichi, apparaissant devant l'entré, reconnaissant alors la fameuse jeune fille dont elle aurait souhaité secrètement que son fils s'éprenne et que ça soit réciproque, vue la « fortune » de la jeune dame.
-Une amie du collège! Mais… vous vous connaissez déjà! Je vais lui servir une boisson! expliqua Sangohan, désirant ainsi pouvoir être seule avec elle, à la cuisine, afin de connaître pourquoi elle était venue lui rendre visite.
-Oh, mais je…! commença-t-elle, n'ayant pas trop soif, mais Sangohan insista, un large sourire innocent aux lèvres, déclarant qu'après son long voyage, elle devait avoir un grand besoin de s'altérer.
Se retrouvant donc à la table de la cuisine ensoleillée, un verre de limonade à la main, elle vit son ami paraître plus à l'aise, soupirer et relever un visage vraiment rayonnant, comme s'il fut déchargé d'un poids, il s'écria :
-Alors, quel bon vent t'amène?
-… Je suis venu pour prendre de tes nouvelles! expliqua-t-elle sur le coup, comme si c'était la manière d'entrer en matière la plus utiliser dans le monde… mais surtout n'osant pas lui avouer qu'elle avait fait toute ce chemin parce qu'il lui manquait.
-… Oh, ben, ça va! L'école et tous les potes, ça me manque… et toi aussi, bien sûr! Sinon, ma mère me met plus de pression sur mon avenir que jamais, maintenant que mon père est revenu, qu'il n'y a pas de menace de « fin du monde » dans l'air! Assez normal, quoi! fit-il, quoi que paressant mentalement exténuer, soupirant à nouveau, mais gardant encore son innocent sourire.
Il semblait ne pas oser dire le problème qu'il vivait, et en partie, Videl le comprenait. Sa mère pouvait très bien les écouter en ce moment, derrière l'une des cloisons du mur, et pourrait le disputer pour le moindre propos pouvant faire apparaître de la tristesse dans son choix d'avoir montrer ses pouvoirs de Saiyans durant le tournoi et de n'avoir plus la chance de mener une vie « normal », à présent.
-Dit, est-ce que tu pourrais encore m'aider à « voler »? Je suis un peu rouiller, et donc…! commença-t-elle, se levant subitement, d'un ton impératif, surprenant son interlocuteur.
Mais ce n'était qu'une stratégie pour s'isoler un peu plus de son petit monde familial. Dès qu'elle l'avait vu, elle avait remarqué ce faux sourire, ce faux air heureux, et ne voulait à présent que savoir la vérité sur son état, afin de pouvoir l'aider.
Loin de la petite maison, au bord d'un ravin en pique, le vent jouant dans leurs mèches courtes et noires, le garçon commença à lui donner les trucs afin de voler quand elle le coupa.
-Qu'est-ce que t'as? T'es pas dans ton assiette! souleva-t-elle, volant à un mètre du sol, le Saiyan la suivant, le visage un peu assombri par son ombre mais aussi par des sentiments intérieurs, ne semblant pas trop heureux d'épancher son état d'âme, même à son amie.
-… Je ne suis pas vraiment heureux. Je suis habituer à faire l'école à distance et à travailler seul… mais c'est fou, je m'étais bien habitué à l'ambiance de la ville et du collège! Les profs et même nos camarades étaient sympas…! Et jouer les Great Saïyaman, ça me manque! expliqua-t-il, n'osant pas encore là lui avouer que ce qui la chagrinait le plus, c'était de ne plus avoir autant la chance de la voir.
-… Ben c'est simple! Vient séjourner chez moi, à Hercule City! Il y a des tas de chambres, Boo aurait enfin un combattant de son niveau… et j'ai des sérieux problème dans mes maths! Ça m'aiderait d'avoir un « bolée » dans les parages! expliqua-t-elle, ne lui disant pas que ça lui ferait vraiment plaisir de le voir tous les jours.
Sangohan retrouva son vrai sourire franc et heureux, voilant le soleil tellement il éclatait de luminescence joyeuse. Mais son sourire perdit de la vivacité quand il se rappela qu'il devait le demander à ses parents.
-Oh, il n'y aura pas de problème d'argent! Je t'invite! Après tout, Sangoku, ton père, a bien sauvé le monde! Ce sera une manière de le remercier de notre part! expliqua-t-elle.
« … En quoi ça touche mon père? » se demanda Sangohan, ne réalisant pas qu'elle disait ça pour le convaincre ou plutôt convaincre ces parents d'accepter et que ce n'était pas du tout! une question sentimental qui lui faisait faire cette suggestion.
Ils s'entraînèrent et parlèrent encore quelques heures. Mais le temps passa trop vite et Videl dut prendre la route de retour. Le jeune homme lui fit signe de la main durant un long moment et enfin, il rentra chez lui. Mais un dilemme se posait toujours dans le décor.
Comment allait-il faire pour convaincre ces parents d'accepter l'invitation que lui faisait Videl?!
