Titre : L'ivresse de l'amour.
Auteure : Votre Tsukie adorée )
Genre : Romance/Drame/Humour (oui, oui, sérieusement)/Quelques meurtres par-ci par-là et enquêtes
Disclamer : Etttt on iraaaa mangerrr de bonnnns nuageees (AHOmine : purée tsukie, c'est pas la bonne piste) euh, voilà encore une fois, Tadatoshi Fujimaki à accepté de me prêter ses idiots pour une autre fic (quoi ? mais non je ne l'ai pas frappé !) ^^
Couples : Akakuro principalement, Akafuri (non je ne plaisante pas et oui je vais faire souffrir Furihata-con car je le hais ^^) Aokise, Midotaka, Muramuro
Beta Lectrice : Kama-chan59 je t'adore toi !
Note 1 : Bon, je sais ce que vous allez vous dire Remember me n'est pas encore fini et cette folle revient nous saouler avec une autre de ses fics de merde mais c'était trop tentant après le cauchemar que j'ai fait hier (bouuhhh) j'espère que vous ne m'en voudrez pas hein, Lauel,Winnieli, Emelynn21 !
Note 2 : Certains personnages seront un peu OOC notamment Akashi, Kuroko et Furihata. Ce dernier aurait un peu plus de caractère que dans l'anime héhé et aussi 'xcuse pour le montage de merdre. Oh, j'allais oublié il y'aura des lemons mais je vous préviendrais (pour les âmes sensibles)
Ps : Le titre est un petit clin d'œil au feuilleton préféré de ma sœur.
Avertissement : Je ne tolérerai aucune forme de plagiat. Pas que je me vante que ma fic soit un chef-d'œuvre que l'on voudrait copier, au contraire ! Mais cette histoire est importante pour moi, et ce premier chapitre a été écrit avec toute ma bonne humeur et lorsqu'on touche à mon travail, je ne suis plus en mesure de faire preuve de gentillesse.
Résumé : Akashi Masaomi est le propriétaire d'un prestigieux vignoble. Lorsque son fils revient au Japon après deux années à Paris dans le cadre de ses études scientifique, il apprend les problèmes que rencontres l'affaire familiale à cause d'un vignoble concurrent. Il est donc, malgré lui chargé d'infiltrer le domaine voisin en tant qu'employé pour découvrir les secrets de leur délicieux nectar. Mais qui a dit que ce serait aussi facile ? Et si l'amour venait mettre son grain de sel ?
NDT : Je dédis ce premier chapitre à ma beta lectrice Kama-cha59 car elle a ENORMEMENT de courage pour corriger mes fautes (se mouche bruyamment) merchi !
Bonne Lecture !
1. Premières secousses.
« J'ignore si vous avez déjà été amoureux, mais croyez-moi, le jour où ça vous tombe dessus, autant vous faire stériliser le cerveau dans un bocal de confiture jusqu'à ce que tout soit fini. »
Tim Winton, L'amour est la septième vague
Il y'avait au loin, un bourdonnement qui sévissait les murs de l'amphithéâtre, que même les murmures des étudiants dans la salle et la voix rocailleuse de Monsieur Dubois ne pouvait combler à ses oreilles. Une saleté de mouche se permettait de voler impunément au-dessus de son nez. Un éclair hétérochrome à son égard, et la pauvre disparut. Je ferai mieux d'aller remuer mon joli petit cul ailleurs moi, se dit la petite mouche toute tremblante.
Un jeune garçon, assit au premier rang, bien en face du professeur opérant, ne pouvait empêcher un certain agacement de poindre en lui. Et cet agacement fut d'avantage accru lorsqu'un résidu d'être humain, pardon pour le lapsus, un étudiant présent dans la salle, posa une question ô combien inutile, plongeant l'enseignant dans un énième monologue, et la pièce toute entière dans un profond soupir d'exaspération.
Finalement, il préférait la mouche.
Au tableau, Dubois sentait un regard lui bruler chaque parcelle de son être, et lorsque ses perles charbonneuses se posèrent sur un de ses étudiants aux cheveux rouge, il ne put s'empêcher de déglutir silencieusement. Ah, oui, le démon rouge.
Akashi Seijuro, jeune garçon de dix neuf ans au QI munit d'un millième d'électrons rugissant dans ses perles vaironnes comme une valse de racines carrés. Oui, il l'avait reconnu, celui-là.
Pour la plupart des enseignants de la faculté, il était considéré comme un mini-Einstein, une véritable menace en mesure de détruire les plus solides fondements de leur autorité. De son esprit mutin, il comprenait tout sans jamais écouter en cours. Mais quand il écoutait, il prenait un malin plaisir à relever chaque petite faille présente dans les arguments de ses ainés, et ceux-ci se mettaient à bafouiller et à s'emmêler les pinceaux, à sa plus grande satisfaction. Il s'engouffrait sournoisement dans leurs esprits pour les conduire joyeusement dans les sombres couloirs de la folie et, bien sur, Dubois n'était pas une exception à la règle, ne perdons pas nos vielles habitudes.
Vraiment, Akashi était le diable.
Un certain silence se fit. Après tout, l'empereur allait parler.
Mais non, aucun son ne sorti de cette bouche royale, il n'y avait que ce regard transcendant qui perçait la jugulaire et ce pauvre prof, laissant l'amphi tout entier pendu à ses lèvres. La principale source de toutes ces attentions n'avait cure des regards portés sur sa personne, s'attendant forcément à une remarque désobligeante de sa part. Cette petite troupe d'abrutis, selon lui, se trompaient sur sa cible principale. Ses yeux hétérochromes se reportèrent avec une lenteur magnifiquement calculée sur la seule horloge présente dans la salle. C'était une évidence.
Qu'avait-il entendu ? Etait-ce…un soupir de soulagement ? Peu importait.
Un, deux, trois, quatre et la cloche retentit, libérant immédiatement l'assemblée toute entière de son atmosphère pesante. Franchement, on ne croyait plus, à son existence, à cette cloche.
Akashi, lui se leva tranquillement, ramassa tranquillement ses affaires, et se dirigea tranquillement vers la sortie de cet endroit qu'il haïssait tant, mais bien sur, il ne pouvait rester tranquille bien longtemps. Pourquoi ? Parce qu'un individu non identifié accouru non pas tranquillement, mais furieusement dans sa direction. Ce qui l'empêchait de l'envoyer bouler ? Ah oui, il était censé être ''dingue '' de lui. Notez l'ironie, s'il vous plait.
« Koki… » Siffla-t-il.
Une espèce de sangsue humaine, pardonnez le manque de délicatesse, aux yeux marrons, vint se cramponner à son bras droit, un sourire plus long que le Mississipi accroché à ses lèvres.
« Seijuro, tu n'allais quand même pas partir sans moi ?! » fit-il avec une moue indignée.
Oh, mais partir sans toi, je le ferais volontiers, et à l'autre bout du monde si possible voulu-t-il lui dire mais, bien sur, avec son statut de gentleman, il ne pouvait se permettre de tels écarts de conduite et, surtout, son père ne lui pardonnerait pas car voyez vous, il y'avait dix neuf longues années de cela naquit Seijuro et la famille Akashi, entretenant des liens étroits avec Les Furihata eurent la naïve idée de marier leurs enfants plus tard. Mais qu'elle ne fut pas leur déception lorsque l'héritier Furihata ne fut pas une belle donzelle avec toute la panoplie de la belle blonde à poitrine charnue etc, etc, et à moins que notre châtain n'ait eu, entre temps, une soudaine naissance de poitrine ou se soit teint les cheveux, ou alors l'auteure aurait besoin d'une éventuelle paire de lunettes, Koki était un mec ! Mais visiblement, Masaomi semblait ne pas s'en être rendu compte et avait décidé, malgré tout, de marier son fils à ce bout d'homme.
Si au début, Furihata se comportait telle une vierge effarouchée, rougissant perpétuellement à chaque parole du garçon aux cheveux carmins, car tenez vous bien, le châtain était tombé fou amoureux dès leur première rencontre, à savoir quand ils avaient dix ans, maintenant, il savait ce qui était à lui. Permettez à l'auteure d'en rigoler.
Le jeune garçon croyait innocemment qu'à force de passer du temps ensemble, son attraction deviendrait réciproque mais, bien sur, c'était sans compter sur le caractère incongru de notre sex-symbol national que tout ennuyait.
Koki s'était donc incrusté dans sa vie, jusqu'à venir en Europe avec lui, rendant la capitale française, malgré toute sa beauté et son élégance, exaspérante à ses yeux. Et c'est ainsi, qu'il se mit à marcher dans les couloirs de la fac, un poids mort sur son bras.
Finissant par être fatigué d'un autre corps accroché au sien, Akashi repoussa doucement, mais fermement Furihata.
- La limousine est juste devant. Elle nous attend.
- Je suis heureux que l'on rentre ensemble, Seijuro.
Un regard blasé lui répondit et le rouge se retint de lui crier qu'ils rentraient tous les jours ensemble ! Ils finirent par se diriger vers la sortie.
La portière leur fut ouverte par leur chauffeur, un homme d'une cinquantaine d'années, au crane à moitié dégarni par la calvitie et au sourire apaisant. Kurama Aikadji était aux cotés de la famille Akashi depuis plus de vingt ans à présent, et avait vu naitre le petit Seijuro. Il le considérait un peu comme le fils qu'il n'avait jamais eu la chance d'avoir, d'aimer et de chérir, et le jeune homme le lui rendait bien, mais subtilement bien sur, apparences obligent. Tellement que Kurama fut assigné à le suivre, même sur un autre continent.
Le rouge fit le mouvement d'entrer dans la voiture, mais fut arrêter dans son action par la main de son chauffeur autour de son bras. Il lui lança un regard interrogateur et le cinquantenaire désigna Furihata d'un signe de tête. Ah oui, la politesse voulait que les '' invités '' entre en premier. Il prit donc la main du châtain qui ne pu s'empêcher de rougir face à cette attention, et le fit entrer dans la limousine. Le '' père '' sourit face aux remerciements muets de son '' fils '', et la voiture démarra.
XxxxX
Cela faisait quelques minutes qu'ils roulaient, et Akashi se perdait déjà dans le paysage parisien, n'accordant nulle importance au blablateries de son '' fiancé ''.
Il avait dix neuf ans et la vie l'ennuyait déjà. Le quotidien était devenu fatiguant et lassant. Toute son existence avait été planifiée comme un vulgaire planning, de ce qu'il allait faire comme métier à celui qu'il allait épouser. Il aurait aimé déjouer les statistiques, connaitre l'imprévu, improviser chacune de ses actions au moment opportun. Au lieu de ça, il savait ce qui se passerait demain, après demain et ainsi de suite.
- Tu m'écoutes, Seijuro ?
- Hun…
Ah oui, Furihata, un autre de ses problèmes. Il ne le détestait pas forcément, mais la capacité du châtain à parler sans arrêt et à rougir comme une petite fille en sa présence avait le don de lui titiller les nerfs.
« Monsieur, nous sommes arrivés. »
La voix de son chauffeur le ramena du pays des rêveurs et il ouvrit la portière, prenant garde, cette fois ci, de ne pas oublier son comparse.
Une énorme villa se dressa fièrement devant qui voulait bien la regarder. Sa belle pelouse magnifiquement taillée attirait indéniablement l'œil. Une mini fontaine résidait dans le coin gauche du jardin, rendant l'endroit encore plus chic. Malgré le fait que sa famille soit Japonaise, Il n'était pas rare que les Akashi aient une maison dans ce style là.
Le majordome leur ouvrit la porte, et ils s'engouffrèrent dans la demeure. Un des employés présent dans la salle principale portait un plateau où se tenaient deux coupes de champagne remplies généreusement. Ils se servirent, et un ordinateur fut donné au rouge.
« Akashi-sama, c'est Monsieur votre père. Il souhaite vous parler. »
Il congédia le messager d'un geste de la main, puis prit le chemin de sa chambre, oubliant encore une fois son '' chéri '' qui le suivait et là, il aurait vraiment, vraiment, mais vraiment aimé lui dire : mec, trouves toi une vie et lâches moi les baskets, mais visiblement, cela n'était pas encore d'actualité.
- Ne me suis pas, Koki, j'en ai surement pour longtemps.
- Mais, je serai bientôt ton mari et j'aimerais voir de temps en temps mon beau père !
- Ce sont des problèmes de famille.
- Devrais-je comprendre que je ne suis pas de la famille ?
Roll eyes.
Akashi releva dédaigneusement le menton et le châtain comprit qu'il était allé trop loin et avait manqué de respect à l'empereur par son haussement de ton. Le rouge trouvait qu'il était déjà très clément avec Furihata, vu que le supporter n'était pas donné à tout le monde, et si l'envie reprenait au jeune homme de lui manqué encore une fois de respect, il n'hésiterait pas une seule seconde à le foutre dans le premier avion pour le Japon et à se débarrasser de lui. Et hop, un poids de moins sur les épaules.
« Désolé… »
Akashi ne prit même pas la peine de répondre et reprit sa marche. Magnifique. Voilà une petite raison pour avoir la paix quelque temps.
Arrivé dans sa chambre, le rouge ouvrit l'ordinateur, prenant garde à fermer la porte au préalable.
- Seijuro, enfin j'ai cru attendre.
- Veuillez m'excusez père.
- Assez. Si je t'appelle, c'est pour une raison bien précise, Seijuro. tu rentres au Japon.
Surprise. C'était le mot qui caractérisait le plus Akashi en ce moment, même s'il n'en laissa rien paraitre par son regard glacial.
- Pourquoi donc, père ?
- Je préfère t'en parler face à face. Vous partez demain.
- Ecoutez père, avec tout le respect que je vous dois, il est impensable pour moi de partir en ce moment. Avez-vous ne serait-ce que pensé à la faculté ?
- Au revoir Seijuro, le majordome est en possession de vos billets.
Son paternel ne lui avait même pas laissé le temps d'en placer une. L'ordre avait claqué, sec et rude. On ne lui demandait qu'obéissance, c'était tout. Le rouge reconnaissait ce trait de caractère car c'était une caractéristique non négligeable venant de son personnage, mais de la part de son père, il ne pouvait s'empêcher de trouver cela horripilant.
Soupir.
Pile à cet instant là, trois coups furent toqués à la porte. Un « entrez » glacial fut prononcé, et Kurama fit cas de sa présence dans la chambre.
« Kurama, fais tes valises, nous rentrons au Japon. »
Oh, mais qu'il détestait les aéroports !
En plus, pour il ne savait quelle raison, il était obligé de prendre un vol…commercial. Alors, il était là, parmi ces gens du bas peuple, à faire la queue. Il ne s'était jamais senti aussi humilié. Obliger quelqu'un à se mélanger à des personnes aussi inférieures devrait être interdit. Il sentait son urticaire arriver. Et en plus, dans son malheur, il fallait qu'un indésirable essaye de passer devant lui dans la file d'attente et qu'en plus il ne renverse son milkshake à la vanille sur lui. Rester poli, rester poli, se répétait-il.
De son visage sombre, Akashi se retourna vers le fauteur de trouble pour lui dire ses quatre vérités, mais aussi surprenant que cela puisse paraitre, même si ça ne l'était pas vraiment, ce fut celui-là en question qui prit la parole, et le rouge fut encore plus en colère face au ton monotone utilisé.
- Veuillez m'excuser, je ne regardais pas devant moi
- J'ai cru voir, oui
Son vis-à-vis avait les cheveux incroyablement bleus. Etait ce possible d'en avoir d'aussi bleus ? Un mouchoir lui fut tendu et le rouge commença à s'essuyer.
- Vous savez, ce serait la moindre des politesses de dire merci.
- Pourquoi le devais-je ? C'est vous qui avez renversé votre boisson sur ma chemise.
Le plus petit des deux fronça ses sourcils et Akashi haussa un des siens.
- Vous êtes malpoli.
- Je ne vous permets pas.
Il était énervé. Cet espèce de schtroumpf lui faisait la leçon alors que c'était lui le coupable de toute cette situation. Une remarque acerbe s'apprêtait à sortir de ses lèvres lorsque Furihata, qui était parti au toilettes quelques minutes plus tôt, et Kurama, qui était chargé de leurs bagages, arrivèrent.
- Tiens, Seijuro, tu as taché ta chemise ?
- Non, c'est ce…
Et c'est à ce moment qu'il se rendit compte que le bleuté avait disparu et que la file s'était estompée. Il soupira et s'avança vers la caissière en lui tendant les passeports et billets d'avion.
« Merci. »
La jeune dame ne pu se retenir de rosir légèrement face à cette voix grave, mais un regard assassin plus tard, ne demandez pas venant de qui, et elle s'arrêta de loucher sur notre bel héritier. Le voyage allait être long.
XxxxX
L'avion avait décollé il y'a de cela trente minutes. Kurama lisait tranquillement un livre, et Furihata s'était endormi, la tête posée sur l'épaule de son petit ami. Petit ami qui commençait vraiment à en avoir marre. Il se leva donc pour aller aux toilettes, faisant très attention à ne pas réveiller le mollusque.
Il tapa à la porte, vérifiant que personne n'était là. Il était sur le point d'entrer lorsqu'un faible « c'est occupé » lui répondit, rapidement suivit d'une série de vomissement.
Dans d'autres circonstances, l'homme qu'il était aurait rebroussé chemin, mais ayant une très bonne mémoire, il reconnu facilement la voix du malade. Il pénétra donc dans les toilettes, et découvrit, avachi sur la cuvette, le garçon qu'il avait rencontré tantôt. Il eu un rictus moqueur.
« Vous… »
L'autre releva la tête un instant avant de grimacer et de continuer à rendre son déjeuner.
« Mal des transports ? »
Le bleu aurait été tenté de répliquer que c'était le fait de voir sa tête de petit démon qui lui donnait la nausée, mais l'avion ne lui en laissa pas le temps, victime d'une petite turbulence.
« Pourriez-vous me passer une bouteille d'eau, s'il vous plait ? »
Et Akashi fit rouler une bouteille d'eau minérale jusqu'aux pieds du bleuté. Oh, mais c'est trop aimable !
- Merci.
- Vous êtes sarcastique. Je n'aime pas ça.
- Et qu'en ai-je à faire ? »
Le rouge tiqua dangereusement du sourcil. Ce gars n'avait pas froid aux yeux. Il aurait tellement aimé lui plongé la tête dans l'eau sale de ces toilettes miteuses, mais bizarrement, il se contenta d'esquisser un petit sourire.
- Pourquoi prenez-vous l'avion si vous avez le mal des transports ?
- C'est trop long à expliquer.
- On en a pour onze heure de vol avant la prochaine escale alors, je vous en prie.
Et c'est ainsi que, sans le savoir, ils discutèrent toute la nuit sans se lasser des paroles de l'autre. Le malaise de Kuroko s'estompa petit à petit, tandis Akashi ne s'ennuya pas une seule seconde.
XxxxX
Les passagers descendirent de l'avion un à un à l'escale de Doha, mais lorsque que Akashi chercha parmi eux une chevelure bleue, il ne trouva rien.
Cela faisait à peine deux heures qu'il était rentré au Japon et il regrettait déjà Paris. D'abord, il avait du subir quarante huit heures de vol avec escale, les bavardages incessants de Furihata et maintenant, alors qu'il espérait pouvoir se reposer tranquillement, il avait fallut que son père s'y mette également. Pour couronner le tout, monsieur se permettait le luxe de le faire attendre devant la porte de son bureau.
Un homme habillé d'un costard cravate sortit de son espace de travaille. Akashi le salua d'un hochement de tête et entra dans la pièce.
- Comment as été ton vol ?
- Très long et…fatiguant.
Le reproche sonnait clairement dans sa voix, mais son visage demeura stoïque. Son père ne s'en formalisa pas. Il se saisit de papiers qu'il tendit à son fils.
- Qu'est ce ?
- Lis.
Le plus petit des deux rouges fronça les sourcils.
- Les revenus de ce mois ?
- Les affaires vont mal, Seijuro.
Partout dans le Japon ainsi que dans le monde entier, le vignoble de la famille Akashi était cité comme exemple. Leur vin faisait l'unanimité, même au-delà des frontières. Leurs vignes était entretenues avec le plus grand soin et satisfaisaient toujours les acheteurs. Mais dernièrement, un vignoble avait élu domicile non loin d'eux et depuis, les acheteurs leurs faisaient faut bon.
Masaomi prit une bouteille de vin et en rempli un verre. Il le tendit à son fils en lui intimant de gouter.
- Hum C'est…spécial
- Effectivement. Leur vin allie douceur, et amertume.
- Oui, je vois le problème. Mais, je ne comprends toujours pas comment je pourrais vous être utile.
Un rictus mauvais étira les lèvres du père d'Akashi, à l'identique de son fils.
« Je veux que tu infiltres leur vignoble en tant qu'employé pour découvrir leur secret de fabrication »
A suivre…
Kuroko : C'est…spécial.
Auteure : Merci.
Akashi : ce n'ai pas un compliment.
Auteure : continue comme ça et je te laisse plus longtemps avec l'autre casse-couilles.
Akashi :…
Note de fin : J'espère que ce premier chapitre vous a plu. Je n'ai pas vraiment prévu d'écrire la suite et tout, même si j'ai des tonnes d'idées. Je suis très perplexe face à cette fic et voilà, si ça vous plait et que vous voulez une suite, laissez une review ou alors, venez en PV pour me le dire. Je m'en remets à vous. Si ça vous plait, j'essayerai de poster Vendredi de la semaine prochaine. Pardon pour l'heure tardive :)
Je vous envoie de gros Bisous baveux ^^
Soyez heureux, mangez des fruits, et n'écrasez pas les fleurs.
