Titre : La mort n'est pas une fin

Auteur : Meoi ! Enfin, la Folleuh quoi !

Disclaimeur : Tout m'appartient !! Tient, aurais-je oublié la négation ?

Petite note : Pour ceux que j'ai déjà reviewer et qui non pas lu ma bio, je suis aussi La Folle.

Petite note bis : Merci à mes copines et auteurs qui m'ont soutenue et à ma bêta lectrice qui va se grouiller de mettre sa fic sur le site !!!

Sur ce bonne lecture !

Chapitre un : Une arrivée fracassante

Sirius se baissa pour éviter un jet de lumière rouge jaillit de la baguette de Bellatrix. Il éclata de rire en se moquant d'elle :

-Allons, tu peux faire mieux que ça ! s'écria-t-il, sa voix résonnant en écho dans la vaste salle.

Le deuxième jet de lumière le frappa en pleine poitrine.

Le rire ne s'était pas complètement effacé de ses lèvres mais ses yeux s'agrandirent sous le choc.

Sirius sembla mettre un temps infini à tomber. Son corps se courba avec grâce et bascula lentement en arrière, à travers le voile déchiré de l'arcade.

Le jeune homme se releva prestement en s'époussetant.

-Bellatrix, tu es désespérante ! Tu es toujours aussi nulle qu'avant ! Mais regarde-moi ! Je n'ai rien, pas le moindre petit bobo ! Où Voldemort va-t-il chercher ses sbires ? Dans des pétards surprises ? Bon, c'est vrai. Arrêtons de jeter la pierre à ce pauvre mage noir. Ce n'est pas de sa faute si je suis incroyablement résistant !

Ne percevant aucune réponse il se mit à contempler l'endroit dans lequel il se était. Cela n'avait plus rien à voir avec la pièce où il se trouvait précédemment : elle était vide, mis à part lui, rectangulaire et entièrement peinte en blanc. Sirius en resta pantois. Que devait-il faire ? Appeler ses amis et tout simplement voir si quelqu'un venait ou bien s'asseoir et regarder le temps qui passe ? Ne sachant que choisir, il opta pour s'asseoir et crier de toutes ses forces "Youhou ! Y a quelqu'un ?".Après avoir passé de nombreuses minutes à s'époumoner, notre jeune ami se rendit compte qu'il y avait de l'écho. Il commença alors à chanter et à dire tout ce qui lui passait par la tête en virevoltant dans la salle (Sirius : j'ai l'impression d'être une danseuse de ballet là ! Vous êtes sûrs que c'était prévu dans le script ? NdA : -) Il s'éclata dix bonnes minutes avec des "Yalalahihou hihou yalala hihou !" et autres onomatopées quand soudain, il eut une idée de génie ! NdA : bah oui, c'est Sirius ! Il prit une grande inspiration et entama un retentissant :

-ROGUE EST UN GROS

-NON MAIS C'EST PAS UN PEU FINIT LÀ ?!!

Refroidit le Siri.

-Euh, excusez-moi, mais auriez-vous dit quelque chose ?

-Mais oui mon cher Sirius, je te demandais juste (ton mielleux) si ce n'était pas un peu fini tes enfantillages !

-Oui, bien sûr ! Mais j'ai juste une petite question

-Mais vas-y, je t'écoute. Je suis là pour ça. ton bienveillant

-Rassurez-moi, je ne suis pas en train de discuter avec un écho ?

-Et moi qui croyais que les élèves de Dumbledore étaient mieux élevés que ça ! Me confondre avec un vulgaire écho !

(Echo : Eh !)

-Toutes mes excuses noble personnage ! Un tel homme que moi ne peut deviner l'immensité qui vous anime ! NdA : encore un peu de cirage Siri ?

-Il est vrai, il est vrai. Pour tes bonnes paroles, tu es pardonné.

-Merci beaucoup M'sieur ! Je peux retourner avec Harry et les autres maintenant ?

-Sirius, mon pauvre petit Sirius. N'as tu point regardé où tu te trouvais ? Ici-bas est une dimension dont on ne peut échapper. Tu ne peux, par conséquent, rejoindre ton filleul et tes amis dans leur combat.

-Comment ? Oh non ! Il faut que je les aide ! Que je voie ce qu'il se passe !

-Alors regarde

Là-bas

-Je n'ai rien de plus à te dire, Potter, reprit-il à voix basse. Tu m'as exaspéré trop souvent et trop longtemps. AVADA KEDAVRA !

Harry n'avait même pas ouvert la bouche pour tenter de résister. Il avait l'esprit vide, sa baguette magique inutilement pointée vers le sol.

Mais la statue décapitée du sorcier s'anima soudain, sauta de son piédestal, atterrit avec un grand bruit sur le parquet et se dressa de toute sa hauteur entre Harry et Voldemort. Le sortilège rebondit sur la poitrine de la statue qui étendit les bras pour protéger Harry.

-Quoi ? S'écria Voldemort en regardant autour de lui.Dumbledore ! dit-il alors dans un souffle.

Ici-bas

-Mais c'est affreux !

-Je n'ai jamais dit le contraire Loin de làgros soupir

-Attendez une petite seconde

-J'attends.

-S'ils sont là-bas et que moi je suis ici. Alors où suis-je ? J'ai donc réellement changé de dimension ?

-Tu es passé de l'autre côté du voile.

-Je suis donc mort ?

-Hélas !

-Mais alors, Vous êtes, Vous êtesbafouilla Sirius en rougissant. Vous êtes Dieu ? Je Vous demande pardon pour l'irrespect dont j'ai pu faire preuve jusqu'à présent.

-Tu es tout pardonné. Mais

-Où je vais alors ? C'est par où le Paradis ?

-J'y venais, mais tu ne m'as pas laissé parler ! Le chemin qui te mènera au Paradis est semé d'embûches !

-Hein ? Mais pourquoi ?

-Pour juger si tu es digne d'y entrer bien sûr ! Car avec tes antécédentsRien n'est moins sûr.

-Mais, je ne veux pas aller avec ma mère moi ! Et, mes antécédents ? Quels antécédents ? Vous parlez de la fois où j'ai fait tomber le porte cierges avec tous les cierges allumés ? Si c'est le cas, ce n'était vraiment pas intentionnel !

-De cette fois comme des autres ! Toutes tes blagues imbéciles faites avec tes amis

-À propos de mes amis Où sont James et Lily ?

-Au Paradis bien évidemment !

-Et James aurait plus de droits que moi sur le Paradis ?

-Vois-tu la porte sur le mur ?

-Vous ne répondez pas à ma question mais oui, je la vois.

-Et bien c'est parfait ! s'exclama son interlocuteur qui ne s'était pas montré de tout l'entretien. Dirige-toi vers elle. Tes consignes sont simples : tu dois aller Là et tu me retrouveras. Bonne chance Sirius.

-Et mais attendez ! C'est où Là ? Je ne sais même pas où cela se trouve ! et pourquoi "bonne chance" ? Vous n'avez pas confiance en mes capacités ?

Personne ne lui répondit. Il se dirigea alors bon gré mal gré vers la porte qui était apparue soudainement pendant leur entretien en maugréant contre les cerfs qui avaient des billets d'entrée gratuits pour le Paradis. NdA : Personne ne lui a dit qu'il y avait été directement ! Complexerait-il ?

-James, mon chéri, tu ne crois pas avoir été un peu dur avec ton meilleur ami ?

-Mais non Lily Jolie ! D'ailleurs, il ne m'avait jamais raconté cette histoire avec les cierges

-Là n'est pas la question James ! Dit-elle d'un ton faussement menaçant.

-Je sais, je sais mon trésor mais je ne rechigne pas à m'amuser un peu aux dépends de ce cabot ! ça fait tellement longtemps que je prépare cette blague pour Sirius ! Tu vas voir, on va bien rire, j'en suis certain !

-Tu sais que se servir de la naïveté de son compagnon n'est pas toujours une bonne idée ?

-Oui je sais ! Cependant, maintenant que Sirius est là, on va pouvoir s'amuser comme des petits fous !

-James le maraudeur, le retour

Voilà, ça y est. Je suis dans la cage aux lions. Se cache les yeux pour ne pas voir mais regarde quand même et dit : "Oh ! Grands et gentils lecteurs ! Puisque j'ai abusé de votre temps, puis-je en prendre encore un peu le temps d'une pitite mais alors toute pitite, mais/et que si vous voulez qu'elle soit grande vous pouvez, review "

Au prochain chapitre !

La folle qui déraille.