Hello , ça m'a pris d'un coup . Je me suis dit que les Faberry français étaient assez peu donc vue que je suis malade et que j'ai rien à faire : voilà un petit os!

Ah et je n'ai pas encore de béta alors veuillez me pardonnez pour les fautes .

Disclamer : cette scène se passerait réellement si je possédais la série donc non rien ne m'appartiens... Damn'!

Note : Attention yuri avec lémon détaillé à vos risques et périls

-Douloureuse constatation

Le regard dur , un masque d'indifférence voilà ce qui me caractérisait . Je traversais les couloirs savourant cette délicieuse sensation qu'était la supériorité , je ne récoltais que des regards admiratifs , envieux et enfin mes préférées : les regards haineux . J'avais tout , la beauté , le charme , la jeunesse , une réputation. Un sourire carnassier apparut sur mon visage lorsque je constata la présence d'une petite brune à son casier , lentement tel un prédateur j'arriva à sa gauche et ouvris mon casier collé au sien. Je la sentie se crisper instinctivement n'osant plonger son regard chocolat dans la profondeur de mes yeux verts.

J'aimais sentir cette détresse émaner de son corps lorsque je m'approchais d'elle, sentir sa peur à travers ses traits tirés , comprendre sa détresse par son mordillement compulsif de sa lèvre inférieur . Je ne pus que sourire davantage devant cette attitude que je connaissais si bien. Elle ne bougeais plus ,comme tétaniser par ma présence ,alors comme à mon habitude je pris soin de lui infliger mon éternel châtiment : mes gestes étaient lents et calculés. Je déposa quelques bouquins dont je n'avais plus l'utilité durant la fin de la journée dans mon casier puis je ferma la porte doucement comme une caresse que l'on offre à un objet qui nous est nostalgique. Puis je me décala jusqu'à me retrouver dans son dos . Les yeux clos elle était restée muette et figée toujours devant son casier . Attendant sa sentence. Je colla mon corps contre le sien le sentant frissonner à mon contact , plaçant mes bras de pars et d'autre de son corps sur les autres casiers : elle était pris au piège . J'approcha dangereusement mes lèvres de sa nuque lui insufflant mon souffle chaud qui eu l'effet de la faire gémir . J'eu un sourire des plus arrogant. Je remonta jusqu'à son oreille et après un moment d'attente calculé je lui souffla d'une voix chaude et rauque ses quelques mots :

"Berry ,tu périmes mon air alors dégages avant que je fasse en sortes que je tu ne respires plus jamais."

La froideur et la dureté de mes paroles contrastaient toujours avec mon attitude et je savais que cela la perturbait au plus haut point . Je la sentis serrer les poings , j'avais gagner .

Seulement contre toute attentes , avant que je ne fasses le moindre geste elle se retourna se colla contre moi et me souffla également à l'oreille :

"Tout dépend de comment tu souhaites que cela arrives…"

Elle avait susurrée ses mots d'une voix envoutante laissant clairement entendre que ça phrases avait une connotation sexuel. Puis elle se recula de quelques centimètres , m'accorda un regard plus qu'équivoque avec une moue séductrice et s'échappa de mes filets avant que je n'eusse le temps de reprendre mes esprits.

Je cligna des yeux plusieurs fois encore sous le choc , Berry s'était rebellée ? Elle avait gagnée pour une fois et cette constatations fut plus que difficile à avaler. Non , Berry ne pouvait pas gagner c'était un fait . Depuis plus de deux mois j'avais remarquée ses regards insistants , ses prunelles qui s'assombrissaient par moment lors de nos rares rapprochement physiques pendant le glee club. J'avais compris , compris que la brunette éprouvait du désir pour moi. Et si au début j'en eu été dégoutée j'avais fini par trouvée là une pression avantageuse . Depuis deux mois je prenais un plaisir sadique à lui faire prendre conscience que je savais , lui faisant subir jours après jours mon "désirs" qu'elle avait vite compris comme étant dénuée d'une réel envie pour elle, suivie d'une insultes ou menace de mort et que ce n'était uniquement que pour lui faire du mal . Le contraste malsain me procurait une sensation grisante de satisfaction . Au fond je ne savais même pas bien pourquoi je ressentais une telle joie de la voir souffrir mais je ne m'en préoccupais pas. Je voulais seulement sentir et ressentir ce déferlement de sentiments contradictoires qu'elle ressentait lorsque je lui infligeais son agonie journalière.

Mais aujourd'hui ce n'était pas le comportement habituel de la brune , non elle ne s'était pas simplement contentée de la regarder avec ses yeux remplis de haine , de désir , de tristesse mais elle avait réagit et ça je n'arrivais pas à le digérer. Putain mais de quel droit avait elle répondue? Et encore plus déstabilisant : pourquoi une douce chaleur s'était elle installée sans ma permission dans mon bas ventre? Non décidément rien n'allait plus. Je sortie enfin de ma transe envahie d'une colère sans nom et me dirigea à travers la foule vers ma salle de cours. Je croisa Santana dans les couloirs qui au vue de mon visage m'adressa un regard sévère et septique : j'aurais le droit à des réclamations plus tard. Ce qui m'agaça encore plus , je décida qu'un peu d'air frais me ferais du bien et puis ce n'est pas une heure d'espagnol qui va changer ma vie en revanche Mr Shue va me demander ce qu'il s'est passée … Rha mais foutez moi la paix avec votre bienveillance ! Je traversa le lycée pour finalement atterir sous mes gradins ou sans ménagement je m'alluma une cigarette tirant des longues bouffées martyrisant le filtre afin de calmer mes nerfs .C'était mon petit secret . Les paroles de Berry tournaient sans cesse dans ma tête , impossible d'effacer le souvenir du frissons qui m'avait traversée l'échine . Et le dégouts de moi même se fit de plus en plus fort jusqu'à ce que je prenne conscience que j'avais aimée ça, j'avais aimée le mordant de la petite brune et je sentis comme si une part de moi était enfin soulagée ,comme si j'attendais ce jours depuis longtemps.

Une grimace d'horreur s'étala sur mon visage à cette constatation. Non je ne pouvais pas désirer Berry c'était contre nature. Elle ne s'en tirerait surement pas comme ça.

Cela faisait une heure que je méditais sur ma future vengeance . Qu'es ce qui pourrait le plus blesser la brunette? Cette question tournait sans cesse dans mon esprit . Puis une idée brillamment machiavélique s'empara de moi . Mon Dieu , c'était parfait … Je réfléchissais au dernier détails avec une certaine grimace , il faudrait faire des sacrifices mais le résultat n'en sera que plus satisfaisant. Sur cette dernière réflexions la blondinette se leva et se dirigea d'un pas non chalands vers les bâtiments du lycée un sourire tordue aux lèvres. Elle était déterminée , s'aventurant un peu plus dans les couloirs elle atterrie finalement devant son casier qu'elle ouvra sans ménagement afin d'y trouver de quoi écrire . De sa belle écriture elle griffonna quelques mots puis glissa la note dans le casier voisin. La vengeance était en marche .

Une demie heure que j'attendais dans les toilettes des filles , UNE DEMIE HEURE! On ne fait jamais attendre Quinn Fabray ! D'un pas rageur je me dirigeais vers la porte l'empoignant dangereusement jusqu'à ce que je sente une pression de l'autre côté. Sans totalement comprendre ce qu'il se passait la porte s'ouvrit plus rapidement que nécessaire pour laisser place à une petite brune qui me rentrait dedans. Je grognais irritée par le contact , qui avait eu la maladresse et l'impardonnable geste de me rentrer dedans ? Sans plus attendre je relevais la tête accompagnée d'un regard menaçant jusqu'à ce que je tombe sur ses grands yeux chocolat. Surprise j'haussais un sourcil qui s'accorda bien vite avec un rictus de satisfaction. Encore sonnée la brunette n'avait pas vue la blonde se tourner dos à la porte la fermant scrupuleusement et s'y adossant . Les yeux verts rivées sur une Berry qui visiblement avait du mal à reprendre contenance.

"-Ce n'est pas trop tôt" siffla dangereusement Quinn

Aussitôt la brune rougit et bafouilla

"-Euh je … Oui … désolée …"

D'un revers de la main je lui stoppa net son monologue qui s'apprêtait à devenir sans fin. Sans la quitter des yeux je me décollais de la porte , ce chocolat avait quelque chose d'hypnotisant. M'approchant d'une démarche féline je l'a vit se raidir immédiatement. Puis comme secouer d'une décharge électrique elle repris ses esprit et recula au fur et à mesure que j'avançais seulement mon sourire s'agrandissait de plus en plus . Elle fronça les sourcil ne comprennent pas la nature de mon sourire jusqu'à ce qu'elle rencontra le mur. Prise au piège. Ses yeux s'agrandirent de stupeur et de panique comprenant qu'elle n'avait aucune échappatoire. Plus que quelques mètres , sa respiration s'accélérait au fil de mes pas et je me retrouva rapidement à quelques centimètres de son visage une lueur de défis dans les yeux. Je m'approcha de ses lèvres avant de dévier ma trajectoire vers son lobe d'oreille que je mordilla sans ménagement. Sa poitrine se souleva sous le choc afin d'y laisser s'engouffrer de puissantes respirations , son corps se raidit encore plus. Contente de mon effet je m'arrêta et lui insuffla d'une voix plus rauque que je n'aurais voulue:

"Comme tu peux le voir j'ai effectivement trouvée une manière de te priver de ton air…"

Et sans plus attendre je m'empara de son cou que je mordilla sans ménagement y déposant également quelques baiser. Je la sentais gémir de surprise et de plaisir , ses mains toujours ballantes le long de son corps. Il fallait qu'elle réagisse plus que ça , alors je passa ma langue lentement le long de ce gracieux cou passant par sa mâchoire. Et là enfin ses lèvres s'emparent brutalement des miennes. Je sourie dans l'étreinte désordonnée de nos lèvres. Je pouvais ressentir toute sa frustration s'évacuer , c'était un baiser confus et précipité , comme si elle avait peur que ce ne soit que la seule et unique fois que cela arriverait , comme si elle savait. Ce à quoi je ne m'attendais pas fut la réaction de mon corps , il s'était empressé de se coller avidement contre le sien épousant la forme de son corps. Des vagues de chaleurs me balayaient par dizaines à chaque frottement de son corps contre le mien, ça n'allait plus du tout comme je le voulais. Dans un élan de recherche d'air elle ouvra un peu plus les lèvres et ce que je fis me surpris encore plus , je lui quémandais l'accès de sa langue. J'en fus si choquée que je m'immobilisa un instant mais avant que n'eusse le temps de réfléchir à cet acte totalement contradictoire à mon cerveau une danse endiablée avait pris place. Sa langue était douce et chaude et recherchait avidement le contact de la mienne , je dominais la danse , ma poitrine s'élevait de plus en plus rapidement me laissant avec une pathétique respiration saccadée. Pitoyable , mais je n'étais pas apparemment au bout de mes peines car je sentis deux petites mains se glisser dans la critères de mes cheveux blonds m'arrachant au passage un râle de contentement. Doublement pitoyable. Tout ce qui me traversa l'esprit à ce moment là était de lui faire ressentir cette même humiliation, mes mains se posèrent avidement sur ses hanches la collant un peu plus contre moi. Une de mes jambes virent se glisser entre les siennes lui arrachant un long gémissement lorsqu'elle cogna légèrement sur son entre jambe. Ce son résonna comme une douce mélodie à mes oreilles et je sourie inconsciemment dans notre baiser toujours aussi brulant. Mais ma soif de vengeance ne s'arrêterais pas là , ho non il m'en faudrait bien plus. De nouveau j'effectua une pression sur son intimité qui se révéla brulante, une autre plainte vint déchirer le silence de nos ébats. Je décolla mes lèvres reprenant mon souffle et croisant par la même occasion son regard. Ho god … Il était tellement empreint de désir que j'avais du mal à m'en détacher , ses cheveux était désordonnés , ses lèvres gonflées et rougies comme ses joues par le désir. Je ne donnais pas non plus chère de ma peau. Et sans comprendre vraiment je m'élançais de nouveau à la découverte de son cou descendant jusqu'à sa clavicule ou je toucha entre temps un point assez érogène d'après sa réaction. Sa prise sur mon cou s'était faite plus insistante agrippant férocement la base de mes cheveux qui me fit gémir de douleur et de plaisir. Je grognais face à cette réaction. Sans plus attendre je glissa mes mains sous son horrible pull à carreaux m'étonnant au passage de la douceur de sa peau mais brutalement je le lui retirait laissant apparaitre une poitrine généreuse à laquelle mes lèvres se précipitèrent pour en connaitre la saveur.

Elle gémissait toujours plus fort à chacun de mes coups de langues contre sa poitrine puis mes mains se faufilèrent dans son dos et y dégrafa habilement son soutiens gorge. A peine tombé j'avais pris l'un de ses seins dans une main tandis que ma bouche s'affairait contre le deuxième mordillant et léchant sans retenue celui ci. Son bassin ondulait sévèrement contre le mien me signifiant son plaisir et sa recherche de plus de proximité. Dans un éclair de lucidité elle m'enleva à mon tour mon pull laissant en proie à son regard ma propre poitrine qu'elle ne se priva pas de contempler quelques instants avant que je ne reprenne mes assauts contre son frêle corps devenue tremblement. Ma main de libre s'égara sur son flanc traçant d'invisible arabesque , mes doigts continuant leur exploration s'attardèrent sur la limite du jeans de la brunette lui arrachant un soubresaut plus violent que les autres. Elle me remonta avidement le visage contre le sien afin de s'emparer d'un baiser passionner et langoureux auquel je ne lui refusais pas l'accès. L'une de mes mains titillais dangereusement la limite de son plaisir je la sentie se cambrer , son corps était suppliant mais je n'attendais que ses mots. Et dans une libération je l'entendis d'une voix tremblante et incontrôlée par le désir me supplier :

"-Quinn …"

"-Oui?" répondis je plus faiblement que je ne l'aurais crus

Elle délaissa mes lèvres pour me regarder droit dans les yeux laissant entrevoir toute la détresse qu'elle ressentait

"…S'il te plaît…!"

Cette supplication fût mon couronnement. J'avais le contrôle , le pouvoir. Un sourire machiavélique s'étira sur mon visage si angélique ce qui la fit se tendre d'inquiétude. Je n'avais plus qu'à partir la laissant en plan totalement frustrée , rageant de mon départ. C'était parfait oui parfait , excepté un détail qui avait son importance : mon corps refusait de se mouvoir loin d'elle. J'en fus si surprise qu'une rage sans nom s'empara de moi et je glissa brutalement ma main dans son jean accédant à son intimité. Puis ce que mon corps ne voulait pas partir maintenant j'irais jusqu'au bout et la laisserait seule après. C'était encore plus diabolique finalement me persuadais je dénigrant la grisante sensation se son intimité trempé sous mes doigts. Et dire que j'en étais la responsable… Sous cette désagréable constatation je m'enfonça sans aucune douceur en elle lui arrachant un gémissement score plus bruyant que les autres. Cette fille n'avait donc aucune limite de corde vocale? Heureusement la porte était fermée et les élèves étaient retournés depuis longtemps en cours. Sa respiration était totalement hors de contrôle tandis que son bassin suivait mes gestes afin de ressentir encore plus de plaisir, les yeux fermés , la bouche ouverte elle arriverait à son paroxysme dans quelques instant si je continuais comme ça. La sentant vibrer de plus en plus fort j'éleva la voix d'un ton qui se voulait froid:

"-Regarde moi Berry , je veux que tu te souviennes de qui t'as fait jouir dans cet endroit lugubre"

Ouvrant enfin les yeux elle plongea une fois de plus son regard dans le mien et je sentie un profond trouble s'emparer de moi quand je remarqua sa beauté à ce moment là. Elle n'était que luxure. Le corps en sueur, les prunelles noir, les lèvres gonflés et les cheveux en bataille. Mon coeur eut un raté à cette vision , encore plus énervée fasse à cette réaction de mon corps j'accéléra le mouvement de mon bras m'arrachant une douleur singulière à celui-ci. Puis enfin je la sentit se contracter autour de mes doigts et hurler d'une voix désarticuler de plaisir mon prénom.

Emportée par son orgasme la brune n'avait pu tenir plus longtemps sur ses jambes et s'était effondrée sur la blonde qui l'avait maintenue de justesse. Mais elle aussi épuisée se laissa lentement tomber sur le sol une brunette dans les bras.

C'était bon , j'avais eu ma vengeance : il ne me restait plus qu'à la laisser là et partir une remarque emplie de méchanceté pur au lèvres. J'aurais alors toute la satisfaction de monde à regarder ses yeux de chien battue me supplier du regard d'arrêter et je savais que ça la tuerait définitivement. Je n'avais plus qu'à me lever . Oui …

Alors pourquoi mon corps et mon coeur s'y refusaient …?

Je ferais peux être une suite si j'ai le courage

reviews? Non ? Bon alors allez en Enfer! (ou donner moi un smarties)