Ludwig POV

C'était la première guerre mondiale, déjà quelques temps qu'elle durait. En s'aventurant en Italie l'Allemagne ou Ludwig de son prénom était loin de s'imaginer de ce qu'il l'attendait.

Il restait abasourdi, il avait fait fuir tout le monde avec un simple bâton. Comment cela pouvait il être possible ? Etait-ce une stratégie militaire d'un nouveau genre ou bien ? Comment diantre les italiens connu pour être les descendants des Romains ayant mis à genoux plusieurs peuples auraient ils peur un bout de bois ?

S'avançant toujours dans la forêt, il finit par tomber sur une boite avec inscrit « Pomodori » dessus. Il alla vers l'objet, tapant légèrement dessus

« Pourquoi y a-t-il des tomates à un endroit pareil ? »

Ce à quoi il eu une réponse, à sa grande surprise

« Dégage de là et laisse moi tranquille »

Ses mains se posèrent sur la boite et le se mit à tirer de toutes ses forces en exhortant l'individu à l'intérieur de se montrer.

Romano POV

Ca faisait un moment qu'il s'était enfermé à l'intérieur. Combien de temps exactement ? Il l'ignorait. Romano se souvenait qu'il s'y était mis à cause de son frère et d'Espagne.

« Comment il a pu inviter Veneciano à venir chez lui sans me le proposé ? Tss farabutto » marmonna t'il dans sa caisse. Il était donc seul alors qu'ils étaient en pleine guerre pendant que son cadet devait s'amuser.

Le couvercle finit par être enlevé exposant l'italien qui leva les yeux vers l'intrus. Reconnaissant l'uniforme allemand, il lui envoya immédiatement une tomate en plein visage accompagné d'un florilège d'insultes. Il en profita pour mieux observé l'homme en question. Grand, blond, musclé…

« Fout le camp et n'embête plus l'Italie du Sud ! »

Ludwig POV

Le visage recouvert de tomate, il fixa le responsable de son état. Un jeune home à la peau tanne, les cheveux bruns avec une mèche sur le coté et des yeux couleurs olives.

« L'Italie du Sud ? Je n'ai passé la frontière qu'il y a que quelques minutes »

« T'as pas compris ? Cazzo »

Perdant de sa patience, il le prit, le mit sur son épaule et commença à se mettre en route « A partir de maintenant tu es mon prisonnier »

« Repose moi par terre, tu ne sais pas à qui tu as à faire ! »

« A quelqu'un qui m'énerve sérieusement ! »

Ce à quoi Romano lui répondit en lui donnant des coups dans le dos afin qu'il le repose par terre et qu'il puisse s'enfuir. Mais l'allemand continua sa route

« Reste tranquille Romano Lovino Vargas »

Il arrêta immédiatement de lui massacrer le dos et le laissa en paix jusqu'à ce qu'ils soient arrivés.