Auteur : Syeda
Base : FF8
Genre : Euuuuh...Vous déciderez !!!!
Descendance maléfique : chapitre 1
1) Rencontre :
Cela faisait déjà trois heure qu'il avait fuit, ne sachant où aller, de peur de mettre en danger les citoyens d' Esthar. Quoique il fût peut - être trop tard ! Quel piètre président il faisait ! Il n'avait pas vu venir une menace pourtant prévisible. Comment avait - il pu imaginer que Deling puisse le laisser tranquille alors que, à cause de lui, entre autre, il ne dominait pas encore le monde ! Et pourquoi était - il encore vivant ? Laguna se rappelait vaguement avoir hurlé de frustration quand il avait lu dans le Deling News, que le président Winzer Deling n'était, en réalité, que blessé et qu'il était redevenu apte à reprendre ses fonctions.. Cela faisait maintenant deux mois, il aurait eu le temps de se préparer contre lui.. Les larmes aux yeux, il continua de courir. Qu'était devenu ses deux fidèles amis qui l'avaient forcé à se sauver pour qu'il ne se fasse pas prendre. Il répugnait à les laisser au palais mais ils y étaient plus en sécurité que lui. Brusquement, un bruit de pas se fit retentir derrière lui et il regarda en arrière. Un détachement de l'armée galbadienne était à ses trousses. Il regarda de nouveau devant lui et lâcha un soupir de désespoir. Désormais, c'était ou les soldats ou la falaise. Il pensa à Kyros et à Ward et pris sa décision. Il sauta..
Il ouvrit lentement les yeux, son crâne jouant un peu trop fort un concerto de tambour, et se mit tant bien que mal sur son séant. Il regarda autour de lui et découvrit qu'il était allongé sur un lit de feuilles. Autour de lui, il n'y avait que des arbres à perte de vue. Le premier nom qui lui vint à l'esprit fut celui de la forêt Grandidi qui longeait le continent Estharien. Mais comment était - il arrivé là ? Il chercha du regard son sauveur inconnu mais ne vit personne. Son mal de crâne devenant assourdissant, il se recoucha et s'endormit presque aussitôt ne remarquant pas les deux paires d'yeux, l'une d'émeraude, l'autre de saphir, qui le regardait a travers les feuillages.
D'après lui, cela faisait déjà deux jours qu'il était là sans compter le temps qu'il était resté inconscient. A chacun de ses réveils, il avait trouvé un panier remplit e fruit et il avait pu manger à sa faim. Mais jamais il n'avait vu quelqu'un. Heureusement qu'il avait sa montre, cela lui donnant quand même une notion de temps. Aucun sentier, aucun passage, aucune rivière et pourtant ce bruit d'eau qui coule qu'il entend depuis déjà une heure sans rien trouver. Soudain, une forme se jeta devant lui en grognant pour lui barrer le chemin.
-C'était trop beau de ne pas voir un seul monstre ! Maugréa t'il
Or le monstre en question était un jeune louveteau aux yeux d'un très bel
émeraude. Il allait reculer quand il entendit une voix résonner :
-Hélios, ça suffit !
Laguna vit alors quelqu'un s'approcher et qu'il reconnu au premier coup
d'?il.
-Seifer.
-Oui, qui êtes vous ? S'enquit le jeune homme prudemment.
-Je suis Laguna, le président d'Esthar..
-Je vois, vous êtes souvent poursuivit comme ça ?
Le président resta un moment sans comprendre avant de réaliser qu'il
parlait de sa fuite.. Et en parlant de çà :
-C'est vous qui m'avez sauvé ?
Seifer esquissa un rictus moqueur et répondit d'une voix où perçait à la
fois le mépris et la résignation :
-Ca vous dégoûte, je suppose, d'avoir été sauvé par le chevalier de la
sorcière. Et bien, sachez que je..
-Tu n'as pas vraiment une haute opinion de toi, n'est-ce pas ? Mais tu
n'étais pas responsable !
-Ouais, comme tous les gens que j'ai tué, pourriez-vous vivre avec ça sur
la conscience ?
-Mais.
-Je vous demande à présent de bien vouloir faire demi-tour, ici, c'est
dangereux ! Quand je serai sûr sue vous allez mieux, je vous montrerais
la bonne route pour retourner chez vous ! En attendant, Hélios vous
raccompagnera à votre camp.
-Hélios ?
-Lui ! Répondit-il en désignant le louveteau du menton. Celui-ci s'était
assis aux pieds de Seifer.
Laguna haussa les épaules car, à vrai dire, il se sentait encore un peu
faible et il se dit qu'il pourrait en profiter pour poser certaine
question sur l'ex-chevalier. Il méritait peut-être une seconde chance !
Une question pourtant le hantait : pourquoi était- il si gros ?? C'était
sûrement pas avec un régime fruit des bois qu'il avait grossi autant.
Secouant la tête pour chasser ses idées, il accéléra le pas pour rester
dans les traces du loup, se promettant d'y repenser plus tard !
* * *
Seifer regarda partir le président et se passa la main sur le ventre en soupirant : il aurait préféré que Laguna ne le voit pas et encore moins qu'il le reconnaisse ! Il avait une promesse à honorer et il était décidé à le faire ! Il pria pour que le président ne lui pose pas de problème et se détourna vers le c?ur de la forêt, cet endroit même qu'il avait interdit au président. Il fut rejoint un peu plus tard par Hélios qui lui léchouilla la main. Seifer s'agenouilla et le regarda droit dans les yeux :
-Non, tu ne m'accompagnes pas ! Retourne près de Laguna et veille sur
lui, tu comprends, j'en ai besoin ! Je te fais confiance !
Le loup le regarda longuement, jappa deux fois et sauta sur Seifer pour lui lécher le visage avant de courir rejoindre le président.
A suivre :
VOILA, j'espère que ça vous à plus ! Dites moi si vous avez aimé ! Syeda
Descendance maléfique : chapitre 1
1) Rencontre :
Cela faisait déjà trois heure qu'il avait fuit, ne sachant où aller, de peur de mettre en danger les citoyens d' Esthar. Quoique il fût peut - être trop tard ! Quel piètre président il faisait ! Il n'avait pas vu venir une menace pourtant prévisible. Comment avait - il pu imaginer que Deling puisse le laisser tranquille alors que, à cause de lui, entre autre, il ne dominait pas encore le monde ! Et pourquoi était - il encore vivant ? Laguna se rappelait vaguement avoir hurlé de frustration quand il avait lu dans le Deling News, que le président Winzer Deling n'était, en réalité, que blessé et qu'il était redevenu apte à reprendre ses fonctions.. Cela faisait maintenant deux mois, il aurait eu le temps de se préparer contre lui.. Les larmes aux yeux, il continua de courir. Qu'était devenu ses deux fidèles amis qui l'avaient forcé à se sauver pour qu'il ne se fasse pas prendre. Il répugnait à les laisser au palais mais ils y étaient plus en sécurité que lui. Brusquement, un bruit de pas se fit retentir derrière lui et il regarda en arrière. Un détachement de l'armée galbadienne était à ses trousses. Il regarda de nouveau devant lui et lâcha un soupir de désespoir. Désormais, c'était ou les soldats ou la falaise. Il pensa à Kyros et à Ward et pris sa décision. Il sauta..
Il ouvrit lentement les yeux, son crâne jouant un peu trop fort un concerto de tambour, et se mit tant bien que mal sur son séant. Il regarda autour de lui et découvrit qu'il était allongé sur un lit de feuilles. Autour de lui, il n'y avait que des arbres à perte de vue. Le premier nom qui lui vint à l'esprit fut celui de la forêt Grandidi qui longeait le continent Estharien. Mais comment était - il arrivé là ? Il chercha du regard son sauveur inconnu mais ne vit personne. Son mal de crâne devenant assourdissant, il se recoucha et s'endormit presque aussitôt ne remarquant pas les deux paires d'yeux, l'une d'émeraude, l'autre de saphir, qui le regardait a travers les feuillages.
D'après lui, cela faisait déjà deux jours qu'il était là sans compter le temps qu'il était resté inconscient. A chacun de ses réveils, il avait trouvé un panier remplit e fruit et il avait pu manger à sa faim. Mais jamais il n'avait vu quelqu'un. Heureusement qu'il avait sa montre, cela lui donnant quand même une notion de temps. Aucun sentier, aucun passage, aucune rivière et pourtant ce bruit d'eau qui coule qu'il entend depuis déjà une heure sans rien trouver. Soudain, une forme se jeta devant lui en grognant pour lui barrer le chemin.
-C'était trop beau de ne pas voir un seul monstre ! Maugréa t'il
Or le monstre en question était un jeune louveteau aux yeux d'un très bel
émeraude. Il allait reculer quand il entendit une voix résonner :
-Hélios, ça suffit !
Laguna vit alors quelqu'un s'approcher et qu'il reconnu au premier coup
d'?il.
-Seifer.
-Oui, qui êtes vous ? S'enquit le jeune homme prudemment.
-Je suis Laguna, le président d'Esthar..
-Je vois, vous êtes souvent poursuivit comme ça ?
Le président resta un moment sans comprendre avant de réaliser qu'il
parlait de sa fuite.. Et en parlant de çà :
-C'est vous qui m'avez sauvé ?
Seifer esquissa un rictus moqueur et répondit d'une voix où perçait à la
fois le mépris et la résignation :
-Ca vous dégoûte, je suppose, d'avoir été sauvé par le chevalier de la
sorcière. Et bien, sachez que je..
-Tu n'as pas vraiment une haute opinion de toi, n'est-ce pas ? Mais tu
n'étais pas responsable !
-Ouais, comme tous les gens que j'ai tué, pourriez-vous vivre avec ça sur
la conscience ?
-Mais.
-Je vous demande à présent de bien vouloir faire demi-tour, ici, c'est
dangereux ! Quand je serai sûr sue vous allez mieux, je vous montrerais
la bonne route pour retourner chez vous ! En attendant, Hélios vous
raccompagnera à votre camp.
-Hélios ?
-Lui ! Répondit-il en désignant le louveteau du menton. Celui-ci s'était
assis aux pieds de Seifer.
Laguna haussa les épaules car, à vrai dire, il se sentait encore un peu
faible et il se dit qu'il pourrait en profiter pour poser certaine
question sur l'ex-chevalier. Il méritait peut-être une seconde chance !
Une question pourtant le hantait : pourquoi était- il si gros ?? C'était
sûrement pas avec un régime fruit des bois qu'il avait grossi autant.
Secouant la tête pour chasser ses idées, il accéléra le pas pour rester
dans les traces du loup, se promettant d'y repenser plus tard !
* * *
Seifer regarda partir le président et se passa la main sur le ventre en soupirant : il aurait préféré que Laguna ne le voit pas et encore moins qu'il le reconnaisse ! Il avait une promesse à honorer et il était décidé à le faire ! Il pria pour que le président ne lui pose pas de problème et se détourna vers le c?ur de la forêt, cet endroit même qu'il avait interdit au président. Il fut rejoint un peu plus tard par Hélios qui lui léchouilla la main. Seifer s'agenouilla et le regarda droit dans les yeux :
-Non, tu ne m'accompagnes pas ! Retourne près de Laguna et veille sur
lui, tu comprends, j'en ai besoin ! Je te fais confiance !
Le loup le regarda longuement, jappa deux fois et sauta sur Seifer pour lui lécher le visage avant de courir rejoindre le président.
A suivre :
VOILA, j'espère que ça vous à plus ! Dites moi si vous avez aimé ! Syeda