Voilà nouvelle fic sur les G-boys. J'ai eut l'idée de cette fic en lisant le manga Love Mode pour ceux qui connaissent, pour ceux qui connaissent pas ça peut vous donnez envie de le connaître J'espère que je vais m'en sortir et que vous aimerez cette histoire. Je vous fais un bref, mais très bref, résumé. Quatre et Heero se balade, Quatre est touché dans une fusillade et un inconnu propose à Heero un marché pour le soigner, Mais lequel ? Voilà le résumé à deux balles, sur ce je vous laisse découvrir cette histoire d'amouuuuuuuuuuur.
Couple : 1x2 en force (mon préféré)
Genre : romance et NC-17 tôt ou tard. Chez moi ça fini toujours par un lemon j'arriverais bien à le caser quelque part.
Chapitre 1 : Une nouvelle vie commence
Tout le monde rêve du monde parfait, sans violence, moi y compris. Mais pour moi le destin en a décidé autrement, j'ai découvert l'enfer enfermé dans une demeure. En fait cet enfer ce n'est pas vraiment moi qui le vie, mais l'un de ses occupant, Duo, "mon maître". Mais pour que vous compreniez mieux vos raconter l'histoire, mon histoire, depuis le début.
Tout commence dans un centre ville. A cette époque, le terrorisme faisait rage et il n'était pas parce que des fusillades se déclenchent, souvent quand on s'y attend le moins. Et c'est ce qui s'est passé ce jour-là. J'étais en compagnie de Quatre, mon meilleur ami, je le connais depuis l'orphelinat, d'ailleurs on s'en est échappé ensemble, mais ça c'est une autre histoire. Bref, il a réussi à me traîner dans le centre ville pour se balader. Je ne le comprendrai jamais, quel bien peut-on tirer d'une balade. Lui et moi on est très opposé, je dirai même qu'on est le contraire de l'autre. Lui est enjoué et souriant, moi, renfrogné et distant, toujours d'humeur désagréable. Lui aime communiquer avec les gens, moi, je suis plutôt associable et plein d'autres choses encore. Mais impossible de nous séparer, enfin c'est ce que je croyais.
- Allez Heero, dépêche toi, tu traîne.
- Tu sais que je n'étais pas très d'accord pour venir alors me pousse pas à bout ou je fais demi tour.
- D'accord, d'accord, je dis plus rien, rabat joie.
- Attention, Quatre !
D'un coup des, coups de feu retentir et tous les gens se plaquèrent au sol pour se protéger Quatre et Heero en firent de même. Les gens se mirent à courir afin d'entrer dans les bâtiments les plus proches d'eux et se mettre à l'abri. Dans la panique Heero et Quatre furent séparé. Heero observa de droite à gauche afin de trouver son ami mais lorsqu'il le vit c'était trop tard.
Quand je l'ai vu la devant moi, gisant au sol, j'ai cru que j'allais mourir, il ne bougeait plus. Il était allongé, là, ne donnant aucun signe de vie quand…
A peine Quatre avait bougé que Heero, sous les balles qui fusèrent, se jeta sur Quatre après avoir été vainement retenu par les gens. Une fois arrivé près de Quatre, Heero put constater avec joie que son ami n'avait qu'une blessure à la jambe mais si elle venait à s'infecter cela pourrait devenir grave. il faut aller à l'hôpital. Une fois la fusillade finie, les ambulances arrivèrent en masse tellement les blessés étaient nombreux. Une fois à l'hôpital Quatre fut examiné par un médecin. Heero attendait dans le couloir. Dès que le médecin sortit de la chambre, Heero sauta du fauteuil sur lequel il patientait et quémanda des nouvelles par le regard.
- Votre ami a reçu une balle et elle y est encore.
- Qu'attendez-vous pour la lui retirer.
- C'est une opération délicate et coûteuse.
- Ce n'est qu'une blessure à la jambe.
- Non, il n'y a pas qu'à la jambe qu'il a été touché, une balle s'est logée près de la colonne vertébrale.
- Quoi ?
- On peut opérer mais il y a risque de paralysie.
- Et si on opère pas.
- Ça pourrait lui amener des problèmes dans l'avenir.
Je savais que l'opération devait se faire. Après mon entretien avec le médecin, je me suis retrouver seul et j'ai beau réfléchir aucune solution ne venait à moi. L'opération était nécessaire mais je n'avais pas les moyens. Mais il était hors de question de le laisser dans cet état. Et, comme une réponse à mon problème, cet homme est entré dans ma vie.
- Désolé de me mêler de ce qui ne me regarde pas, mais j'ai comme l'impression que vous avez besoin d'argent ?
- Qu'est ce que vous voulez ?
L'homme d'allure noble se mit à ricaner. Se rire, presque diabolique en disait long sur ses intentions. Cet homme sentait à plein nez l'argent. Son costume sur mesure, plus les chaussures classes sans oublié la coiffure, cheveux plaqué vers l'arrière faisant ressortir son côté bourgeois. Mais le visage reflétait un homme d'une grande cruauté et qui a une haute estime de lui-même.
- C'est toi que je veux, tu me plais bien.
- Comment ça ?
- Je te propose un deal, qui je suis sûr, tu ne pourras pas refuser.
- …
- je te propose de payer l'opération de ton ami, mais en échange…
- Quoi ?
- Tu deviens mon esclave.
Heero, sous la surprise de la demande reste bouche-bée.
Son esclave ! Voilà ce que je suis devenu. Oui, j'ai accepté afin que Quatre puisse être sauvé. Pendant le trajet pour aller chez cet homme dont je ne connaissais pas encore le nom, il m'expliqua que dès aujourd'hui, il m'était interdit de voir Quatre. J'encaisse sans broncher même, si intérieurement j'ai envie de hurler. Mais je savais que c'était nécessaire pour Quatre.
Heero arrive à la demeure de son "maître". C'est une grande maison dans le style japonais. Ils entrent et se dirige directement vers ce qui semble être le bureau de cet homme.
- Bien, commençons par le début. Mon nom est Treize Kushrénada. Et sache qu'ici tu n'es personne c'est clair.
- Oui.
Sans comprendre pourquoi Heero se retrouve, avec une douleur au visage, à terre. Il lance un regard mi-interrogatif, mi-colérique.
- On dit "oui, maître".
- Hn ! Oui…maître.
- Bien. Maintenant dis moi qui tu es ?
Heero se relève, ne vacille même pas à cause du coup reçu par Treize.
- Je suis Heero Yui.
- Mauvaise réponse ! Ces mots furent accompagnés d'un autre coup au visage.
- TU N'ES PERSONNE ! PERSONNE !
- …
- Alors qui es-tu ? redemande Treize qui a retrouvé son calme.
- Personne
- Parfait
Toc toc toc
3 coups donnés à la porte. Léger c'est à peine si on les entendait.
- Entre
La porte s'ouvre et dans l'embrasure un jeune homme du même âge qu'Heero à première vue.
C'est là, que je l'ai rencontré pour la première fois. Des yeux d'une couleur que je n'avais jamais vu, améthystes. A ce moment là, il avait l'air fatigué, comme s'il venait de se réveiller. Quand il les a dirigé sur moi, j'ai eut comme un frisson tout le long de mon corps. Ses yeux reflétaient une tristesse énorme et un peu de désespoir à ce moment là, je ne me doutais pas de la raison
Autre que ses yeux, se sont ses longs cheveux tressés en une natte magnifique qui attire le regard. Même si a cet instant elle était un peu défaite, preuve qu'on l'avait réveillé
- On t'a réveillé, Duo ?
- Ça ne fait rien.
- Dis moi, ça te dirais d'avoir un animal de compagnie ?
- Quoi ?
- Vois-tu ce jeune garçon n'a nulle part où aller, je me disais que tu pourrais t'occuper de lui comme d'un chien domestique.
Heero écoutait mais ne laissait rien transparaître de sa colère.
- Pourquoi pas.
- Bien, alors, hors de ma vue, vous deux.
Heero et Duo sortirent, Duo ne prononça pas un mot et emmena Heero dans sa chambre.
- Assieds-toi.
- Comment tu t'appelles ?
- Je n'ai pas de nom.
Duo se retourna et s'accroupit face à Heero qui s'était assit sur le lit. Duo lui fit un sourire qui l'étonna. la seule fois où il avait vu se sourire c'était sur le visage de Quatre.
- Je ne suis pas comme lui, tu peux me le dire, je ne te ferais pas de mal.
Pris d'un soudain excès de confiance pour le châtain, Heero n'eut plus envi de jouer la comédie.
- Heero Yui.
- Heero ? Jolie nom. Moi, c'est Duo Maxwell.
- Maxwell ?
- Oui, ça prête à confusion, pas vrai ?
- …
- Mais on verra ça plus tard, d'abord il faut te soigner ça.
- Soigner quoi ?
- Quoi ? Ne me dis pas que tu ne sens rien ?
Duo mit son doigt sur la plaie à l'arcade sourcilière pour récupérer du sang et montrer l'étendu des dégâts à Heero.
- Treize frappe fort, je sais, mais toi qui ne sens rien ça me sidère. Ne bouge pas, je reviens.
Duo disparu dans la salle de bain rattaché à sa chambre. Il réapparaît aussi vite qu'il avait disparu. Cette fois ci il s'assit à côté d'Heero et commença à le soigner.
- Pourquoi tu es là ?
- Hn !
- Pas bavard à ce que je vois mais je comprends. Je ne te force pas. Pour en revenir à mon nom, j'ai le nom de ma mère.
- Et Treize, c'est qui pour toi ?
- Mon monstre de beau-père.
A cet instant, j'ai tout de suite compris que Duo n'appréciait pas beaucoup Treize, mais j'ignorais encore pourquoi ? Une fois soigné, il m'a donné une chambre et est retourné dans la sienne sans oublier de me souhaiter bonne nuit à sa manière c'est à dire en me faisant un bisou sonore sur la joue. Il disparu de ma chambre et je me retrouve enfin seul. Beaucoup à ma place auraient laissé couler leurs larmes mais moi je me disais que ça ne servait à rien. C'était mon choix de venir ici, pour sauver Quatre, je n'ai pas fermé les yeux de la nuit, hanté par l'image de Quatre blessé ou alors dans un registre plus gai et que je trouvais bizarre, je me repassai, dans ma tête, la scène de Duo avec son bisou.
Ma vie là-bas était simple, suivre les ordres de Duo, tous ce qu'il voulait que je fasse, je le faisais sans possibilité de discuter. Au bout d'une semaine une certaine routine s'était installée.
A suivre…
