Disclaimer: Rien ne m'appartient, Tout est à J.K. Sauf l'histoire que j'ai créer!

Rating: M et pas pour rien donc, suffit de dire que j'écris des choses quand il y a des jeunes je la classe quand même dans la bonne catégorie alors!

Auteur: Jade Malefoy

Titre: À la vie à la mort!

Résumé:Milli' Millicent de son nom, une histoire, son histoire... Unique elle est et maintenant vous la verrez sous un nouvel angle!

Couple: ? je sais pas encore je sais même pas s'il va y en avoir un!

Prévention: Bonne lecture à tous!


Chapitre 1 : Sans quoi je n'aurais pas été moi

Durant les longues nuits froide d'hiver, mes parents avaient l'habitude de «s'amuser» un peu. Durant ces nuits, où tout semblait vide de vie, pris au milieu d'une tempête de neige. Eux ils vivaient, eux ils s'amusaient. Malheureusement à leurs pires cauchemars je fût conçut. Ma mère et mon père étaient encore jeunes, trop jeunes peut-être pour avoir des enfants, mais comme la loi sorcière l'interdisait, ils n'ont pas pu me faire avorter.

Ils se sont marié, et ont fini par m'avoir, neuf mois plus tard. J'étais là, sur cette planète cruelle. Ils engagèrent une nourrisse, qu'elle s'occupe de moi, il n'avait pas envie de se salir les mains avec une sale gamine, non voulu. Pourtant, ils ne m'ont pas donné en adoption. Une sang pur, de bon rang, pourquoi la donner en adoption, peut-être ferait-elle de grande chose. C'est probablement ce qu'ils devaient se dire!

Mon nom me fut donner : Bullstrode, Millicent. Je suis Millicent Bullstrode, sorcière au sang pur. Dans une famille qui a un bon rang. Mes grands-parents venaient souvent me voir. Eux ils s'occupaient de leur unique petite fille. Probablement la seule de la lignée. Ils ne croyaient pas que leurs enfants voudraient en avoir à leur tour. Ils se trompaient, je suis la première petite fille d'une lignée de quatorze, mais la fille unique de mes parents, qui encore une fois préfère le plaisir des sorties en société que de s'occuper de moi.

Ma nourrice en faisait beaucoup pour moi mais à mon anniversaire de mes cinq ans, elle démissionna, laissant ensuite la poursuite de mon éducation dans les mains de mes parents. Jamais ils n'ont eu de soucis pour moi. Jamais ils n'ont levé le petit doigt. Étant de riche sorcier, ils m'achetaient ce que je leur demandais, pour ne pas avoir à m'entendre pleurer. Je fut donc laissé à moi-même, mon éducation, je me la parfis moi-même. Sans l'aide de personne, me fiant seulement au base que j'avais reçu par ma nourrisse.

Mes parents se séparent alors que j'ai huit ans. À cet âge je décide d'aller vivre chez ma mère. J'ai vécu un an avec ma mère, au début tout allait bien, je croyais m'adapter à sa manière de vivre. Je ne voyais pas mon père, et j'en étais heureuse. Ma mère essaya de me faire mon éducation, mais pour moi il était trop tard j'avais déjà ma manière de vivre, ma façon de penser, mes habitudes. Parfois j'allais marcher dehors, mais dès que je m'éloignais trop, ou que j'étais partie trop longtemps elle partait à ma recherche et me ramenais chez moi.

Elle essayait de m'approcher, de me serrer dans ses bras, me disant qu'elle m'aimait, mais c'était trop tard, je savais que c'étais faux, je savais qu'elle me mentait, qu'elle faisait cela pour me garder sous sa garde, car j'avais appris qu'une sorcière qui étais séparé de son mari et qui n'avait pas la garde de ses enfants, était voué à l'échec et tourné au ridicule. Je ne comprenais pas trop, mais c'était ce que j'avais lu dans la gazette.

Je ne supportais plus ses caresses je n'aimais pas me faire toucher, je tentais de fuir, mais elle me rattrapait tout le temps, s'en était devenu mon calvaire. J'avais essayé de vivre avec elle, et cela n'avait pas fonctionné, je décidais donc d'aller m'installer chez mon père.

Je passais à un monde complètement différent, un lieu ou aucune loi n'était applicable, pour une fille de neuf ans, c'était le paradis, je commençais déjà à faire des sorti nocturne, sans que cela ne dérange personne, mon père et ses serviteur ne venait jamais à ma recherche, se contentant de me saluer si je venais ou partais de chez lui. Ne se souciait pas de ce que je mangeais de ce que j'achetais, car il me laissait de l'argent de poches, et comme il était riches, il me laissait des grosses sommes d'argent.

J'avais appris à coudre, j'avais appris à me faire plaisir, j'avais appris ce que c'était la vie dans les rues de Londres. Je vivais à Londres, je commençais à côtoyer des gangs de rues. Je n'avais pas peur, et cela se sentait, il ne me faisait aucun mal. On me surnommait, la jeune fille des rues. J'appris à vivre comme eux. J'aimais ce style de vie et l'adopta rapidement.

Mais j'étais encore jeune, donc ce côté n'était pas vraiment développé. Mais j'avais acquis quelques chose d'important, j'avais appris à me débrouiller dans les rues de Londres la nuits. Je pouvais autant me débrouiller du côté moldus que du côté sorcier. Facilement je pouvais me faire passer pour une simple gamine moldue, je cachais mes atouts de sorcière et je vivais comme eux. Par contre j'aimais mieux le côté sorcier. Déjà là je savais que je ne le quitterais pas, surtout pas pour vivre comme certain sang de bourbe!

Mon père ne tolèrerait pas que je salisse le nom des Bullstrode en vivant ainsi. Mais qui était-il par contre pour guider ma vie? Après tout il n'était que mon géniteur, tout comme ma mère d'ailleurs. Ma mère elle que je n'avais plus revue depuis que je l'avais quitté, elle qui essayait tant bien que mal de prendre des nouvelles de moi, qui faisait tout son possible pour me ravoir. Moi j'ignorais tous ses hiboux, n'ayant pas envie de la revoir, je n'avais qu'une envie, faire ma vie loin d'elle. Mon père ne me posait aucune question sur ce sujet, ce que j'admirais de cet homme c'était sa discrétion légendaire.

J'atteignis enfin mes 11 ans, j'allais enfin pouvoir quitter le nid familial, je m'en allais faire mes études à Poudlard, la fameuse école de sorcellerie. Étais-je heureuse de quitter mon père pour aller dans un lieu ou j'allais être enseveli de loi, prise avec des gens que je n'aimais peut-être pas. Je ne sais pas trop, d'après moi j'étais simplement heureuse d'aller faire ma vie seule et ailleurs que dans le nid familial.

À cette école je me suis trouvé seule, sans personne sur qui prendre appui, j'avais toujours été seule, mais là tout semblait pire. J'étais dans la noble maison de Serpentard et j'en étais fière certes, mais seule, dans un monde ou tous étaient ensemble, je me disais que si j'étais seule à ce moment, je passerais ma vie seule. La première semaine j'étais seule, la deuxième semaine c'était lourd. Le directeur de ma maison avait tenu à me rencontrer il avait remarquer que je ne m'intégrais pas. Je lui ai répondu que quoi que cela fasse, personne ne pourrait me comprendre, personne ne pourrait m'approcher. J'avais tord…

Cette journée là, alors que j'étais seule dans une salle de classe vide, je fis la rencontre d'un élève de ma maison. Un prétentieux, petit fils de riche, certes, mais je n'en tint pas compte. Il était en colère, et moi je semblais triste, il était fâché de voir qu'il y avait quelqu'un dans cette pièce avec lui. Mais dès qu'il posa un regard sur moi, son visage s'était adouci. Il avait prit place devant moi, il constata :

« Ça ne va pas?»

J'avais dirigé mon regard vers lui, il avait esquissé un sourire, ce qui eu pour effet d'en faire apparaître un sur mon visage. Peu de mots avaient été échangé, de simple présentation, pratiquement inutile. Il ne savait rien de moi, j'en savais peu sur lui. Je savais juste ce qu'il y avait à savoir, et aussi ce que j'avais lu sur les Malefoy dans les journaux…

Je lui parlais peu, il ne m'en disait pas beaucoup plus non plus. Il me fit rencontrer Blaise Zabini et Pansy Pakinson. Je ne savais pas que j'étais capable de m'attacher autant à certaine personne. Car ces trois personne qui pouvait sembler aux yeux des autres, de simple prétentieux au sang pur, devinrent pour moi, des amis, mes premiers vrais amis. Eux seul étaient capables de m'approcher, eux seuls étaient capables de me toucher. Moi qui détestait et déteste encore le contact humain, seul quelques personnes sont capables de me toucher, seul quelques personnes en ont l'autorisation, seul ceux que je juge auparavant!

seule dans son monde, seule dans sa tête!

Durant ma première année d'étude à Poudlard, j'avais réussi à adopter mes amis, qui devinrent par la suite mes complices. Durant l'été quelques hiboux me parvinrent de leur part, je leur répondait mais sans plus. J'avais recommencer mes soirées nocturne, mes promenades dans les rues de nuits, à présent je ne fréquentais plus le côté moldus, n'ayant plus vraiment l'envie.

Durant cet été là, mon corps se transformait, il se transformais peu, mais commençais à changer, j'étais toujours la petite Millicent, la petite fille de nuit. Mon père ne se souciait toujours pas de moi et de ma vie, se souciant plus de sa nouvelle femme et de son boulot. Fait curieux, il eu un enfant avec cette femme, et cet enfant contrairement à moi, il s'en occupa, il le soigna et en pris soin. Tout ce qu'il n'avait pas fait avec moi. Une jalousie montante? Non je n'étais pas une fille jalouse, et jamais je ne le serais. Pourquoi se soucier de ce que nos proches pensent de nous? Sont-il si important dans nos vies? Pour moi la réponse était non!

Ma famille, seul un cousin d'un an plus jeune que moi pouvait bien compter à mes yeux mais encore là! Il ne savait rien de moi, tout comme moi je ne savais rien de lui. Mais j'avais des yeux pour observer… J'étais ce qu'il y avait de plus important dans sa vie!

Malheureusement il avait péri dans un accident, coûtant la vie à trois personnes, mort il était, mort il resterait. Je ne pouvais rien faire, aucune larme ne fut versée en public, mais je réprimais ma peine et ma rage. Je me demandais bien pourquoi la vie lui avait été enlevée à lui et non à moi! Je n'y pouvais rien…. Le sujet était clôt!

L'école reprit, j'y retournai, en retrouvant, les professeurs, les lieux et les amis de là-bas. Cette école, maintenant je l'appréciais un peu plus. J'étais une élève douée, sans trop le démontrer, je restais discrète sur mes notes et dans mes études. Mais l'année me permit de me rapprocher un peu plus de mes amis. Je venais de comprendre que dans la vie, il y avait des êtres chers qu'on ne voulait pas perdre pour rien au monde. Pourquoi Draco, Blaise et Pansy? Sincèrement je l'ignorais.

J'étais une fille solitaire dans la clique des populaire, quelque chose ne marchait pas vraiment, mais eux m'acceptaient comme j'étais, et suivaient mon rythme.

Seule je n'étais plus, Seule je ne serais plus

Mon futur ne me faisait plus peur, car je savais maintenant qui j'étais. Je ne me cherchais plus, j'avais appris à être qui je voulais et j'avais réussi mon désir le plus cher. Mes amis m'ayant aidé dans cette lourde tâche, ont avaient tous changé, pour mieux et non pour pire, nous avions tous changé, nous allions avoir 13 ans…

L'année était terminé, m'en réjouissais-je? Je ne sais plus, car j'en avais perdu de long moment sur ma vie à cette époque. J'étais dans mon adolescence. Je la vivais pleinement, en fumant allègrement, et je commençais la consommation d'alcool. Mes anciennes connaissance de rues, devirent rapidement mes « amis » en fait ils étaient plus des connaissance qui m'aidait à m'amuser et à profiter de ma jeunesse, je connaissais enfin tout ce qu'on avait à savoir, je commençais des sorti au bars, quand j'étais saoule j'étais bien. Avec ces garçons qui me procuraient des plaisirs indescriptibles, en fait je ne comprenais pas tout à fait les sensations qui prenaient possession de mon corps si fragile qui étaient encore en changement.

Certains spectateurs croyaient que je me faisais violé, mais il ne savait pas l'histoire, il ne savait pas que je me laissais faire que je désirais me sentir comme cela, me sentir prise par un homme. Car je n'avais que 13 ans et eux avaient en haut de 17 ans. Eux pouvaient me toucher, je leur permettais eux le pouvaient.

À 13 ans je concevais mon linge, j'avais mon style bien à moi, certains me qualifiaient de putain. Mais je n'en étais pas une, je n'étais pas ce qu'ils croyaient! Je n'étais pas, et je ne serais jamais une putain. Ce n'est pas parce qu'une personne prend plaisir à des choses interdite encore pour son âge qu'elle était une putain… C'était mon avis!

Prise au piège, dans un cercle vicieux qu'elle s'est construite elle-même

La troisième et quatrième année, années de changement radical. Les années qui avaient précédé n'étaient que le début de l'aventure, de la vie que nous allions menés. J'étais rendu un peu plus comme les autres, je rentrais un peu plus dans le profil de notre petite clique. Malgré la différence que j'avais encore avec eux. Une différence qui allait toujours rester, eux étaient des enfants de riches parents tout comme moi, seulement, eux ne traînaient pas dans les rues comme moi, eux ne faisaient pas partie d'une gang de rue, enfin d'après ce qu'elle connaissait d'eux. Ils savaient et connaissaient ma vie en dehors de Poudlard.

Unique aux yeux de tous, unique elle restera

Différente mais semblables, différente mais heureuse. Je les regardais évoluer avec plaisir. Ils devenaient enfin des adolescents, ils profitaient enfin de la vie, comme j'avais commencé à le faire quelques années plus tôt!

Mes sorties aux bars durant l'été continuaient et ce multipliait, à mon plus grand plaisir. J'aimais cela, et j'en demandais encore, toujours plus, toujours j'en demandais plus.

Ma cinquième année? Elle se passa à merveilles, Draco, Pansy, Blaise et moi, étions reconnu dans l'école. J'avais une sale réputation, mais mes amis se chargeait de leurs arranger le portrait si jamais ils en entendaient parler. Moi je me contentais d'ignorer les commentaires désobligeants. Je ne m'abaissais pas à leurs niveaux, je valais bien plus, je me le disais bien et me le répétais chaque fois que j'en sentais le besoin.

Tout allait bien jusqu'au jour ou tout changea à jamais….


Voilà le premier chapitre, j'espère qu'il vous a plus, pour me faire part de vos commentaires il y a une touche qui se nomme Review... je vous promets de vous répondre, la suite... elle est déjà en court ne vous inquiétez pas!

Jade Malefoy