Je vous conseille de lire cette fic avec un bon bol de chocapic ou du nutella.
Rien ne m'appartient à part l'histoire.
Bonne Lecture.
Le crayon glisse sur la feuille. Comme un murmure, comme une caresse. Elle n'appuie pas, elle sait que ce crayon fera ce qu'elle voudra. Elle aime dans un certain sens cette impression de puissance, savoir que ce qu'elle voudra sera retransmit .
Le modèle bouge. C'est une femme cette semaine. Elle suit ses mouvements, observe d'un œil technique et regarde sa feuille.
« C'est bon j'ai encore de la place a gauche.. »
L'œil expert à décidé. Le crayon se met en marche. Le bras bouge. Le dessin se forme, les traits apparaissent.
Le conseil lui avait dit de se calmer. Elle avait fini une mission sanglante et faisait des cauchemars depuis chaque nuit. Chaque nuit, le visage de cette combattante revenait la hanter et lui faire ravaler sa fierté.
Elle avait déjà tué auparavant. Là n'était pas le problème.
Mais voir sa proie, devant elle, la regardait les yeux dans les yeux, et la voir vous maudire de toute ses forces est différent de la voir agonisait à quelques mètres de vous.
C'était une jeune fille, peut être à peine plus jeune qu'elle. Elle aurait put être belle et adulée mais elle avait choisit de devenir shinobi. Elle avait choisit cette vie faite de mission et d'entrainement tout comme Temari l'avait fait quelques années auparavant.
Elle avait acceptée le fait de mourir lors d'une mission.
Elles l'avaient acceptées toute les deux.
Le conseil lui avait dit de prendre du repos. De se détacher de son univers pendant un bout de temps. Une pause dans une vie, un souffle dans une course .
Un souffle de moins sur terre, celui de sa victime.
C'était dans un souffle qu'elle avait murmuré une phrase, quelques mots qui avaient suffit à bouleverser Temari.
Le conseil lui avait proposer de prendre des cours à l'académie d'art de Konoha.
Académie souvent discrète et même complétement transparente par rapport à celle de formation pour les shinobi.
Dans son état normal elle aurait refusé. Question de fierté. Une battante n'a rien à faire avec des gens qui dessinent toute la journée et dorment le reste du temps.
Mais une arrière pensée dans son esprit lui murmurait qu'elle était finie en temps que Shinobi. Elle ne valait plus grand, cassée comme elle était. Aucune volontée de combattre, aucune volonté de dépasser ces limites.
Temari était comme une de ses vieilles poussettes de bébé qu'on trouve dans les lacs.
Abandonnée, Seule.
Et on n'aurait pas pu forcément expliquer pourquoi elle en était arrivé là.
Elle avait vu son reflet dans la glace en sortant de sa réunion avec le conseil.
Elle avait vu ces cernes, son air dépitée.
Et elle avait accepté de faire une pause.
La jeune Subaku avait pris une chambre d'hôtel à Konoha, regrettant le manque d'intérêt de Suna pour les arts.
Arrivée à l'académie de dessin, elle s'y était sentie un peu perdue. Les étudiants n'avaient pas la même tête que prévu. Ils semblaient reposés, sereins, bien que fatigués dans certains cas et vraiment passionnées.
Elle ne mit pas longtemps a trouver sa salle, cette académie étant bien plus petite que celle des armes et autres barbaries.
La jeune blonde s'installa aux derniers rangs comme tout mauvais élève qui se respectent, et a cause aussi d'un peu de honte de se retrouver là alors qu'elle avait accomplit tant de grandes choses pour Suna et Konoha.
Elle ne s'intéressa pas au premier cours sur l'histoire de l'art. Fatiguée, elle tenta de ne pas s'endormir sur sa table, personne ne l'aurait réveillée. Mais plus elle fermait les yeux, plus les souvenirs revenaient.
Le deuxième cours la changea complétement. Dès le départ, elle se sentie intriguée par ce cours; dès qu'elle arriva dans la salle elle remarqua que toute les chaises étaient tournées vers un seul point central: une table couverte d'un drap blanc. Elle n'osa pas demander pourquoi ce drap était là mais s'installa tout devant sans détacher ses yeux de la scène.
« Un podium » pensa t-elle... Qu'allait-elle devoir dessiner ?
Le deuxième élément perturbateur, et néanmoins intéressant, fut l'arrivée du professeur qui fit une entrée très remarquée en déclarant que dans cette salle il faisait une chaleur de « lesbienne ». Temari sourit très légèrement et décida que cette femme et sa manière d'être lui plaisait bien.
Soudain, un jeune homme entra et posa ses affaires à côté d'elle. Il avait les cheveux bruns. Attachés et les yeux marrons. Elle leva les yeux vers lui, croisant son regard mais n'éprouva rien. Ce n'était qu'un individu, sûrement un camarade de classe.
Elle entendit la prof expliquer le matériel à prendre et se pencha vers sa pochette pour saisir des feuilles format raisin et quelques carrés d'esquisses pour commencer. Se réinstallant, elle cala la feuille format raisin sur sa pochette en carton, mit des pinces et enfin leva les yeux vers la scène.
Et ouvrit des grands yeux.
Le jeune homme de toute à l'heure était là. Assis sur cette scène avec un peignoir, la regardant tranquillement. Temari essayait toujours de décrypter l'information, son cerveau tournant à plein régime. Elle était où là? C'était quoi ce cours ?
Le sourire du garçon l'éclaira. C'est bon elle était choquée à vie.
Mlle Temari No Sabaku, 19 ans, toujours vierge bien qu'ayant eu de nombreux petits copains était assise en cours de dessin de Nu.
La professeur dicta les consignes puis mit le chrono en marche. Temari rougit et rugit intérieurement en baissant la tête. « Non non pas toi, ne pose pas, non non... »
Prière malheureusement ignorée car quand elle releva la tête le jeune homme était de dos nu, les mains contre le mur.
Déjà les bruits de craie contre le papier envahissaient la salle, mais la jeune fille du sable restait cloué sur place, incapable de bouger.
Elle allait devoir dessiner un homme ? NU ? Elle en avait jamais vu dans sa vie avant, pourquoi fallait-il qu'elle commence par un homme pour son premier dessin !
- Bah mademoiselle, vous ne travailliez pas ?, s'interrogea la prof quand elle passa à côté d'elle.
Temari la regarda dans les yeux, rouge comme une tomate et l'enseignante comprit.
- Il suffit de penser esthétique. Juste ça.
« Esthétique? » pensa la jeune fille. « Comment faire? »
Et alors que l'enseignante s'éloignait elle releva les yeux vers le modèle, qui n'avait pas changé de position.
C'est vrai qu'il avait un beau dos éclairé par un projecteur et qu'on voyait la forme de ses muscles, de ses épaules et toute sa colonne vertébrale.
C'est vrai qu'il avait des fesses musclés, bien comme il fallait. Et des jambes d'homme. Fortes.
Alors Temari plongea dans sa feuille et s'abandonna. Elle esquissa légèrement les premières parties puis se concentra sur les endroits qu'elle trouvait les plus beaux: le dos en l'occurrence ou elle travailla beaucoup les valeurs, les ombres et les effets de la lumière.
Au bout de 10 minutes, le modèle changea de position. Et la jeune fille déglutit quand il se retourna, toujours nu (bien sûr) sans petite feuille de vigne, devant elle. Il prit quelques secondes à s'asseoir tranquillement sur un tabouret placé sur la scène tout en essayant de trouver une position confortable.
« Comment faire pour ne pas regarder le bas, ne pas regarder le bas, ne pas regarder le bas..Merde j'ai regardééééé... »
Elle bougea légèrement la tête pour voir si cet endroit du corps de l'homme ressemblait bien à ce qu'on lui avait raconté.
« Ça a l'air plutôt mou non...? Par contre, c'est sur que celle-la elle doit prendre de la place je pensais que c'était tout petit ! »
Au bout de 4 dessins, Temari n'avait toujours pas dessiné le bas du modèle. Lorsque la pause arriva, elle rangea vite tout ses dessins dans le carton avant de le planquer derrière sa pochette de transport. Toute cette agitation n'échappa pas à l'ensemble de la classe qui ne fit aucun commentaire.
Temari se leva et descendit dans la cour de l'école pour aller se chercher un café. Elle ouvrit la salle ou se trouvait la machine a café et fut surprise de tomber sur son ami, le modèle de cette séance, jeune homme aux cheveux noirs et aux yeux marrons.
- Bonjour, lui dit-il souriant.
Elle rougit. « Je viens de le voir à poil et il me dit bonjour.. »
- Hello...
- Tu prends un café ?
- Eh oui, mais je vais me débrouiller.
- T'es sure ?
Pif. Ce petit bruit est le symbole du début de l'énervement. Vous savez, ce moment ou notre fierté se réveille et se dit: Attend voir..il se moque de moi ?
- Aux dernières nouvelles je suis encore en état de me prendre un café, je pense que mettre de l'argent dans une machine est encore dans mes possibilités.
Il la regarda surprise, et se dit qu'elle devait avoir un caractère de chien dans certaines situations.
- Bah écoute on sait jamais, l'état des femmes change tout le temps...; répondit-il assez amusé.
- Les femmes ne seraient pas comme ça si les hommes étaient plus respectueux.
- T'es vraiment galère comme fille.
- T'es vraiment pas aimable comme mec.
Il la regarda, toujours amusé. Elle semblait prête à exploser de colère.
« Géniale l'art, on fait des tonnes de rencontres P-a-s-s-i-o-n-n-a-n-t-e-s »
Elle se retourna, sans prendre son café et remonta (tout en snobant le modèle) dans la classe. Elle s'assit brusquement sur son tabouret, repris son carton a dessin et gribouilla dessus.
La professeur qui était en train de corriger des planches de dessin remarqua que l'atmosphère de la pièce s'était assombrie, et compris que l'émanation d'ondes négatives venaient de la jeune fille blonde du premier rang.
Elle se leva, s'assit a côté d'elle et regarda la planche que Temari gribouillait.
- Tu es la jeune guerrière non ?
Temari leva la tête, surprise.
- Vous savez qui je suis ?
- Oh ne t'inquiète pas, seuls les professeurs sont au courant.
- Je vois.
La professeur saisit sa pochette, l'ouvrit et regarda les dessins du début du cours.
- Tu te débrouilles très bien ! Malheureusement tu ne fais pas le corps en entier, c'est dommage.
- Je n'y arrive pas.
- Ne redis jamais ça, tu peux le faire, seule une chose t'en empêche, ta pudeur.
- Que ce que j'y peux...?
- Mets la de côté. Tu ne connais pas le modèle. Tu ne le reverras jamais. Tu peux le dessiner, en garder un souvenir. Alors fais le.
Sur ces dernières paroles, la professeur se leva alors que les autres élèves rentraient dans la classe annonçant ainsi la fin de la pause.
Le modèle arriva lui aussi, passa entre les étudiants observant leurs dessins, et arrivant à la hauteur de Temari, se baissa pour déposer quelque chose a côté d'elle, avant de rejoindre la scène.
« Que ce que...? »
Elle baissa les yeux et fut surprise d'y voir un gobelet plein de café. Étonnée, elle leva les yeux vers le modèle qui avait déjà repris son rôle, nu.
Elle se sentie idiote et décida de montrer sa reconnaissance envers ce modèle en le dessinant bien.
Oui.
En le retranscrivant sur une simple feuille de papier.
En le plaçant sur un support pouvant briser le temps.
Et elle baissa les yeux vers les jambes du modèle et dessina. Tout.
Elle dessina comme si elle polissait une arme. Comme au temps ou elle entretenait ses Kunais.
La fin du chrono la sortie de sa léthargie. Elle rangea ses affaires précipitamment et se leva sans accorder le moindre regard au modèle. Le jeune homme justement, remarqua son empressement et se dépêcha de se rhabiller pour pouvoir la suivre.
Elle sortie de la salle, voulu passer la porte de l'école quand une main lui attrapa le bras.
Temari se retourna vivement et écarquilla les yeux de tomber sur lui. Sa respiration se bloqua.
Celui ci était essoufflé; avait-il courut pour la rattraper ? Elle chassa rapidement cette idée et leva le menton d'un air fière.
- Oui ?
- Comment tu t'appelles ?, lui demanda t-il les yeux remplis d'espoir.
- Temari.
- Moi c'est Shikamaru. Tu reviens quand au cours ?
- Par ce que tu es là toutes les semaines ?
- Ça te dérangerait ?
- Plutôt oui, je ne vois pas pourquoi je devrais te dessiner tout le temps.
- Dessiner est un bien grand mot, t'essayes juste d'essayer de faire un truc humain sur ta feuille.
- Et toi, tu penses que se foutre à poil devant les autres c'est mieux ?
- Moi au moins je fais quelque chose d'utile vu que tu me dessines.
- Tu viens de dire que je ne te dessinais même pas !
- Par ce que tu y as cru ?
Elle serra les dents. Il l'énervait mais elle ne pouvait s'empêcher de s'amuser à le taquiner.
Il le remarqua et sourit.
- Je ne suis pas là toute les semaines mais je passe des fois a l'école pour prendre des cours moi aussi.
- Tu fais quoi dans la vie a part ça sinon?, le questionna t-elle.
- Cela t'intéresses vraiment ?
- Simple curiosité a vrai dire.
- Officieusement je prend quelques cours ici, surtout en matière de Créativité et je pose quelques fois en temps que modèle pour le cours de nu de Vilia.
- Et officiellement ? Tu es éboueur ?
- Non. Je suis Shinobi.
Elle ouvrit de grands yeux et faillit se taper un infarctus. Comment ça il était shinobi ? Elle le voyait bien, il était incapable de réussir une mission.
- On dirait pas hein ? Et toi tu fais quoi en dehors de l'école ?
- Je t'en pose des questions ?
- C'est qui qui vient de me demander si j'étais un éboueur ?
« Ton cul abrutit »
- Bon si tu veux tout savoir, je suis aussi shinobi. Ou enfin je l'étais.
- Alors tu viens de quelle village ?
- Pardon ?
- Je ne t'ai jamais vu à l'académie des Shinobis, donc tu viens d'un autre endroit, d'autre part tu es bronzée, tu es de Suna ?
- Oui.
Il esquissa un petit sourire.
- Je le savais. Sur ce, on se revoit demain !
Et avant qu'elle n'ai eu le temps de répondre il était partit.
Elle resta quelques instants sur le choc de cette échange. Mais que ce qu'elle avait ? Il y a quelques jours elle l'aurait rembarré, toujours aussi directe qu'elle était habituellement.
Directe. Face à face.
Face à face avec le visage ensanglantée de cette jeune fille qui murmurait toujours ses mêmes mots alors que la mort s'avançait sur elle, et l'emmenait douleuresement.
Ce n'était pas les mots qu'elle aurait du entendre normalement.
Pas le « Tu me le payeras » ou encore le « Je t'attend dans la mort... »
Non.
C'était bien cela qui avait traumatisé Temari.
Et c'est à cela qu'elle pensa tout le long du chemin pour rentrer à l'hôtel. Elle s'endormit comme une masse en arrivant, sans penser en aucun cas au modèle du cours de nu.
Shikamaru.
Le lendemain elle demanda son emploi du temps a l'accueil de l'académie et fut surprise, agréablement ou pas on ne le sait pas vraiment, de voir qu'elle n'avait que un cours par semaine de dessin de nu. Elle avait créativité le jour après, donc aujourd'hui. Et Shikamaru lui avait dit qu'il était souvent à ce cours là.
Elle décida néanmoins d'y aller, et de ne tout simplement pas lui parler. L'ignorer paraissait être la meilleure solution.
La salle se trouvant en dessous de celle du cours de nu, était composé de quelques tables en carré et d'un bureau. Elle s'installa assez loin de celui ci, toujours fidèle a son poste de mauvaise élève qui l'avait suivit pendant sa scolarité a Suna. Bien qu'elle soit particulièrement intelligente, elle s'ennuyait dans des cours normaux et ne pouvait s'empêcher à cette époque là, de penser à son entrainement et à ses futurs attaques.
Le professeur, homme cette fois ci, arriva en retard et distribua le premier sujet.
« Black Total ».
Comment définir le noir pour Temari ? Expression de ses sentiments...Le rouge ? Le sang séché ?
Elle resta quelques instants perplexe devant le nouveau sujet sans sentir qu'un nouveau voisin s'installait en face d'elle.
- Bonjour, entendit-elle.
Elle releva la tête et croisa le regard de Shikamaru qui venait tout juste d'arriver en classe.
Elle ne lui répondit pas, et retourna dans son sujet.
Elle ne lui devait rien, elle ne devait rien a personne.
- Je croyais que à Suna, on savait dire Bonjour. Mais bon cela ne m'étonne pas trop a vrai dire.
- Je ne te permet pas d'insulter les miens.
- Je te permet de me dire bonjour.
- Bonjour.
- Voilààà on progresse !
- Je ne suis pas un chien qu'on dresse, arrête de me parler sur ce ton.
- Tu ne devrais pas dire ces paroles à la légère, si ça se trouve je suis plus fort que toi.
Elle rigola doucement. Lui ? Le gros fainéant qui ne venait que pour deux cours et qui passait le reste du temps à s'entrainer pour être un soi disant Shinobi ? Lui plus fort qu'elle ?
- Et que ce qui te permet de croire que tu pourrais me battre ?
- Rien que mon intelligence.
- Par ce que tu penses que je ne le suis pas ?
- Je n'ai jamais dit ça, mais bon si tu le prends ainsi peut être que c'est par ce que tu te sens visée non ?
- J'ai jamais dit que je me sentais visée !
- Eh ben on progresse toujours ! Je te jure un jour on arrivera à se parler sans se gueuler dessus, miss Temari.
- Depuis quand tu mets un miss derrière mon prénom ?
- Humm depuis que je sais qu'il est facile de te mettre en colère !
- Génial !, répondit-elle en tournant la tête vers le professeur qui s'approchait de leur table.
- Alors mes loulous, que se passe t-il?
- Il se moque de moi, répondit Temari du tac au tac.
- C'est pas vrai, on discute comme de vieux amis, rétorqua Shikamaru.
- On est pas amis. (Temari)
- Je ne me moque pas de toi (Shikamaru)
Le prof eut un sourire pervers et décida de faire sa bonne action sadique du jour...
- Ben, je vois que c'est le bonheur et l'amour entre vous, donc je vous attribue une corvée, il y a des galeries d'arts à aller voir ce soir, vous irez voir 2 galeries pour me faire un rapport dessus.
Temari ouvrit grand la bouche mais avant même qu'elle ne puisse répliquer, ce cher professeur s'était déjà éclipsé (avec un petit rire sadique).
- J'y crois pas ! Quel sadique !, déclara t-elle (plus pour elle même que pour son voisin).
- Encore un grand moment de bonheur à partager ensemble mademoiselle galère !
Génial. Combien de temps allait-elle devoir encore le supporter ? Elle lui adressa un petit sourire crispé pendant qu'il souriait bêtement en se préparant déjà à répliquer à une de ses questions...
- Je viens de repasser derrière, après maintenant quelques années, pour corriger les fautes ! Si il y en reste n'hésitez pas à me le dire !
