Ecrire, ça fait du bien…voilà ma première fic longue exposé aux yeux de tous. Bien sur, il a fallu un coup de tête pour qu'elle passe de mon cahier à vos yeux mais bon.

Merci à my' qui m'a été d'une aide précieuse, et surtout ma première lectrice. Sans oublie ma fantastique petit' sœur mou loulou d'amour qui me corrige et m'inspire fortement.

Il est évident que j'ai emprunté le monde de JKR.

Prologue

Une personne pénétra dans la pièce, le visage las. Le soleil était au plus haut dans le ciel en cette belle journée d'été. Elle observa les alentours avant de s'affaler, le dos adossé à une grosse malle en cuir. Celle-ci était recouverte de divers morceaux de tissus… Un vieux cahier aux pages jaunies était posé proprement sur une commode lui faisant face. Sa curiosité éveillée, elle s'approcha de la commode et précieusement ouvrit le cahier… Alors enfin Ali naquit et une histoire commença après de longues années d'attente.

« Sans doute, Personne ne lira jamais ces mots. Ce cahier finira comme tant d'autre au fond d'une malle recouvert d'un tas de poussières. Alors quel est l'intérêt d'écrire en ce moment. J'avoue m'être posée la question et j'avoue aussi ne pas avoir trouvé la réponse. Je n'ai ni de lourd secret à transmettre, ni une vie palpitante, je suis même loin de tout cela. Après tout, est ce que j'écris vraiment dans le but qu'on me lise un jour ? Non, à question stupide, réponse stupide. Disons plutôt que j'ai été hypnotisée par un stylo, je le jure, enfin pour résumer, je passe le temps en écrivant dans un vieux cahier violet avec un stylo bleu qui a été plus que mâchouillé…

Si quelqu'un lis ces lignes, il va penser que je suis totalement cinglée. Je crois d'ailleurs qu'il n'aurait pas totalement tord donc cher inconnu(e) des temps futur, je vous salue. Vous venez de commencer à lire les élucubrations de Jessica Andrew et malheureusement pour vous, j'y prends goût. Après ces présentations croustillantes de détails, je peux commencer à débiter toutes les conneries sans importance qui me passent par la tête.

Par exemple, pourquoi a-t-on décrété que le rose est la couleur féminine par excellence. Je n'ai rien de particulier contre cette couleur et il est vrai qu'elle assez féminine mais le rose ben…. c'est rose, prenez un beau jaune pâle vous trouver ça très viril comme couleur. Allez comprendre, c'est comme, l'humanité passe son temps à s'extasier sur les étoiles. Oh y a une étoile. Si à la rigueur, elle changeait de place, mais non elle reste toujours à la même place comme des strass collés sur un fond bleu. D'accord, c'est beau, ça brille mais franchement pas besoin de lever le nez pour trouver des trucs qui brillent… Bref, je vous épargne toutes les autres réflexions qui traversent mon esprit tordu à cet instant précis. Premièrement parce que on risque d'en avoir pour un moment et puis, il faut bien que je garde de quoi écrire pour plus tard.

Très cher lecteur (ou lectrice) fantôme, on va par conséquent quitter mes débilités de questions existentielles pour ma débile de vie. Je sais, dit de cette façon, ça ressemble à un de ses stupides journaux intimes où les filles en mal d'amours racontent leur pathétique existence. Mais bien sur, c'est totalement différent puis qu'on parle de moi. En faite, ma vie est si monotone qu'elle tiendrait dans un mouchoir de poche. Tout dépend évidemment de votre définition de monotone. Pour résumer, j'ai une vie de famille pratiquement inexistante et un nombre d'amis, au sens véridique du terme, assez limité. Je pose le décor, un père accro au boulot, une mère absente, bien sur ni frère ni sœur et un chat plus que dépressif. Je vous laisse imaginé le me demande parfois si je suis pas dans une série télévisée. Mais rassurez vous, je sais que mes parents m'aiment énormément.

Charmant, après cette note sentimentale, passons au vif du sujet, la chose qui prend une place prépondérante dans ma courte vie, j'ai nommé Poudlard et tout les bonus qui vont avec, à savoir, mes deux meilleurs amis, les cours, le vacarme des interclasses et le plus important, la délicieuse que dit je l'extraordinaire nourriture qu'on a l'audace de vous servir. C'est quelque chose d'essentielle quand on est habitué à se réchauffer des infâmes soupes aux choux. En plus, ils font le meilleur gratin de potiron que mes papilles ont eus le plaisir de goûter ; toujours servi légèrement tiède, le fromage encore coulant et le tout fondant dans la bouche...Un seul mot : succulent, mais je m'égare.

Si j'ai commencé à vous parler de Poudlard, c'est que j'y commence demain ma sixième année. Six ans, que je passe neuf mois sur douze dans un vieux château rempli d'armures rouillées. En faite, Poudlard, c'est un peu un monde à lui tout seul. Il y a toujours quelque chose à découvrir. C'est bruyant le jour et silencieux la nuit. Poudlard, c'est pratiquement la seconde maison de tous les sorciers britanniques, écossais et irlandais... Oh Poudlard que je t'aime.

Retour à la réalité, je viens par miracle de dépasser les dix lignes qui devait résumer ma morne ne pourrez donc pas transporter ma vie dans votre poche pour de petites lectures inopinées. En même temps qui serait assez suicidaire pour ça. Mon Dieu, je viens d'inventer un nouveau truc : le meurtre par lecture instantané. Je m'aperçois que j'ai tendance à m'éloigner du sujet de départ. Pourtant est ce réellement important ? Pas vraiment mon cher lecteur imaginaire… Je vais te confier un secret, je commence en ce jour, cette correspondance entre toi et moi qui sera pour cette nouvelle année scolaire le plus fidèle reflet que je puisse donner de ma vie et je te laisserai décidé qui je suis vraiment…… »

La trappe du grenier s'ouvrit soudainement laissant passer un visage et de fins cheveux bruns.

« -Ah, tu est là, viens ton père t'attend…

-j'arrive. »

Les deux personnages sortir de la pièce tout était exactement à la même place sauf le cahier qui avait trouvé sont lecteur tant attendu.

J'espère que vous avez aimé et que ça vous a donné envie de lire la suite que seul mon esprit connaît pour le moment, avec un peu de chance, elle sera bientôt écrite.

Une ptite dédicace à ma première review, merci Phofie.