Disclaimer : L'histoire d'harry Potter ne m'appartient pas. Tout est à JK Rowling. (la chance!)
Résumé : Lors d'un cours de potion Snape découvre que Harry cache des bléssures sous un glamour. Voulant le confronter à sa découverte, il ne s'attendait pas à se retrouver plonger au coeur d'une histoire compliquer où harry souffrirait d'un développement de personnalités multiples.
Pairing : Harry/Snape relation Père/Fils
Note de l'auteur : C'est une traduction de l'histoire "Me, Myself and I" de EmySabath. J'ai son autorisation pour traduire cette magniphique histoire en Français.
Me, Myself and I
Chapître UN
POV Harry
Harry se réveilla le premier jour d'école de sa sixième année tout courbaturé et abattu. Il faut dire qu'il avait dormi sur son vieux matelas défoncé chez les Dursley. Après tout, quoi d'autre cela pourrait-il être? Ses souvenirs de vacances d'été n'étaient jamais mieux que vagues et imprécis, mais il savait que rien de mal ne s'était passé.
Le petit-déjeuner était le bienvenu, comme le dîner était le seul repas qui lui était autorisé depuis l'année dernière. Et cela, seulement à la fin de ses travaux, mais ce n'était pas épouvantable car il avait presque toujours tout fini. Ce n'est pas comme si ça n'avait pas pu être pire.
"Être pire? Comment cela aurait pu être pire? Était-cetoujoursle pire?"
Il chassa ses pensées confuses et toujours portées sur la délicieuse odeur de bacon qui imprégnait le Grand Hall. Pas même le cours de potions qui était prévu ce jour-là pourrait ruiner l'odeur du bacon.
Hermione et Ron lui demandèrent s'il allait bien, comme ils avaient tendance à le faire, mais il leur assura que oui, il était bien.. Après tout, il l'était. C'était génial. Il était heureux. Il avait deux bons amis et il était à la maison. Quoi de mieux?
"Peut-être situ n'avais pas aussi mal au dos. Etpourquoites côtes font mal?"
Le trio était assis à leur place habituelle dans le fond de la classe. Ils attendirent l'arrivée de Snape, comme ils le faisaient toujours. La grande chauve-souris des cachots se dirigea à l'avant de la classe. Ensuite, il donna un bref exposé sur la potion de révélateur du sortilège de glamour, avant de leur donner des instructions pour préparer une forme simple orientée vers les charmes de glamour pour cosmétiques.
« Comme cela pourrait être une situation potentiellement embarrassante, » dit Snape quand ils finirent, avec une expression sadique sur le visage. Le directeur n'interviendra pas, il n'y aurait rien pour les sauver de l'humiliation. « Je serai celui va tester l'une de vos potions. Potter! Apportez-moi un flacon de votre chaudron. »
« Oui, monsieur, » soupira Harry.
Il versa une louche dans un verre. Au moins, ça semblait très proche de Hermione, de sorte qu'il était presque sûr que ça ne serait pas un empoisonnement pour l'homme.
Snape regarda le liquide avec un dégoût évident, mais il le but rapidement et sans se plaindre. Il regarda autour de la salle. Ses yeux s'attardèrent sur certaines des filles comme la lingerie de Parkinson et de Lavande avant de s'immobiliser sur Harry lui-même. Presque imperceptiblement les yeux de l'homme s'élargirent, mais l'expression disparue rapidement.
«La classe est terminée. » Grogna-t-il. « Potter! Vous restez après. »
Roulant des yeux, Harry fit signe à Ron et Hermione qu'ils devraient partir en avant. Tout irait bien. Snape était juste vexé, il en était sûr. Dès que la porte se referma derrière le dernier élève, Snape sortit sa baguette et jeta un charme de haut niveau de confidentialité.
« Mr. Potter, expliquez-vous! »Exigea Snape.
Harry cligna des yeux.
« Excusez-moi? Monsieur? »
« Expliquer ce... ce…, » Snape désigna les blessures sur le corps de Harry. « Expliquez-vous ! » Termina-t-il sans conviction.
Harry était confus, quelqu'un avait-t-il mis un glamour sur lui sans le savoir? Mais il semblait juste comme d'habitude. Alors quelle importance si quelqu'un voyait à travers le glamour? Et pourquoi était-il soudain effrayé?
« Monsieur, je ne comprends pas, » admit Harry doucement, en espérant que Snape ne verrait pas cela comme une raison pour lui donner une retenue ou enlever des points à sa maison. Pas de chance.
« Dix points en moins pour Gryffondor! » Siffla Snape, étant alternativement pâle et choqué. « Maintenant, expliquez, mon garçon!»
POV Severus
« Dix points en moins pour Gryffondor! » cria Severus à moitié furibond.
Il ne comprenait pas ce qu'il avait vu sous le glamour (un corps sous-alimenté, pratiquement affamé, meurtri et battu, un enfant sous-développé.) Et maintenant, Potter niait savoir tout cela? Le garçon ne voyait-il pas que le mensonge était inutile, que Severus pouvait clairement voir à travers le déguisement?
Soudain, le glamour tomba et Potter, se courbant, croisa les bras sur son ventre et baissa la tête pour regarder le sol. Le Gryffondor recula de quelques pas avant de rester debout tremblant.
« Garçon ne veut pas dire. Garçon ne peut pas dire, » murmura t-il d'une voix plus adaptée à un enfant de un an. « Garçon est blessé quand il dit, ne le dites pas, ne le dites pas. »
« Potter » Dit Severus le souffle coupé.
La tête du garçon fit un bond et le glamour se remit en place.
« Oui, monsieur? » Demanda-t-il innocemment. « Je ne comprends vraiment pas ce que vous voulez m'expliquer. Je suis désolé. Puis-j'y aller maintenant? »
Severus hocha la tête en silence, avant de se reprendre alors que Potter rejoignait la porte.
« La détention ce soir à dix neuf heures, Potter. Ne soyez pas en retard.»
Les épaules voûtées, le Gryffondor répondit, «oui, monsieur». Ensuite, il parti.
Severus se renversa dans son fauteuil pour réfléchir à ce développement nouveau et étrange. Il était clair Potter faisait semblant. Que faisait Potter? La question était, pourquoi?
Les faits:
Le visage de Potter réagissait par la panique et le repli lorsqu'il était appelé "Garçon".
Après avoir été désigné par "Potter" à nouveau, il était redevenu normal, n'ayant apparemment aucun souvenir de ce qui s'était passé.
Le corps de Potter montrait des signes de mauvais traitements et de malnutrition chronique. Auto-infligé? Ce serait clairement un "appel à l'aide". Or c'était tout le contraire du type d'attention que se permettrait le garçon.
Alors, pourquoi le glamour? Et même plus confus, pourquoi nier l'évidence? Pourtant, il était clair que Severus avait la preuve authentique de l'existence du glamour et de ce qu'il cachait en dessous, l'état du garçon.
C'était une source de confusion, une énigme de plus haut degré.
Cette nuit-là, à dix neuf heures sur la pendule, la porte de Severus s'ouvrit et une tête de cheveux noirs en désordre se montra.
« Ne restez pas planter là et entrez Potter, » Cassa Severus. « Je n'ai pas toute la soirée. »
Le Gryffondor hocha la tête et ferma la porte derrière lui, se déplaçant jusqu'au bureau de Rogue.
« Maintenant prenez soin de tout me dire au sujet de votre petit spectacle de ce matin? »
« Je suis désolé pour cela monsieur, » Dit Potter parlant plus au bureau qu'à son professeur. « Nous…, c'est-à-dire, j'ai des difficultés à dormir et no... j'étais un peu éreinté c'est tout. »
Severus se pencha en arrière tapotant ses doigts sur le dessus du bureau.
« En effet. » Dit-il avec calme. « Et que dire vous du glamour, des blessures et de la famine? »
« Je crains que vous vous trompiez professeur. » Dit Potter. « Nous…je ne porte pas de glamour et je ne suis certainement pas blessé, vous pouvez vérifier maintenant si vous le souhaitez, tenter d'éliminer tous les sorts que je pourrais avoir. »
Pensant prendre l'enfant par surprise Severus sortit immédiatement sa baguette et murmura : «Finite Incantatem». Il cligna des yeux. Rien ne s'était passé. Comment était-ce possible? Il savait que la potion de Potter était presque parfaite, certainement assez bonne pour lui faire effectivement voir à travers le glamour qu'il savait être là. Mais pourquoi le contre sort ne l'a-t-il pas supprimé? A moins que...
Peut-être Potter avait jeté un nouveau sort dans la fraction de seconde après que le contre-sort l'ait frappé. Severus avait cligné des yeux, peut-être avait-il manqué quelque chose de crucial. Il se maudit mentalement, il devrait savoir...
« Voilà, j'espère que c'est une preuve suffisante pour vous monsieur. » Dit Potter, mais Severus ne faisait pas attention.
Il avait sorti de son tiroir du bas un de ses biens les plus précieux (une amulette en pierre ensorcelée). Il appliqua le contre-sort et une période de fixation sur celui-ci. Les amulettes en pierre ensorcelées avaient la capacité d'absorber les sorts et les rendre inefficaces celui qui les portait indépendamment des contre-mesures.
« Puis-j'y aller maintenant monsieur? »
La voix de Potter coupa les rêveries de Severus.
« Pas encore, M. Potter. » Ricana Severus. « Une dernière chose. Dumbledore m'a demandé de vous donner ça, (il présenta l'amulette), comme une mesure supplémentaire de protection. Venez ici et mettez-la. »
Potter hocha la tête et naïvement glissa l'amulette par-dessus sa tête. Immédiatement, le sort se désintégra, ce qui laisse le vrai Potter (petit, maigre, et le corps blessé.)Debout sous le choc.
« Non, je savais que James ne pouvait pas gérer ça! » Cria Potter, sonnant comme beaucoup plus comme celui qu'il avait été l'année précédente, grinçant des dents et serrant les poings. « Il n'a pas eu Harry depuis la deuxième année. Vous n'êtes pas censé savoir! Pas même Harry! Pourquoi ne pas nous laisser seuls? »
Sa voix changea soudainement en celle d'un enfant en pleurs.
« Pourquoi êtes-vous comme lui? »
« Comme qui? » Demanda Severus, surpris et intrigué par ce nouveau tour.
Qui était James? Et pourquoi se faire passer pour quelqu'un d'autre que Potter en deuxième année? Ou maintenant, d'ailleurs.
« Impossible » Déclara la voix enfantine de Potter. « Je ne suis pas un mouchard, vous ne m'attraperez pas à me surprendre à raconter des histoires sur Harry. Je sais. Jouons à un jeu! »
« Un jeu? » Hésita Severus.
« Ouais! Vous connaissez l'histoire de Rumplestiltskin? » Demanda Potter, pratiquement en bondissant. Severus hocha la tête, trop confus pour faire autre chose que dire la vérité. « Vous avez trois propositions pour deviner mon nom et si vous ne le trouvez pas par le bon la troisième fois j'obtiens un pudding. Ok, allez! »
« Mais je sais déjà votre nom, Potter.» Dit Severus d'une voix traînante, les yeux plissés.
« Non, ça fait une proposition en moins, » s'écria le garçon heureux.
« Vous n'êtes donc pas Harry Potter? »
Severus sentit comme un pincement de peur dans le ventre. Si ce n'était pas Potter, de qui s'agissait-il et où était le Golden Boy?
L'homme-enfant fronça le nez.
« Vous êtes si mauvais que ça. Devinez à nouveau! »
Peut-être la même astuce serait utile deux fois.
« Boy?Tenta Severus.
« Non, vous l'avez rencontré! »Rejeta l'enfant. Puis eut un petit rire de joie. « Vous avez perdu, j'ai gagné, où est mon pudding? »
« Je n'ai jamais consenti à vous donner un pudding, » ricana Severus.
« Ce n'est pas juste! » Se lamenta Potter, piétinant des pieds avec humeur. « Tu es méchant. Je vais le dire à Mike! »
Le visage du garçon devint absent pendant un moment, puis il changea de façon spectaculaire en un éclair. Il croisa les bras sur sa poitrine d'un air de défi et regarda vers le bas une pierre particulièrement offensante sur sa gauche.
Écouter
« Mike, je présume? » Demanda Severus ironiquement, se demandant quand et pourquoi sa nuit avait pris une telle tournure étrange.
« Ouais, comme si cela vous intéresse, » murmura le garçon. « Vous traitez l'enfant comme de la merde. Son nom est Foster, soit dit en passant, s'il tente de nouveau de jouer à ce jeu stupide avec vous. Et je sais qu'il est plutôt irritant parfois, mais vous n'êtes pas exactement un soleil ni des marguerites, chauve-souris graisseuse. »
« Je ne saurais tolérer que vous me parliez d'une telle manière! » Siffla Severus. «Vingt points en moins pour Gryffondor pour votre langage et votre insolence. »
« Vous êtes un bâtard, vous le savez ça? » Répondit 'Mike', s'adressant directement à lui. « Je ne veux pas faire affaire avec vous. »
Le visage de Potter se vida à nouveau soudainement. Terriblement vide. Severus attendit avec impatience. Un visage à demi-familier surgit et il fut un peu déçu lorsqu'il aperçut le familier (bien qu'un peu confus) indemne visage de Harry Potter.
« Professeur? » Demanda t-il timidement, un peu confus. Il secoua la tête et sembla désorienté. Severus songea qu'il n'avait manifestement pas la mémoire de ce qu'il s'était passé. « Désolé, monsieur, voulez-vous que je frotte des chaudrons pour la détention?. »
« Une absence de nouveau, Potter? » Ricana Severus. « La détention est finie pour ce soir, mais vous reviendrez tous les lundis soirs jusqu'à ce que vous arrêtiez d'avoir ces malheureuses dérives de l'attention. Partez!»
POV Harry
Harry ne perdit pas un instant. Il sortit pratiquement en courant de la salle de classe. Il n'aimait pas l'idée de plus de détentions, et surtout pas avec Snape. Cependant si l'homme pouvait le guérir de sa mémoire défectueuse, il lui saurait toujours reconnaissant. Aussi longtemps qu'il le pouvait, Harry avait eu ce qu'il appelait des «Black-Outs», où il oubliait complètement quelques minutes, une heure, parfois même des jours entiers. Un instant, il était quelque part. La fois suivante, il était quelque part ailleurs. Parfois, il agissait. Surtout parce que ce n'était pas comme s'il s'était évanoui ou quoi que ce soit d'autre, les gens devaient pouvoir lui parler ou travailler avec lui comme s'il était dans son état normal.
Parfois il se demandait si Voldemort l'avait possédé.
Mais, il avait eu des Black-Outs depuis qu'il était petit. Il était sûr de cela au moins. Alors, Voldemort était encore en Albanie ou ailleurs. Cela l'avait rassuré légèrement, mais ça lui laissa encore le problème que quelqu'un ou quelque chose contrôlait son corps alors que lui-même ne semblait plus y être. Il haïssait cela. Ça lui faisait peur et ça lui a laissé un sentiment d'impuissance. Alors, Harry subirait même du travail avec Severus Snape, Maître des Potions de Poudlard et chauve-souris graisseuse extraordinaire, si cela signifiait se débarrasser de ces absences.
POV Severus
Severus regarda le garçon partir, comme si l'ensemble de l'enfer était après lui, un sourire s'installant facilement sur son visage. Il sortit les notes qu'il avait prises jusqu'à présent et y ajouta plusieurs faits:
Mike: boudeur, protecteur, adolescent en colère. Potter à partir de la 5ème année?Grossier.
Foster: un enfant, sept ou huitans? Aimeles jeux, l'équité, semble heureux, mais à rapidementles larmes aux yeux. Obsédé par "le mouchardage"
James: ?. A Apparemment contrôlerPotteren 2ème année.
Trucage: encore possible, Potterest un acteur accompli. Puissantégalement : une nouvelle demande inconsciente du sortilège de glamoursur uneamulette à contre-sort.
Potter a t-il un développement de personnalités multiples (MPD)? Cela implique une vie de famille malheureuse, mais Potter est choyé, n'est ce pas? Il y avait trop de questions et d'autres recherches étaient nécessaires.
Le lundi suivant, Severus attendit patiemment à son bureau. A dix neuf heures cinq, il ouvrit sa porte avec d'autorité. Harry Potter entra, une fanfaronnade inconnu dans sa démarche et un sourire presque familier sur ses lèvres.
«Je suis tellement content que vous ayez finalement jugé bon de me rejoindre, M. Potter? » Ricana-t-il. Potter ne répondit pas. « Prenez un siège. »
Le garçon tira un des tabourets de derrière les tables et se percha sur elle avec indifférence. Il donna à Severus un regarde calculateur et l'évalua avant de courber le dos et de se détendre légèrement.
« Où allons-nous commencer ce soir, M. Potter? » Dit Severus d'une voix traînante. « Les bleus? Les cicatrices? La faim?»
Il se pencha plus près, en baissant la voix. Combien de temps Harry a t-il été en cours?
« Je ne suis pas « Potter » ou « Harry », » ricana le garçon. « Soyez gentil! Cessez de parler de moi en tant que tel. »
« Je vous présente mes excuses, » déclara Severus d'un ton soyeux, en indiquant clairement aucune de ses émotions. « Qui êtes-vous? »
« Mon nom est Tom, » dit-il, puis il se mit à rire à l'expression choqué de Severus. « Je sais, quelle coïncidence, n'est-ce pas? Ne vous inquiétez pas, je ne suis pas là pour nuire à votre précieux garçon-qui-à survécu. Après tout, s'il meurt, je meurs. »
« Que faites-vous, Tom? » Demanda Severus.
Il observa comment ce garçon se tenait tellement différemment de celui qu'il connaissait, ou des autres" suppléants ", qu'il avait déjà observé. Tom se pencha en arrière sur sa chaise avec élégance, à la réfléchissant totalement détendu, yeux mi-clos d'une manière qui le faisait paraître vaguement dangereux. Ses doigts planait toujours près de la poche où se trouvait sa baguette.
« Je suis les mauvaises choses, les trucs sombres, » Tom répondit avec désinvolture. « Je suis le Fourchelangue, vous savez. Harry ne peut pas parler aux serpents, il n'oserait pas. Il l'a fait une fois, et c'est parce que je ne pouvais pas prendre le dessus. Je ne peux jamais prendre le relais lorsque quelqu'un est en difficulté. James n'a pas confiance en moi pour les sauver. »
« James? » Demanda Severus rapidement.
« Non », répondit Tom, un sourire en coin. « Nous parlons de moi. Je ne peux jamais parler de moi. Vous pourrez parler avec James plus tard. Quoi qu'il en soit, Harry a une forte volonté, quand il s'agit de sauver les gens. C'est sans doute la seule chose qu'il peut faire sans se sentir insuffisant. Ou il a été, jusqu'à ce que... »
Soudain, la voix et la posture changea pour celui du petit garçon, Foster.
« Non, non, non, pas dire, pas rapporter, Harry ne voudrait pas que nous parlons de lui. »
Ensuite, Tom fut de retour.
« Oui, oui. Bien. Il suffit de le dire. Harry ne sera pas tout le temps un héros. Vous aurez faire confiance à Potter pour cela, je suppose. Ou à moi. N'est-ce pas un coup de pied dans le derrière pour le vieux Voldie? Être battu par Tom. Après tout, je suis presque exactement comme le jeune Tom Jedusor, qui s'est débarrassé de Voldemort. Assez ironique, vous ne pensez pas? Vous appréciez l'ironie, n'est-ce pas, monsieur le professeur? »
Severus inclina la tête en accord.
« L'ironie est un art, en général seulement apprécié par les Serpentard et Serdaigle. »
« Heureusement que je suis Serpentard, n'est-ce pas? » Tom sourit à nouveau. « Oh, je sais que Harry et les autres sont Gryffondor, mais j'aurais été beaucoup plus heureux dans votre maison. Harry aurait été probablement aussi, d'ailleurs. Pourrait avoir obtenu une chance de prendre en charge les Dursley déjà. Mais ne vous inquiétez pas, James a promis de me donner la permission une fois que nous auront l'âge. »
« Vous semblez plutôt bavard, par rapport aux autres », nota Severus. « Pourquoi ça? »
« Parce que je suis plus intelligent qu'eux, » dit Tom simplement. « James est proche, mais il est trop têtu. Il pense toujours que vous essayez d'agir contre lui et d'être mauvais pour Harry. Cependant, je peux voir dans votre âme. Je sais que vous n'allez pas nous faire quelque chose de mal. D'ailleurs, mieux vaut parler d'aujourd'hui et de demain que du passé. »
« Pourquoi, qu'est-il arrivé dans votre passé? Qui êtes-vous pour Harry » Demanda Severus.
Tom eut un regard distant et il dit, avec une sorte de voix tendue.
« Je suis celui qu'il hait. »
Puis, soudain, il était parti, et Foster était de retour.
« Vous n'allez pas le dire, n'est-ce pas Mr Snape? » Demanda-t-il avec crainte. « Tom n'était pas censé le dire. Il rapporte tout sur nous. James peut-être fou. Je dois y aller, vous ne le direz pas, non? »
« Je ne le dirai pas, Foster, » promit Severus. « Puis-je demander qui arrive maintenant? »
« Harry va revenir », dit Foster, un grand sourire. « Nous avons faim, il est temps pour le dîner. »
Le garçon cligna des yeux, bâilla, et se repositionna dans sa posture familière à demi-rabattue.
« Je suis désolé, monsieur le professeur, je dois m'être endormi. Puis-je y aller maintenant? »
« Oui, Harry, » dit Severus, sachant qu'il était étrange d'appeler la garçon par son prénom, mais dire "Potter" pourrait appeler quelqu'un d'autre. « Allez-y et rendez-vous au dîner.»
Harry partit, le regardant curieusement, mais Severus sortit son carnet et ajouta en plus à la liste:
Harry: accueillant, poli
Potter: le héros d'aujourd'hui? Pourquoi Harry a-t-il perdu ce statut?
Boy: masse frémissante de désespoir, âge inconnu
Tom:. Serpentard, Fourchelangue, sombre, «celui qui est détesté »,grossier.
James: qui estJ ames? la discipline? Un frère aîné? Une figure paternel?
Une référence sinistre à "prendre soin des Dursley". Une vengeance de prévue? Pourquoi?
Encore une référence à «lui ». Qui est-ce? Je semble agir comme lui.
Il restait encore trop de questions.
Il voulait rencontrer ce mystérieux James. Tom était plus que troublant. Il avait entendu par Dumbledore que Harry avait tenté de jeter le doloris sur Bellatrix Lestrange au ministère l'an dernier.
Peut-être que c'était Tom qui l'avait fait?
Je reprend la note de l'auteur. Elle sait que le traitement normalement pour des cas de personnalités multiples est très long en réalité dans la vrai vie. Mais elle rappelle que c'est un cas de MPD magique et que personne ne connais comment c'est.
Voilà j'espère que cela vous à plus. Dîte moi ce que vous en avez pensé. Je metterai la suite dans deux semaines environ.
