Salut, c'est ma première traduction donc soyez indulgents, je vais publier cette fict une fois par semaine, je vous mets les deux premiers chapitres ensemble pour que vous ayez envie de venir lire et la première review avec une adresse e-mail aura en exclu le troisième chapitre (je viens de finir de le traduire)

Voilà, à part ça, rien est à moi, les persos sont à JK Rowling, et l'histoire est à Amshul, seule la traduction est à moi. Sur ce bonne lecture.

Chapitre 1 : Prologue

Celui qui décidera de l'issue de la guerre approche… il naîtra de ceux qui ont par trois fois défié le Seigneur des Ténèbres, il naîtra lorsque mourra le septième mois… il aura les yeux verts et possèdera le pouvoir de décider de l'issue de la guerre… il choisira entre l'Ombre et la Lumière et ses ennemis mourront…

Le Quartier Général des Stchorlei se situait au centre d'une montagne. Façonné comme une fourmilière, il était constitué de longs corridors sinueux, encadrés de salles de cours habituellement fermées et de chambres individuelles.

Seule l'élite pouvait espérer rejoindre Stchorlei. Il s'était passé des centaines d'années depuis qu'un étranger l'avait intégré, car c'était la coutume que les Maîtres prennent des Apprenties, et que ces Apprenties deviennent Maîtres et répétaient le cycle quand les Maîtres mouraient.

Stchorlei fut fondé avec la fortune d'un multimillionnaire qui était l'oncle d'un de ses Fondateurs, l'argent n'était donc absolument pas un problème. Quand de l'argent était gagné, la moitié allait au compte 3 à Gringotts pour empêcher une trop forte diminution des réserves d'argent. Et Stchorlei n'avait aucun problème pour en gagner. Leur savoir-faire était réputé et ils avaient beaucoup de demandes.

Stchorlei entraînait des assassins.

Habituellement, les Maîtres des Stchorlei prenaient leurs propres enfants ou adoptaient de jeunes orphelins pour en faire leurs Apprentis. Ils commençaient leur formation à l'âge de trois ou quatre ans, à quinze ans ils passaient leur diplôme pour prendre le titre officiel de Stchorlei et effectuaient des missions. Si les apprentis échouaient à leur diplôme ou rataient leur formation ce qui était rare, ils recevaient un sortilège de mémoire et étaient renvoyés dans le monde moldu.

Il y avait quatre rangs d'assassins Stchorlei : le Grand Conseil, les Maîtres, les Assassins et les Apprentis. C'était généralement les Assassins qui effectuaient les missions extérieures, et ils devenaient Maître quand ils se retiraient et formaient les plus jeunes. Le Grand Conseil était composé des Stchorlei les plus expérimentés, ils pouvaient être Assassins ou Maîtres mais ne pouvaient plus effectuer de missions ou former des Apprenties.

C'est pourquoi le Maître Reuel fut un cas particulier.

En 1985, après une visite à un ami vivant dans le Surrey, il revint au Quartier Général avec un petit garçon sal et mal habillé d'environ quatre ans.

« Explique-moi pourquoi, Reuel. » demanda Tanaga, un autre membre du Conseil. Elle avait des cheveux bruns bien coiffés et des yeux bleus sévères sur un visage pale. Elle ne paraissait pas très forte ou rapide. C'est une erreur de croire cela. Elle était capable de battre chaque Stchorlei dans un duel ou un combat, même si elle approchait les soixante-dix ans. La longévité des sorciers y était pour quelque chose. « Tu sais parfaitement que tu as trop de responsabilités pour entraîner un garçon. Et un chétif en plus. »

Reuel la regarda gêné.

« Il est frêle c'est vrai » admit-il « Mais, Tanaga, as-tu regardé ses réserves magiques ? »

Tanaga regarda par-dessus l'épaule de Reuel pour jeter un coup d'œil au garçon, endormi dans un coin. « elles sont…assez fortes » admit-elle.

Ranos, un autre membre du conseil, approuva d'un signe de tête.

« Tu le sous-estimes, Tanaga » dit-il « Il est fort, un sorcier de niveau treize, je pense ».

« Treize et demi » dit Valéria, qui aimait être précise. « Et doué en Magie de l'Esprit, si je ne me trompe pas. Tanaga, je pense que Reuel a eu raison de l'amener ici. Même si- » Valéria regarda Reuel. « Même si tu l'as kidnappé à sa famille sorcière ? »

« Pas du tout » dit Reuel. « Je passais devant une maison pendant que je me rendais chez Sam- vous savez que je cherche toujours après des bons talents, et j'ai trouvé celui-là habillé de chiffons retirant de mauvaises herbes. J'ai alors posé quelques questions, et j'ai découvert que c'était un orphelin placé chez des personnes qui le détestent, pauvre gosse. J'ai questionné sa propre tante et elle m'a dit que c'était un mauvais gamin. Pour autant que je sache, c'est un bon garçon un peu timide. »

« Maltraité, tu penses ? » demanda Ranos.

« Pas vraiment. » dit Reuel. « Mais je suis sûr qu'il n'aurait pas grandi heureux avec eux. Leur influence bloquait réellement sa magie. Vous avez pu le voir. C'est comme un espace vide dans son centre magique- je l'ai enlevé bien sur mais j'en sais assez pour savoir que c'est à cause d'eux et de ce qu'ils lui ont fat. »

« Donc tu as pensé bien faire en le ramenant ici. » affirma Valéria. « Vas-le le confier à Kalsib ou Galahad pour l'entraîner ? »

« Je le formerai moi-même. » décida Reuel. « Il a un bon potentiel mais il y a encore beaucoup de travail. »

« C'est d'accord » acquiesça John, qui n'avait rien dit jusque-là. « Bon, entraîne le bien, Reuel. Nous attendons beaucoup de lui. Oh- comment s'appelle-t-il ? »

Le visage de Reuel se contracta. « Il ne sait pas, je lui ai demandé et il m'a dit qu'ils l'appelaient toujours ''gamin''. Mais j'ai fini par trouver dans les mémoires de sa petite enfance, mais ça a été difficile- son esprit est complexe et j'en suis sorti avec difficulté. Il s'appelle Harry. »

« Pas de nom de famille ? » demanda Tanaga.

« Non. » répondit Reuel. « Juste Harry. »

« Nous n'utilisons pas de noms de famille de toute façon » fit Tanaga crispée. « C'est mieux comme ça. »

Reuel hocha de la tête et se leva. Il s'approcha du garçon, le pris dans ses bras plaça sa tête contre son épaule et s'en alla vers ses quartiers.

Arabelle Figg ne passait pas une bonne journée. Elle avait glissé sur Mr. Tibbles ce matin et s'était cognée assez fort à l'angle du comptoir pendant qu'elle faisait ses courses. Elle avait aussi une grosse contusion à son genou car elle s'était coincée la jambe en refermant la porte, elle boitait donc sur le chemin de sa maison à côté de celle des Dursley. Le balancement des sacs appuyait sur ses contusions et tout ce qu'elle demandait c'était d'arriver chez elle, nourrir ses chats et se préparer une bonne tasse de thé.

Mais elle était chargée d'une mission, elle boitilla donc jusqu'au quatre Private Drive, et aborda Pétunia Dursley qui arrosait ses fleurs, avec un sourire aussi grand qu'artificiel.

« Bonjour, Pétunia » dit-elle

Mme Dursley la regarda et sourit légèrement.

« Mme Figg. » répondit-elle

« Comment va Dudley ? »

« Très bien. » dit Mme Dursley. « Il est le plus bel enfant qui soit. »

« Assurément » répondit Arabella. « Et comment va l'autre garçon ? Il n'est pas dehors? »

Les yeux de Pétunia Dursley se durcirent.

« Il est parti. » dit-elle. « Bon débarras, je dirai! Vous savez tous les ennuis qu'il cause, à se mettre en travers du chemin n'importe quand et regardant partout avec ses grands yeux. Quel ingrat- toujours en train de se plaindre à propos de la nourriture et des vêtements que nous lui donnons et frappant Dudley. »

Mais Arabella avait cessé d'écouter.

« Comment ça parti ? » demanda-t-elle médusée.

« Oui » dit Mme Dursley. « Quel petit ingrat… »

« Quand ? »

« Il y a quelques jours » répondit vaguement Mme Dursley. « Il est parti et a ruiné le dîner. Il sera probablement ramené par la Police et quand ils le ramèneront, il aura des problèmes, c'est certain. »

« J'en suis certaine. » dit Arabella. « Bonne journée Mme Dursley. »

Elle se dépêcha alors de rentrer, ses contusions et la nourriture pour ses chats oubliées. Elle devait contacter Dumbledore.

« Je suis sure que c'est une fausse alarme » dit Dumbledore mais il mit des vêtements moldus et rendit visite aux Dursley.

Ce qu'il vit le choqua profondément.

En regardant les mémoires de Pétunia et Vernon Dursley, il ne trouva que mépris et haine envers Harry Potter, et tous les deux étaient soulagés et heureux qu'il soit parti. Il avait été prévenu par Arabella que le petit garçon ne semblait pas très heureux chez sa famille proche, mais il n'y avait pas prêté attention pensant que c'était un peu normal, comme dans toute famille Il avait pensé que les Dursley seraient contents de s'occuper du fils de la sœur de Pétunia, mais il semble qu'il ait commis une erreur.

Et quelle erreur…

Sortant de sa rêverie, il sortit un instrument et chercha les ondes magiques d'Harry Potter. Il devait le trouver, il devait trouver Harry, car la prophétie disait qu'il déciderait de l'issue de la guerre…

Il se rappela ce jour. Quand il recevait Sybille Trelawney, pour le poste de professeur de Divination, elle était soudain partie en transe et proclama la Prophétie qu'il mit ensuite dans une pensine. Elle indiquait clairement qu'un garçon aux yeux verts né fin juillet de ceux qui ont par trois fois défiés le Seigneur des Ténèbres déciderait de l'issue de la guerre. La dernière ligne tournant en boucle dans son esprit- 'et il devra choisir entre la Lumière et l'Ombre et ses ennemis mourront…'

Et ce fut Harry Potter. Voldemort, qui entendit aussi la Prophétie, était venu à Halloween pour enlever l'enfant et l'élever comme son héritier. Lily et James Potter moururent, mais Lily avait lancé un sort d'ancienne magie sur Harry et quand Voldemort s'était approché de son fils, il fut violemment repoussé par cette magie et fut banni.

Depuis ce jour, les activités de Voldemort cessèrent, mais Albus Dumbledore savait que ce n'était pas fini, ces instrument indiquaient que l'âme de Voldemort errait quelque part en Albanie, même s'il ne savait pas où.

L'instrument vira au rouge. Négatif. Il n'avait pas pu trouver Harry Potter.

L'instrument aurait pu le trouver n'importe où sur terre à moins qu'il n'ait été caché par de puissantes défenses magiques. Ce qui était impossible. Voldemort n'avait pas pu trouver l'enfant. Dumbledore savait cela car il avait mis des protections spéciales sur le garçon pour s'assurer qu'il ne tomberait pas entre les mains du Lord Noir.

Mais où donc était-il ?

Par la suite, ni Dumbledore, ni l'Ordre ni le Ministère ne furent capable de trouver Harry Potter. Dumbledore savait qu'Harry était vivant, mais ne savait pas où il était. Et s'il était tombé sur quelqu'un ayant une mauvaise influence sur lui ?

Mais peut-être était-il mieux loin des Dursley. Peut-être était-ce une bonne chose finalement. Tant de pourquoi, de peut-être, de si. Il pouvait seulement espérer que quand Harry reviendrait, il rejoindrait le côté de la Lumière.

Ou le monde était condamné.