Souvenirs
Pourquoi est-ce je me suis rendu dans la terre de mes ancêtres? Je me le suis demandé pendant tout le trajet. Sovengard est proche et elle m'attend, mon cœur veut sortir de ma poitrine. Qu'Akatosh me vienne en aide, je crois que j'en ai besoin. J'ai tout simplement peur de retrouver mes parents de l'autre côté. Leurs esprits sont-ils là-bas? Qu'est-ce qu'ils vont dire en me voyant ? Quelque fois je me demande pourquoi je suis allé dans la terre natale de ma famille, le pays nordique ne m'aimait pas.
Je suis né dans le pays de l'Empire Impérial, de deux parents nordique, d'une mère de cultivateur et d'un père qui était prête de la Phalène. C'était un homme qui savait lire les mystique Parchemins des anciens, il risquait sa vie pour lire l'un des trois parchemins à l'Empereur de Tamirel. Je me suis toujours demander; pourquoi il aimait tant lire c'est bout de papier? Il me répondait toujours que c'est bout de papier renfermait des secret, des passages qui sont arrivé dans le passé, quelque fois dans le présent et qu'ils vont arriver dans quelques années ou même dans des centaines ou milliers d'année.
Après la mort de ma mère, ma grande-sœur parti se marier avec un soldat de la garde rapprocher de l'Empereur. Il était un bon parti, selon mon père, mais moi je n'aimais pas sa gueule. Il était quelqu'un si était supérieur aux autres et qu'il était toujours le meilleur. Je n'avais que 10 ans lorsque ma sœur est parti et que mon père parti pour répondre à la requête de l'Empereur : « Il ne faut pas décevoir l'Empereur! » à dit mon paternel avant de partir pour quelques semaines. Un beau jour, mon père est revenue, les yeux caché par un tissus, lors de sa lecture, il vit qu'un trou noir et plus rien. Les malchances d'un prête de la Phalène sont arrivé à mon père.
Avant le décès de mon père, il a pu me dire ce qui s'est réellement passé la journée d'où il a perdu la vue. Tellement de fois que je lui ai demandé et jamais il ne voulait e le dire. Une journée de tempête, il me demanda à son chevet et dans le silence je l'écoutais avec attention :
« Mon garçon… je ne veux pas te remercier de t'avoir pris soin de moi pendant c'est 15 dernière années. Je te l'ai tellement de fois et je t'en remercie encore. Je vais répondre à la requête que tu me demande depuis mon accident. Comme je te l'ai souvent répéter, être une prête de la phalène comporte des bons et des mauvais côté. Malheureusement, je suis tombé sur le mauvais côté de la chose. Toutefois, lorsque j'ai ouvert l'un des parchemins des anciens, j'ai eu une vision, du futur, celle du futur. Je ne pouvais pas te le dire, elle était irréel pour moi, mais les parchemins des anciens ne mentent jamais! Donc, ce que j'ai vu, était une guerre entre deux clans, qui était des amis. Mais, un homme vint à séparer le peuple en deux. Deux idées, deux philosophies, deux valeurs toute aussi différentes des autres.
« Au loin, je vis une lumière, un homme était debout, loin de la bataille et regardait la tuerie. Autour de lui, il y avait une lueur jaune et orange, comme du feu. Des mots étrangers résonnaient dans ma tête. Le visage de cet homme était seulement à moitié découvert. Ce n'est seulement qu'aujourd'hui que j'ai découvert la vérité. C'était toi mon fils! Tu es celui que tous attendent, celui qui sauvera le monde d'un terrible danger. Le monde craindra ce qui arrivera, mais l'un d'entre eux foncera vers la menace et sauvera le monde. Même si la guerre éclate, il sauvera son prochain. Je te demande juste d'aller dans notre terre natale, tu trouveras les réponses là-bas.
« Il ne me reste que quelques minutes devant moi, je dois te dire que tu es la seul chose qui me soit cher à mes yeux, avec ta sœur, je suis un homme comblé… Je vais dire un bonjour à ta mère de votre part… Je t'aime mon fils… »
« Je t'aime moi aussi papa… on se revoit là-bas… »
Le sourire de mon père… ce fut la dernière chose que je souhaitais. Il fut un homme heureux, même avec son handicap, il faut heureux. Ma sœur venait tant bien que de mal le voir, avec des enfants c'est difficile.
Après l'enterrement, je dis un dernier au revoir à ma sœur et parti vers la terre qui à vue naître mon père, Bordeciel. Le chemin sera long, mais les dernières volontés de mon père fut que je retourne trouver les réponses.
Derrière les portes qui séparent les deux pays… personne! Aucun garde qui vérifie les papiers. Devrais-je rester et attendre un garde? Deux jours à une semaine d'attente... Mauvais idées! J'ai décidé de marcher, par la chance je vais rencontrer un garde et lui montrer mes papiers, avec le froid qui fait que je ne devait pas rester planter devant les portes sans feu. J'avais deux choix soit que j'attends que de nouveaux gardes arrivent – toutefois, cela peut prendre quelques jours voir même une ou deux semaine – soit que je continue de marcher vers la ville la plus proche et de m'adresser à un garde. Je décidai de continuer ma route. À la tombée de la nuit, au loin j'entendis des pas rapide. Tout d'un coup, je vis un cavalier arriver d'une rapidité qui me fessait tomber par terre. Déboussoler, une horde de garde... en bleu qui court vers les portes d'où je viens. Après tout cela... une centaine de garde impérial! Pris par panique, je courus à l'inverse de mon chemin et je perdis mon sac, avec tout ce que j'avais dedans.
J'arrêtai de courir en voyant ceux qui sont passé devant moi, ligoter et assis par terre entourer de garde. Essouffler, je regardais la scène, tous les gardes crièrent de joie. Il y avait un homme devant les prisonniers, habillé d'une manière d'un général. La poudrerie de la neige cachait les prisonniers.
« Ulfric Sombrage! Certain ici vous prennent pour un héros, mais un héros n'utilise pas un pouvoir comme celui de la voix pour assassiner son roi et usurper son trône! Vous avez commencé cette guerre plongé Bordeciel dans le chaos... désormais, l'Empire va vous abattre et rétablir la paix. »
Ulfric Sombrage, l'homme qui commence une rébellion. Divise le pays en deux, déteste toutes les autres races. J'en ai entendu beaucoup parlé en Cyrodil, je croyais que c'était des rumeurs. Tout simplement en détournant le regard de la scène, je vis simplement un garde me donner un coup de point sur le visage. Il fut d'une force, presque inhumaine, qui me fit perdre conscience. Je vis que du noir.
Je repensais à tout ce que j'ai fait, revivre les bons et les mauvais moments. Je savais que quand il y a une horde de garde Impériaux, ils font tout pour t'arrêter et cela amène aux bourreaux. Pendant ce temps tu pris, de toutes tes forces, les dieux que tu pries habituellement et même ceux que tu n'as jamais convoité son aide! Lorsque l'on va à la planche à couper, tu prends toutes les chances de ton côté.
