Taduction de If Only You Could See What I See par FrogsRcool
Chapitre 1 : What Makes You
Je ne suis pas vraiment sure de ce qui rend les gens comme ils sont. Ou ce qui fait dire aux gens les chosent qu'ils disent. Ou ce qui fait aimer aux gens ceux qu'ils aiment.
J'aime ma sœur. Elle est plus jeune que moi. Mais c'est pas pour ca que je l'aime. Ma mère m'a dit une fois que parce que j'étais plus vielle qu'elle, elle prenait exemple sur moi donc qu'il fallait que je fasse attention a ce que je fais et ce que je dis, pour qu'elle ne prenne pas de mauvaises habitudes. Donc si jamais j'ai encore décidé de manger des insectes dans le jardin, il faut que je lui dise de ne surtout pas manger des insectes. Les vers ne sont pas des pates, et les cafards ne sont pas des haricots pour la tortilla. Même si je pense qu'après 10 ans d'expérience elle a compris ca d'elle même.
Donc l'âge a quelque chose à voir avec les sentiments qu'on ressent pour les gens et notre raisonnement en amour. Mais qu'est ce qu'il se passe si je n'admire pas les gens plus vieux que moi ? Ou qu'est ce qu'il arrive si j'admire que quelques personnes mais que je ne veux pas devenir comme Kim Kardashian, de toute facon je suis sure que je ne ferai pas de si tôt de vidéos comme elle a fait si vous voyez ce que je veux dire. Disons que l'abonnement TV qu'avaient pris mes parents était un peu…Choquant. Le zapping de chaines ne fait plus partie de mes habitudes maintenant. Peut être que le contrôle parental coutait trop cher. Et puis qu'elle idée d'appeler un film «La colline a des cuisses ». Absolument pas ce que je croyais. Je l'aurai surement regardé si je n'avais pas eu peur que quelqu'un rentre et me trouve en train de regarder ca. Ca aurait été stressant. Je suis sure que ma sœur aurait pas capté de suite et que j'aurai pu avoir le temps de changer de chaine. Mais mon père, mon dieu. Il aurait fait comme si il n'avait rien vu, j'aurai vite changé de chaine, et ensuite il se serait assis de l'autre coté du canapé toujours en prétendant n'avoir rien vu tout en discutant de tout et de rien. Mais si ma mère m'avait surprise. Terrifiant. J'ai même pas envie d'y penser…
Pas moyen que je devienne comme mes parents. Ils sont de bons parents mais ma mère fume comme un pompier et mon père rit à des trucs même pas drôles. Et c'est pas un rire qui donne aux autres envie de rire, c'est tout à fait le contraire. Une seconde c'est le silence radio, et la seconde d'après il rit comme un éléphant. C'est flippant. Ne me comprenez pas mal, c'est surement son seul défaut.
De toute façon, ma sœur m'admire oui, mais elle est totalement différente de moi. Donc admirer quelqu'un ne veut pas dire faire et dire tout ce qu'ils font. Par exemple je peux regarder le même film tous les soirs, alors qu'elle ne peut pas regarder 2 fois le même. Sa chambre c'est le gros bordel, alors que moi je dois la garder propre si je veux retrouver mes affaires. J'ai un placard avec 3 tiroirs, au début je pensais utiliser chaque tiroir pour une différente sorte de sous vêtements mais j'ai fini par avoir seulement 2 types de sous vêtements différents. Alors j'ai juste rangé mes affaires par couleur. Clair, Moyen et Foncé. Ma sœur garde ses culottes et soutiens gorge par terre. Elle a seulement 2 super bons amis alors que moi j'ai pleins d'amis. Je trouve que ca serait bizarre d'avoir un meilleur ami. Comment mon meilleur ami pourrait être diffèrent de mes autres amis ? Est-ce que je devrais lui dire des secrets ?
Je n'ai pas de secrets.
Je suis sure que je dirai tout à tout le monde si on me demandait.
Et comme autre membre de ma famille que je pourrai admirer, y'en a pas vraiment. Ils vivent ailleurs et j'ai pas vu mes grands parents, tantes et oncles depuis 10 ans. Ma tante m'a invité a venir la voir pendant l'été, mais j'ai pas osé le dire à ma mère. Ca aurait été bizarre. Ma tante est comme une étrangère pour moi. De quoi on aurait parlé ? Alors je suis restée en ville, je suis sortie avec mes amis et j'ai travaillé.
« Hey » Quelqu'un m'a tapé l'épaule.
Ca m'a fait vraiment flipper. Je me suis retournée tellement vite que la brique de lait que je tenais a glissé de mes mains et explosé sur mes bottes et sur les pieds de la personne à coté de moi.
« Oh Mon dieu. » j'ai chuchoté en me mettant a genoux. Mais quand j'ai voulu attraper le lait, encore plus s'est renversé par terre.
Mes genoux étaient glacés. J'avais du lait partout sur les vêtements. Pendant un moment j'ai pensé à m'asseoir sur la flaque pour l'absorber comme une éponge mais mes vêtements auraient pas été assez absorbants. Et puis j'aurai mis du lait partout dans ma voiture. Ca aurait périmé comme quand j'ai laissé mon bol de céréales sous mon lit pour Lord Tubbington et qu'il l'a renversé. Après ma chambre a commencé à sentir le poisson, parce que j'ai jamais eu la chance de sortir le bol sans qu'on me voie.
J'ai accusé ma sœur, parce que ma mère m'avait dit de ne plus donner de lait à Lord Tubbington. Comment j'étais censé faire venir Lord Tubbs dans ma chambre quand je voulais regarder autre chose a la télé alors qu'ils sont tous dans le salon en train de manger des spaghettis ? Mais je mens mal. En plus ma sœur ne tolère pas le lactose. Comment ca aurait pu être son bol de céréales dans ma chambre sous mon lit.
Quand je me suis relevée j'ai tourné la tête pour voir qui j'avais couvert de lait. Une fille était en train de me regarder. Elle fronçait les sourcils comme Tina quand je dis quelque chose sans m'expliquer. A part que cette fille n'était pas Asiatique. J'ai de nouveau regardé les pieds de la fille…Ils étaient trempes. Elle avait besoin d'une serviette. J'ai regardé au tour de moi, puis je me suis rappelé que les superettes n'avaient pas des serviettes a disposition n'importe ou. J'ai pensé a m'asseoir sur son pied, mais je ne l'ai pas fait vous comprenez pourquoi.
J'étais debout comme une idiote et le lait commençait à couler de mes vêtements.
Stupides bottes de pluie inutiles.
« Je suis tellement désolée. » J'ai détourné le regard de mon pull trempe et j'ai regardé la fille dans les yeux. Je ne saurai pas dire si elle était ennuyée, triste ou en colère. Elle avait les sourcils encore plus froncés.
J'ai encore regardé ses pieds, pour voir à quel point ils étaient mouillés. Et puis je me suis aperçu qu'elle portait un uniforme de cheerleading. « Tu es une cheerleader ? » Lui ai-je demandé en la regardant à nouveau dans les yeux. Ses yeux étaient si jolis. Clairs et foncés en même temps. Les gens m'ont dit que j'avais de jolis yeux, mais les siens me battent largement.
« Ouais. » Elle a souri, enfin. Ou peut être que c'était un sourire ironique. « En quelque sorte ». Est ce que c'était du sarcasme ? Je pourrais pas en être sure.
J'étais un peu surprise par la réponse. Je ne pensais pas dire la question a voix haute mais apparemment c'est ce que j'ai fait.
« Putain Fabray. » Un gars s'est avancé près de nous. Il travaillait ici. Il avait un badge et un polo qui ferait croire que tous les employés d'ici sont fan de golfs.
A part que ce gars avait une crête, alors peut être qu'il était moins bizarre que le reste des employés. « Qu'est ce qu'a t'as foutu ? » Son attention était centrée sur la cheerleader blonde. Est ce qu'elle allait avoir des ennuis ? Est ce qu'il allait la mettre dehors ? La faire payer pour le lait ?
« Je suis désolé. Je l'ai fait tomber par accident. » Je ne voulais pas qu'il croie que c'est elle qui l'a renversé. Elle devait déjà être assez énervée par le fait que je lui ai renversé du lait partout.
J'ai senti la chaleur me monter au visage. A cause de la gène. Juste par la pensée d'avoir des problèmes. La peur qu'il me traite de débile ou de maladroite ou quelque chose comme ca. Au moins le magasin n'était pas trop plein de monde, et les seules personnes ici savent déjà ce que j'ai fait.
Le gars avec la crête se mit à rire.
« Arrête ca Puck.» dit la fille en lui tapant sur l'épaule.
Il a arrêté de rire tout de suite, mais il a serré les lèvres et croisé les bras. « Et bien tu le casses tu le payes. » Il m'a regardé de haut en bas.
Je sentais mes joues rougir de plus en plus. Dans d'autre circonstances on aurait pu penser qu'il me matait, mais la j'en doute vu que je suis couverte de lait et que je porte des bottes de pluie. Ma sœur m'a dit que je ressemblais à un pécheur avant que je sorte. Et pour rendre les choses pires, je ne me suis même pas coiffée.
Ma mère m'a demandé d'aller vite fait au magasin quand j'avais fini de me préparer pour aller au lit. Maintenant je peux sentir le poids de mon chignon au dessus de ma tête. Je ne supporte pas que mes cheveux touchent mon cou quand j'essaye de dormir.
« Uhm. Ok. » J'ai regardé le magasine entre mes mains. J'avais prévu d'acheter 3 choses, et maintenant que j'ai à payer pour 2 briques de lait, je pourrais pas prendre le magazine. C'est pas grave. Je reçois ma paye bientôt donc je pourrai revenir m'acheter le magazine. Sauf que je vais m'ennuyer demain pendant la pose au travail.
J'ai remis le magazine à sa place.
Quand je me suis retournée pour voir le lait renversé, le gars (Puck ?) avait mis en place un panneau sol glissant et la fille avait reculé. Il l'avait appelée Fabray ? Drôle de nom, Puck aussi.
Elle me regardait. « C'est ton tour. » Elle montrait la caisse avec un mouvement de tête. C'est quand j'ai remarqué qu'elle avait les mains pleines. Alcool ? Elle achetait de la bière ? Mais c'est une cheerleader.
Je me suis tournée vers la caisse avant qu'elle remarque que j'étais en train de l'analyser. C'était mon tour. Le caissier me fixait, mais quand je me suis tournée vers lui il a prétendu faire les mots croisés en face de lui.
Ils étaient chanceux que leur patron les laisse faire des mots croisés pendant le travail. Mais je suppose que c'est parce qu'il est minuit et qu'il y'a presque personne. A mon travail on peut rien lire ou même pas avoir nos téléphones au tour des clients. Mais il y'a plus de monde chez Shuester qu'ici et puis je pense pas que j'aurai le temps de faire des mots croisés au travail.
« Tu peux y aller. » J'ai reculé. « J'ai besoin d'une autre brique de lait. »
J'ai de nouveau regardé le lait par terre. Le gars à la crête était encore à coté. Ma tête recommençait a me bruler. Je pouvais sentir mes joues rougir. Les filles de 19 ans ne sont pas censées renverser du lait dans une superette. Les enfants de 5 ans si. Et les vielles dames quand elle ne font pas attention a la position du lait quand elles ouvrent la porte du frigo. Je déteste quand je fais des choses stupides. Au moins si Tina était la elle se serait moquée de moi. Et je serai peut être pas en train de me tenir ici comme une débile.
« Puck, » La fille a tourné la tête vers le gars, « Attrape lui un autre lait. » Puis elle s'est tournée vers moi. « Et ne l'écoute pas. Tu n'as pas à payer pour ca. Il est juste stupide. »
J'étais pas vraiment sure de comment répondre. Je l'ai juste regardée en attendant de savoir si elle était sérieuse ou pas.
« Hey Finn. » Puck regardait le garçon derrière la caisse. Il avait posé ses mots croisés. « Ajoute lui une brique de lait. Je reviens. »
Le caissier a hoché la tête, m'a souris bêtement, et a appuyé sur quelques boutons de la caisse.
Je me suis avancée vers lui. On aurait dit que je m'avançais devant une classe pleine d'élèves et que le prof allait m'engueuler devant tout le monde. Sauf que je m'avançais juste devant une caisse, et la seule personne qui me regardait était cette Fabray.
Le caissier était grand. Je suis plutôt grande pour une fille, mais il était définitivement plus grand pour un garçon. Il était plutôt mignon. Timide et l'air un peu bébête.
La fille avait avancé vers moi. Elle a posé son pack de bière sur le comptoir et j'ai vite regardé ailleurs avant qu'elle voie que je la fixais. Ma tête brulait encore et je voulais lui dire merci mais je savais pas si je devais le faire ou si j'allais encore avoir l'air stupide.
« Finn passe moi une serviette en papier. » dit-elle doucement.
Elle tapait du pied.
« Ouais. Bien sur. » Il sorti un rouleau de papier de son comptoir. Il lui tendit et elle lui arracha quasiment des mains.
Du coin des yeux je la regardais déchirer quelques feuilles de papier et essuyer son pack de bière.
« T'es pas allergique au lait, hein ? » La pensée me traversa l'esprit tout d'un coup.
Elle a mis quelques secondes à répondre et je commençais à croire qu'elle ne m'avait pas entendu. Mais elle finit par répondre après avoir fini de nettoyer ses pieds. « Non. » J'ai presque pu entendre un petit rire derrière sa réponse.
Le caissier avait également un petit sourire sur les lèvres.
« Eh attends, » Elle attrapa le magazine que j'avais laissé et me le donna. « N'oublie pas ça. »
« Merci. » Je l'ai pris et je l'ai donné au caissier. « Ca et.. » J'ai levé ma main et lu ce qui y était écrit, « Basic Menthol Light 100's. »
Il leva les yeux du magazine que je lui ai tendu et me demanda d'un ton surpris « Tu fumes ? »
J'ai lu de nouveau ce qu'il y avait marqué sur ma main. « Basic Menthol Light 100's. »
« Est ce que t'es assez vieille pour acheter des cigarettes au moins ? » Il fronçait les sourcils.
J'ai cherché dans la poche de mon jogging, et sortis ma carte d'identité.
On aurait dit qu'il savait pas ou regarder pour voir mon âge. « Ok, Brittany. » Il sourit. « Tu sais qu'on dirait que tu l'achètes pour un ami. »
« Oh, non. » J'ai secoué la tête.
« Ok, je reviens tout de suite. Les cigarettes sont derrière. » Il est allé dans la direction opposée à celle qu'avait pris Puck.
Il m'a laissé seule. Avec elle. Avec la cheerleader et ses tongues ruinées. J'ai été une cheerleader au lycée. Je sais comment elles sont. Je sais comment elles pensent, comment elles agissent quand leurs amis ne sont pas autour, ou pire, quand leurs amis sont autour. Et comme il n'y a qu'un lycée proche d'ici, je n'ai pas envie qu'elle sache que ma sœur va au même lycée qu'elle.
Je me suis tournée vers elle avant qu'elle ait la chance de dire quelque chose. « Je peux t'avoir une nouvelle paire de tongues. Mon patron tiens un magasin de chaussures en face de la ou je travaille. Il me donne souvent des réductions. » Et j'ai aussi une carte cadeau, mais elle n'a pas a savoir ca. Ca ne compte pas si on achète quelque chose a quelqu'un avec une carte cadeau.
« Vraiment ? » Son sourire narquois était de retour.
« Ou-ais.. » Le mot s'est brisé quand je l'ai dit. « Je suis vraiment désolée. Si tu veux tu peux me retrouver demain pendant ma pose. Ou quand tu veux. »
« Tu travailles chez Shuester ? » Son sourire grandit.
« Ouais. » J'étais un peu prise par surprise, mais heureusement que je n'ai pas bégayé quand j'ai dit ouais cette fois si. Comment peut elle savoir que je travaille chez Shuester ? Peut être qu'elle m'a déjà vu là bas. « Dans Larson Street. Tu sais ou c'est ? »
« Bien sur. J'y ai été quelques fois. » Son sourire commençait à m'énerver. Je devais surement avoir du lait sur le visage. Ou pire, sur mon t-shirt et c'était transparent. J'ai vite regardé mon t-shirt…Pas de lait. Cool. « A quelle heure ta pose ? »
« Une heure. » J'ai répondu, rapidement.
Le caissier était de retour. « Tiens tes cigarettes. Tu ferais mieux de les mettre dans ta poche avant que Puck revienne avec le lait et ne fasse un commentaire a propos des Menthols, » dit il d'un ton totalement sérieux, tout en essayant de rigoler avec moi.
J'ai pris les cigarettes et fais comme il m'a dit. Je les ai mises dans ma poche.
« Oh, ca va. » dit la blonde. Je me suis tournée vers elle et elle était en train de lever les yeux. « Les gars vous êtes ridicules. Surtout Puck. Au moins elles sentent bon. » Elle a montré du doigt ma poche quand elle a dit le mot elles. « Mieux que ces trucs qu'il fume. »
Est-ce qu'elle me défendait ? Je la connais a peine. Qui savait qu'il suffisait de renverser du lait sur quelqu'un pour qu'il vous défende. C'était bizarre. Etre au milieu de leur conversation. Est-ce qu'ils ont oublié que j'étais mal coiffée et que j'avais des bottes de pluie ?
« Qui fume quoi ? » Puck était revenu. Il regardait la fille. Il était juste à coté de moi et il sentait l'eau de Cologne qui masquait en fait l'odeur de cigarettes. Elles ne sentaient pas si mauvais…Je pense.
« Toi et tes cigarettes dégueu. »
« Eh bébé, je ne suis pas difficile. » Il se défendit. Tout d'un coup je me sentais moins dans la conversation et c'était plus comme si ils parlaient d'un truc que seul des amis peuvent comprendre. Pas de trucs qu'une fille bizarre dans une superette pourrait comprendre. « Si c'est pas cher alors je fume n'importe quoi. Et puis je suis pas le seul qui fume. T'as pas de problèmes à rester avec Santana. »
Je me suis retournée vers le caissier, il passait le lait sous le scanner. Maintenant ils étaient en train de parler de quelqu'un d'autre, je me sentais encore plus déplacée.
« Premièrement, elle est pas une aussi grosse fumeuse que toi. » La fille derrière moi continua. J'ai donné au caissier un billet de 10$. Il arrêtait pas de me sourire. Il était plutôt mignon. « Et elle fume des choses qui sentent bon. » Le caissier me tendit ma monnaie. « Et deuxièmement, non, tu n'es pas difficile. Je pense que tu as raison quand tu utilises les mots « pas cher » et « n'importe quoi.»
« Tiens ton ticket. » J'ai regardé son badge quand Finn me tendait le ticket. La fille l'avait appelé comme ca tout a l'heure comme si elle le connaissait. Comme ce Puck avec la crête. Au moins Finn n'était pas impliqué dans leur conversation, et même si le fait qu'il me fixe est un peu bizarre au moins il ne m'ignore pas et ne parle pas de cigarettes.
« Est ce que tu viens juste de défendre et de dire de la merde sur Santana en même temps ? » Puck demanda d'un ton moqueur.
J'ai regardé la fille. J'avais raison. Toutes les cheerleaders sont les mêmes. « Donc je te vois demain a une heure ? » dis-je en interrompant leur conversation.
Elle avait l'air d'avoir oublié que j'étais là. Mes joues commençaient à rougir de nouveau.
« Oh, » elle hocha la tête, « Oui. » Son sourire était de retour. Cette fois il était moins narquois. « T'as dit que c'était quoi son nom déjà Finn ? »
"Brittany." Lui et moi l'avons dit a l'unisson.
Elle rigola légèrement et son sourire grandit. « Je te vois demain Brittany. Ce sera marrant. »
« Oki do… » Je me suis stoppée. « Ok. » J'ai pris le lait et le magazine dans mes bras, j'ai souris et puis j'ai quitté la superette.
