Bonjour à tous et à toutes, j'ai déjà posté puis abandonné cette fiction mais j'ai décidé de la modifier complètement pour en faire une histoire bien mieux, enfin j'espère. La version précédente ressemblait bien trop aux autres à mon goût et, pour moi, une histoire bien est une histoire originale.
Donc, ne vous attendez pas à une histoire où Drago devient gentil et que lui et Hermione se battent contre Voldemort ! J'adore les dramiones, mais il y en a trop déjà alors j'ai opté pour quelque chose d'original. Vous l'aurez compris, pas de couple Drago/Hermione, enfin peut-être, ça dépendra de vous. Je ne vous dirai pas avec qui j'ai décidé de caser notre héroïne, je compte sur vous pour me supposer l'heureux élu !
Cette histoire, je l'ai refaite aujourd'hui parce que je m'ennuyais mais je suis à fond sur mon autre « La vie continue ! », récemment renommé « L'obscure clarté qui tombe des étoiles » histoire très longue ( bien que je n'en sois qu'au 15eme chapitre ) et que j'espère de tout cœur finir. Pour tout vous dire, le prochain chapitre de cette fiction ne sera pas publié avant longtemps, je vous laisse juste un avant-goût de ce qu'elle sera. Pas de guimauve, je déteste ça, et pas des événements ( trop ) différents de la version de JKR – mis à part les pouvoirs d'Hermione, qui font partie intégrante de la fiction et qui sont même ses piliers ( à l'histoire ). Ceci est un prologue, il est au moins quatre fois plus court que les futurs chapitres, voire plus.
Prologue :
Hermione avait alors cinq ans, elle jouait dans le parc avec des inconnus complets, mais on sait que les enfants sont toujours très sociables, sous l'œil attentif de sa mère, qui discutait avec une ancienne amie à elle qu'elle avait retrouvé ce jour même. A ce qu'Hermione avait compris, les deux petites filles qui jouaient avec elle s'appelaient Nina et Nora, c'étaient des jumelles, et le garçon s'appelait Ross. Ils jouaient à chat perché et Hermione s'amusait comme une petite folle, batifolant d'arbre en arbre au désespoir de l'actuel loup, Nora. Alors qu'elle descendait de l'arbre dans lequel elle s'était élevée de cinquante centimètres, grimpant sur une racine pour que Nora ne puisse l'attraper, elle tomba par terre mais, bonne joueuse, se releva en rigolant et courut à nouveau. Cependant, Nora avait pris de l'avance et s'empressa de la rattraper. Alors, elle poussa Hermione plutôt violemment, et cette dernière tomba brusquement sur le sol boueux du parc. Vexée, Hermione se releva en pleurant, tandis que Nora repartait en courant, prenant de l'avance sur le loup qu'était Hermione. Ce n'était pas tant le fait de tomber qui bouleversait Hermione mais plutôt le fait que Nora l'ait fait tomber. Elle était vexée. Elle s'approcha de sa mère, pleurant et boitillant, et cette dernière vint vers elle pour la câliner et la réconforter. Hermione se calma rapidement mais resta encore un peu blottie dans les bras réconfortants de sa mère.
« Ne pleure pas, la vie n'est qu'une succession de contrariétés, dit celle-ci. Il faut savoir surmonter ses vexations afin de se détacher de l'avis des gens, pour mieux vivre soi-même en harmonie. Tu en auras beaucoup d'autres, des contrariétés, des épreuves. Elles sont notre vie et nous symbolisent. Maintenant, tu vas me faire le plaisir de retourner jouer avec les enfants, pardonne pour mieux t'amuser, ma chérie. »
Hermione n'avait pas tout compris à la phrase et n'avait pas non plus compris son intérêt, elle n'avait que compris « retourne jouer avec les enfants », ce à quoi elle obéit sans rechigner. Les enfants de cet âge sont ingrats et irrespectueux, mais ils pardonnent vite. Jane Granger détacha un instant son regard de son amie pour observer sa fille. Hermione riait aux éclats avec ses nouveaux amis. Voyant cela, Jane ne put que sourire, ravie du bonheur apparent dont sa fille était victime. Alors, sans aucune hésitation, elle se détourna à nouveau de sa fille pour se concentrer sur son amie. Naïma Petrovsky, secrètement sorcière de son état, s'était quelque peu entichée de cette famille si adorable et surtout si unie. Ne disant rien de sa condition à son ancienne amie, elles parlaient en parfaites moldues, et tout était très bien ainsi. Il y avait dans ce tableau, les deux femmes discutant et les quatre enfants courant dans Hyde Park, une sincérité touchante et une beauté inégalable. Cette scène attira d'ailleurs l'œil d'un photographe qui passait par là, à la recherche de clichés magnifiques à mettre dans le journal qui parlerait des parcs. Il demanda la permission et mitrailla de son appareil photo les deux adultes et les quatre enfants.
Ce fut une journée habituelle, mais pourtant unique et inégalable. Extraordinaire.
Si, tout d'abord, Hermione ne comprit pas les propos de sa mère sur le pardon et l'harmonie, en grandissant, elle comprit son sens. Cette phrase était l'une des préférées de sa mère, et elle avait tellement raison...
On dit souvent que les mères ont toujours raison. Cette fois-ci était peut-être même trop conforme à la règle...
N'hésitez pas à me dire ce que vous avez pensé de ce prologue. Certes, il n'y a rien d'important mais je trouve que c'est une introduction aux futurs problèmes d'Hermione.
J'attends vos remarques et reproches ! A toutes, bisous !
