Disclamer : Les personnages de cette fan fiction appartiennent à J. K. Rowling, dans son fabuleux best-seller Harry Potter, avec tout le cadre de l'histoire (Poudlard, ses environs...), ainsi que quelques personnages, donc ils ne m'appartiennet pas ! (je n'ai pas où les mettre, remarque chez moi c'est petit, je peux pas loger 100 élève hein -_-). D'autres personnages feront leur apparition, comme l'héroïne, Soraya, et ses amis. Il y aura du SB/OC, peut-être un RL/OC (je ne sais pas encore :p) et bien suuuur, le GRAND classique j'ai nommé : JP/LE.

Prologue

ET BIEN, VOILA

Voilà. Ce mot, voilà, qu'on utilise généralement pour conclure une phrase, signifiant la fin d'un récit, richement détaillé dans la plupart des cas, est l'élocution avec laquelle je vais commencer mon récit. Mon « voilà POINT » (j'insiste sur le point), est une fatalité. Je sais, ça fait limite tragique, mais croyez-moi, ça l'est pour moi. Bon, voilà au moins quatre bonnes lignes que je tourne autour du pot et je ne vous ai encore parlé que de voilà… Eh bien… *roulement de tambour*Je suis amoureuse du grand, du beau, du ténébreux, du charismatique, Sirius Black. Le plus parfait idiot de tout les temps. Non seulement c'est un beau parleur inné, le tombeur de ses dames, mais il est aussi tout droit sorti de la planète des singes. Si, si. Même si je dois être la seule à en être convaincre. Enfin, à moitié. Et presque plus, quand je vois ses magnifiques yeux gris. Oui, presque plus, parce qu'il peut être drôle quand il veut – apparemment- , mais jamais, semble-t-il, une lueur d'intelligence n'a traversé son esprit, je dois dire, à part pour faire les cent coups, digne de Tom Sawyer, avec ses trois compères de toujours James Potter, Remus Lupin, et Beurk Petit-Gros. Euh ! Je veux dire Peter, désolée, Peter Pettigrow. James Potter, un autre descendant de la planète des singes, avec des lunettes en plus, ses mains toujours perdues dans ses cheveux, à croire qu'il s'enlève des poux. C'est fou ce que je peux être marrante. Peter, lui, rivalisait plutôt avec les rats mécaniciens de Ratz, avec ses doigts trop bizarres et trop dégoutants, eurk. Remus Lupin, par contre, faisait tâche dans ce zoo improvisé d'élèves de Poudlard. Il était, de plus, préfet à Gryffondor. Il était tout ce qu'il y avait de gentil, de doux, c'était aussi la sagesse incarnée, la réincarnation de Bouddha, quoi. Bon, j'exagère un peu.

Bon, je vous ai parlé des Maraudeurs, mais il faut dire qu'ils ne me connaissent pas vraiment. J'ai beau être à Gryffondor aussi, en sixième année, comme eux, mais c'est à peine si Remus arrivait à se rappeler de mon prénom. Soraya, c'est aussi dur à retenir ? Bon, un peu, j'avoue, mais j'y peux rien, moi, si ma libanaise de mère voulait me donner le nom de la sienne, faut arrêter avec ce cercle vicieux de prénoms à hériter de mère en fille, franchement. Le pire, c'est les cheveux noirs que j'ai hérité de ma grand-mère, aussi, avec leurs longues boucles. Mes amies s'extasient devant mon épaisse chevelure. Tu parles ! J'aurais tellement avoir leur cheveux si dorés… J'ai eu aussi ses yeux, mais j'en suis plutôt fière. Ils sont d'un violet impressionnant. Mais au lieu d'avoir la peau dorée de ma mère et de sa famille, j'ai eu la malchance d'être aussi laiteuse que mon anglais de père. Ça me mets hors de moi, de voir mes cousines toutes bronzées à Noël, comme si elles avaient passé leur temps à St.-Tropez, alors que moi, quand je bronze, je pourrais faire rougir de jalousie la plus mûre des tomates. En temps normale, c'est le plus translucide des fantômes que je fais pâlir de jalousie, avec mon teint affreusement laiteux.

Bon, c'est pas tout, mais je dois me réveiller, moi, dans trois heures je devrais être déjà dans le Poudlard Express. J'entends déjà ma mère crier en bas.

« SORAYAAA ! LEVE-TOI TOUT DE SUITE OU JE MONTE M'OCCUPER DE TON CAS ! »

Merci, maman, je n'aurais pas pu espérer meilleur réveil – mais elle ne rivaliserait jamais avec celui de l'an dernier, qui avait miraculeusement survit à ma main qui soit l'écrasait contre le mur, soit le jetait sans merci au sol, et finissait par me lever et l'aplatir en sautant dessus comme une folle.

Après avoir prit ma douche, je mets une robe blanche de mode moldue et descends deux énormes valises, je rate la deuxième marche et continue majestueusement le trajet sur les fesses, mes valises derrière moi. Arrivée à la dernière marche, c'est avec surprise que je constate être atterri sans dégâts. Une surprise qui aura duré dix secondes, le temps que les valises arrivent juste après et me frappent de plein fouet qui mon dos, qui ma nuque, pour m'affaler sur la moquette. Ça s'annonce bien, la rentrée.

NdlA:Bonjour bonsoir ! J'espère que mon prologue vous a plu ! Je publierai le premier chapitre quand j'aurais un review ! Bisous :D