ATTENTION si tu as moins de 18 ans éloignes tes yeux de cet écran d'ordinateur, car il y a des scènes d'amour explicites!!
Dans le dortoir des filles de 7ème année de Griffondor
Hermione Granger, jeune fille de 17 ans allongée dans son lit lisait un roman moldu. Il était prés de minuit, toutes les autres filles dormaient dans le dortoir des Griffondors et elle n'arrivait pas à fermer son livre captivée par l'histoire d'amour de l'héroïne. Elle en était à lire un passage érotique, pour le moins explicite, lorsqu'elle entendit du bruit dans le dortoir. Elle arrêta sa lecture, les joues en feu légèrement excitée, et fit semblant de dormir pour ne pas être surprise par ses camarades entrain de lire un tel roman.
Elle tendit l'oreille pour essayer d'identifier la provenance et l'auteur du bruit. Les bruits s'amplifièrent, des bruits de respiration, une respiration qui s'accélérait. Elle entendit ensuite le bruit du frottement des draps contre la peau de sa camarade de chambrée.
Elle se demandait de qui il s'agissait mais n'osait regarder. Elles étaient 3 dans le dortoir, Lavande, Parvati et elle. Elle était partie se coucher la première et absorbée dans son livre, elle n'avait pas fait attention à ses colocataires. Elle entendit alors un gémissement et crût reconnaître Lavande.
Les gémissements augmentaient et le bruit des frottements qu'elle entendait auparavant étaient plus nombreux et saccadés. Hermione eut soudainement plus chaud, elle sentait que sa culotte devenait humide mais n'osait bouger ni les draps pour avoir moins chaud, ni sa main pour se caresser elle aussi. Elle lutta mentalement en interdisant à sa main de descendre au niveau de sa culotte. Pourtant sa main se retrouva sur son sein droit et le caressa doucement en essayant de ne pas faire trop de bruit pour ne pas alerter sa camarade.
Cette dernière gémissait de plus en plus fort, Hermione entendit le matelas grincer signifiant que sa voisine venait de se retourner.
La main d'Hermione commençait inexorablement à descendre plus bas, caressa son doux ventre et atteignit l'élastique de sa culotte. Ses doigts vinrent se perdre dans les poils soyeux de sa toison brune, lentement, sensuellement. L'index plus rapide que les autres s'immisça entre les grandes lèvres, il joua un instant avec les petites lèvres en les faisant rouler contre le pouce et vint finalement se frotter contre le clitoris.
Hermione lâcha un soupir de bien être au même instant où sa camarade poussa un cri semblable à un rugissement de plaisir, à moitié étouffé par son oreiller. En entendant cela, l'esprit d'Hermione paniqua, à présent que sa camarade venait d'atteindre l'orgasme, les bruits qu'elle faisait ne passerait pas inaperçu et elle risquait d'être découverte en pleine masturbation. Sa main se stoppa alors que son bas-ventre, encore brûlant d'excitation en redemandait.
Frustrée, elle décida qu'elle devait se changer les idées pour diminuer son excitation. Pour montrer à sa camarade qu'elle venait de sortir d'un rêve, elle fit semblant de se réveiller brusquement en bougeant les draps et en sursautant. Elle se leva, dû traverser tout le dortoir pour se diriger vers la salle commune des Griffondors. En passant, elle remarqua que le lit de Parvati était vide, elle devait être avec Seamus dans la salle sur demande.
Lavande était dans son lit mais ne feignait pas dormir, elle fixa Hermione pendant sa traversée de la chambre et poussa un soupir lorsque celle ci passa devant elle. Hermione accéléra le pas lorsqu'elle passa devant le lit de Lavande, son coeur battant plus vite que la normale, et empêcha ses yeux de regarder en direction de sa camarade.
Lorsqu'elle posa sa main sur la poignée de la porte, elle sentit une main sur son épaule, un souffle léger dans son cou. Elle s'immobilisa et ferma les yeux. Elle ressentit la chaleur de Lavande qui s'approchait d'elle doucement, son odeur l'enveloppait. Hermione se sentait bien, apaisée. Lorsque Lavande la pris dans ses bras, posant ses mains sur son ventre et déposant des baisers dans son cou, sur ses épaules nues, elle se sentit heureuse... et ce n'était que le début.
Tandis que Lavande continuait à couvrir les épaules, la nuque et le cou d'Hermione de baisers, en insistant sur ce point si sensible derrière l'oreille qui faisait doucement gémir Hermione, cette dernière pris une des main que Lavande utilisait pour caresser son ventre et ses hanches. Elle porta cette main à ces lèvres et embrassa le pouce, l'index, la majeur, l'annuaire, l'auriculaire, la paume, le poignet. Des baisers doux comme un chaste baiser d'écoliers, des baisers sensuels laissant deviner son désir. Elle pris ensuite plus particulièrement l'index et le majeur, les embrassa ensemble puis laissa courir sa langue le long, enroula sa langue autour des longs doigts fins de Lavande, avant de les suçoter, de les sucer en faisant des va et viens avec ses lèvres, avec sa langue.
Lavande retourna alors Hermione et la plaqua contre la porte, se serra contre elle, poitrine contre poitrine, hanche contre hanche. Elles s'embrassèrent brutalement, jouant avec les lèvres, avec la langue de l'autre. Leur désir ne cessait de monter, elles avaient chaud, leur mains se baladaient rapidement sur le corps de l'autre comme pour s'agripper, ne pas se perdre dans le feu de cette passion. Leurs corps se mouvaient en harmonie cherchant à chaque instant le contact avec l'autre. Leurs respirations étaient saccadées, un gémissement de plaisir sortait de leurs gorges par moment. Lavande descendit ses mains le long de la colonne vertébrale d'Hermione, caressa un instant ses hanches puis ses fesses. Elle les malaxa, les caressa puis poussa Hermione contre la porte et se pressa encore plus contre elle en la soulevant. Hermione enroula ses jambes autour de la taille de Lavande tout en continuant de l'embrasser avec fougue. Elles étaient très excitées, Lavande collait son bassin contre celui d'Hermione,tout en gardant ses mains sous les fesses d'Hermione. Elle stoppa leur baiser et laissa ses lèvres explorer la gorge d'Hermione, descendant vers sa poitrine. Elle commençait à embrasser Hermione à la limite de la nuisette d'Hermione, frustrée par la présence gênante du dit morceau de tissus, lorsque Hermione lui murmura à l'oreille entre deux gémissements de la déposer à terre.
Lavande retira ses mains laissant Hermione poser ses pieds à terre. Celle ci en profita pour inverser les rôles et poussa Lavande contre la porte. Elle l'embrassa, tout en caressant la poitrine de Lavande, elle sentait à travers le tissus l'excitation de sa camarade et avait très envie d'explorer et d'embrasser cette zone. Elle pressa fortement son bassin contre celui de Lavande et s'écarta d'elle brutalement.
Elle lui sourit tout en reculant au fur et à mesure, elle descendit lentement la bretelle droite de sa nuisette, puis la bretelle gauche. Elle regarda Lavande et se sentit désirée. Elle fit alors glisser sa nuisette le long de son corps, accompagnant sa chute avec ses mains, en profita pour caresser son corps. Elle s'arrêta au niveau de ses fesses, posa une de ses mains contre son intimité et l'autre main sur sa poitrine. Elle recula en continuant de se caresser, lorsque ses jambes rencontrèrent le tissus de son lit, elle s'assit et écarta légèrement les jambes, se caressa l'intérieur des cuisses en bougeant son bassin de façon suggestive puis regarda Lavande l'invitant à la rejoindre.
Lavande s'approcha du lit en enlevant ses vêtements de nuit rapidement. Elle poussa Hermione sur le lit et s'allongea sur elle, leurs poitrines, leurs hanches se touchaient enfin, peau contre peau. Elle pressèrent leurs bassin dans un même mouvement puis Hermione posa ses mains sur les hanches de Lavande pour diriger leurs mouvements. Le bassin de Lavande faisait tantôt des petits mouvements de rotation, de grands à coup, de légers frottements de gauche à droite, tantôt des mouvements de va et viens, tandis qu'Hermione en faisait de même. Lavande était à présent assise à cheval sur Hermione et s'amusait à caresser à titiller les seins de son amie, de temps à autre, elle se penchait pour embrasser, lécher, suçoter ou encore mordiller les tétons d'Hermione.
Elle regardait la poitrine de Lavande se mouvoir doucement en accord avec les mouvements de leurs corps, et mourrait d'envie de les embrasser de laisser sa langue courir le long de leur galbe et de venir titiller à son tour les pointes durcies de ses seins. Elle se releva et prit dans sa bouche tour à tour, les seins de Lavande, jouant de sa langue avec ses tétons.
Elles se serraient de plus en plus l'une contre l'autre. Comme d'un commun accord, elles descendirent chacune une main vers l'intimité de l'autre et frottèrent leurs doigts contre le clitoris de l'autre avant d'enfoncer un puis deux doigts dans leurs sexes humides. Elles gémirent ensemble puis effectuèrent des mouvements de plus en plus saccadés, revenant parfois en insistant sur le clitoris, elles haletaient, leurs souffles devenaient courts. Déjà les premières vagues de bien être apparaissaient dans leur corps, elles étaient en sueur et commençaient à pousser des petits cris pour Hermione et des rugissements pour Lavande. Elles se collèrent encore plus l'une à l'autre, bougeaient leurs bassins de plus en plus vite, faisait des mouvements de plus en plus saccadés avec leurs mains, lorsqu'une vague de plaisir plus importante que les autres, les fit crier le prénom de l'autre au même instant. L'orgasme qu'elles venaient de vivre les fit s'écrouler sur le matelas une place, Lavande au dessus d'Hermione, toutes les deux tremblantes et en sueur, le souffle court. Elle retirèrent leur main et s'embrassèrent tendrement, un doux sourire de béatitude flottant sur leurs visages.
« J'en ai rêvé tant de fois mais c'était encore mieux que dans mes fantasmes les plus chauds » murmura Lavande
Hermione lui demanda « C'était à moi que tu pensais quand tu te masturbais ce soir? »
« Tu faisais semblais de dormir alors? »
« En fait je lisais un livre et je t'ai entendue, alors j'ai lâché mon livre et j'ai essayé de dormir »
« Alors tu as tout entendu petite coquine »
« Si tu veux tout savoir, entendre tout ces bruits, m'a beaucoup excitée. Et j'étais presque sure que c'était toi »
Lavande regarda sur la table de chevet d'Hermione pour voir l'heure qu'il était, le réveil indiquait 3heures du matin. Son regard se posa alors sur un livre, sûrement le livre qu'Hermione lisait alors qu'elle s'adonnait à quelques plaisirs seule dans son lit en pensant à elle. Curieuse de savoir ce qu'elle lisait jusque tard dans la nuit, Lavande saisit le livre et lut à la lumière de la lune quelques lignes à l'endroit où Hermione s'était arrêtée.
Elle s'exclama alors: « Eh bien! Si j'avais su que tu lisais de telles choses, je serai venue te voir dans ton lit plus tôt, au lieu de fantasmer seule dans le mien! »
Hermione ne dit rien, elle se contenta de sourire.
Lavande murmura contre son oreille « Mademoiselle Granger vous êtes une petite dévergondée, mais j'adore ça. »
Elle s'embrassèrent et dormirent serrée l'une contre l'autre dans un petit lit du dortoir des 7ème année de Griffondor.
