DISCLAIMER : Hetalia et ses personnages ne m'appartiennent pas, je ne fais que les emprunter pour jouer avec.
Bonne lecture~
Conseil.
« Mais si, essaie je te dis ! Genre c'est hyper tendance ! »
L'italien regardait le polonais d'un air que l'on pouvait qualifier de perplexe. Et puis il sourit, tout content.
« Ve~ Tu penses que Ludwig aimera~ ? »
Feliks haussa un sourcil, avant de se mettre à sourire, fier de lui.
« S'il n'aime pas, c'est qu'il n'a aucun goût. Ce qui ne m'étonnerait pas de lui ! Genre, qu'est-ce qu'il peut connaître à la mode ? »
Avant que le petit italien ne puisse dire "pasta", il était déjà vêtu d'une magnifique jupe rose à volants.
Courtoisie.
« Alfred, tiens-toi droit ! »
Ce denier offrit un regard blasé à son ainé alors qu'il mâchonnait son hamburger sans grande conviction.
« On fait ça depuis des heures, j'en ai marre. »
Arthur soupira, à la façon d'un gentleman, évidemment. Inutile de préciser que ses oreilles étaient meurtries par les bruits de mastication.
« Je ne te laisserais pas tranquille tant que tu ne te seras pas amélioré ! Je ne veux pas que tu me fasses honte. »
Oui, vraiment, l'anglais se demandait où est-ce qu'il avait raté l'éducation de celui qui était aujourd'hui une grande puissance.
Déni.
« Keep your hands for yourself, froggy! »
Le français admirait avec délice son anglais favoris qui était de toute évidence très contrarié.
« Mais enfin mon Thutur, je voulais juste un câlin… Moi qui pensais que tu les adorais autant que mes pâtisseries~ »
« C'est faux ! Et ne m'appelles pas ton Thutur, Stupid French ! »
Le rouge qui montait petit à petit aux jours d'Arthur montrait à quel point celui-ci était dans le déni, ce qui ne faisait qu'encourager Francis à l'enlacer pour lui dévorer le cou de baisers.
Après tout, lui aussi adorait vraiment ça.
Jalousie.
Gilbert observait la scène avec un profond ennui. Un ennui teinté d'amertume et d'agacement. Ils étaient encore fourrés tous les deux.
Le prussien ne comprenait vraiment pas ce qu'Elizaveta pouvait trouver à ce stupide autrichien sans intérêt.
Il ignorait également pourquoi ça l'énervait autant de les voir ensemble. Après tout, il se moquait bien des gens avec qui la hongroise pouvait trainer, n'est-ce pas ? Que ce soit Roderich ou un autre ne changeait rien.
Même si naturellement, il aurait été plus normal que ce soit avec lui qu'elle traine. Il était tellement génial !
Même tout seul, il l'était…
Tomate.
« Dites, je crois qu'on a un problème… »
Le prussien leva un sourcil devant l'inquiétude de son ami espagnol. »
« J'ai perdu une tomate. »
Francis et Gilbert ne purent réprimer un soupir consterné.
« Sérieusement, quel besoin avais-tu d'apporter tes tomates pour notre plan ? »
Si le français était resté calme, Gilbert affiché à présent une mine terrorisée.
« Mein Gott. Elle va nous tuer. »
Voler les sous-vêtements de la hongroise leur avait semblé être une bonne idée. Mais à présent, avec la signature de leur délit, ils pouvaient tout simplement se considérer comme morts.
