Bonjour à tous,
Voila ma première histoire à chapitre, j'espère que vous aimerez.
Tous les personnages et lieux appartiennent à J. K. Rowling. Je touche aucun bénéfice de cette écriture.
Une séquelle à cette histoire existe : Excursion dans le passé.
J'accepte toute les critiques.
Bonne lecture.
Prologue
" Le vieux fou n'a pas beaucoup d'imagination. C'est notre septième rentrée ici et le discours n'a toujours pas changé.
- Je te signal quand même, Cornedrue, que c'est le sorcier le plus puissant d'Angleterre. En plus, contrairement aux autres professeurs, il ne nous dit jamais rien lorsque nous faisons nos blagues.
- En parlant de blague, il faudrait commencer à en préparer. C'est notre dernière année, il faut en profiter. En plus des premières années, nous avons un professeur et deux autres élèves à bizuter, se réjouit Sirius.
- Patmol, nous avons aussi nos A.S.P.I.C à la fin de l'année. Il va falloir travailler plus qu'avant.
- Mais Mumus, nous vennons seulement d'arriver il y a quelques heures et tu veux déjà que l'on travaille. En plus nous avons toujours eu les meilleures notes, je ne vois pas pourquoi ça changerai cette année. Il faut profiter de la vie, faire des blagues... te promener.
- Sirius... je peux savoir ce que nous sommes en train de faire ici, dans la lisière de la forêt interdite après le couvre feu, si nous ne nous promenons pas, se moqua Remus.
- Bah ..., nous vérifions que rien n'a changé en deux mois de vacances, répondit Sirius.
- Tu es vraiment irrécupérable, qu'est ce que nous allons pouvoir faire de toi !
- Aie, ma tête ! Tu n'as pas fini de me taper comme ça, Cornedrue, ça fait mal. J'aurais dû aller me coucher, comme Peter.
- Bah moi, je vais le rejoindre. La pleine lune était il y a seulement quatre jours, je suis encore un peu fatigué.
- Nous rentrons tous alors " affirma James.
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5 minutes plus tard
" C'est quoi ce bruit ?
- Quel bruit, Lunard ? questionna curieux James.
- Là, derrière les buissons. Je ne sais pas vraiment ce que c'est... On dirait que quelqu'un cri et pleure ... Un humain ne produirai jamais ce son... Il est tantôt fort et tantôt faible, je n'ai jamais entendu quelque chose comme ça, ... Ça ressemble presque à une mélodie funeste, " expliqua Remus.
Les baguettes droit devant, les trois maraudeurs se dirigèrent vers le buisson désigné.
Au fur et à mesure qu'ils s'approchaient, James et Sirius entendirent eux aussi le bruit. James prit son courage à deux mains et s'occupa de bouger le buisson, pendant que Sirius et Remus se tenaient prêt à toute éventualité.
Ils ne s'attendaient pas du tout au spectacle qui se produisait devant leurs yeux : une petite créature humanoïde de vingt centimètres agenouillée sur l'herbe qui s'étendait autour d'elle. Elle portait une robe rose clair parsemée de paillettes dorées lui arrivant un peu au dessus de ses genoux. Ses longs cheveux bruns s'arrêtaient vers le milieu de son dos découvert, laissant apparaître deux fines ailes d'un bleu clair les rendant presque transparentes.
Une fée était devant leurs yeux, des larmes coulant lentement de ses yeux marrons foncés sur son visage en forme de cœur. Elle n'avait pas repéré ses trois visiteurs.
" Petite question : Avez vous déjà vu une fée, seule derrière un buisson, dans cet état ? interrogea Sirius en regardant la petite fée.
- Je ne pensais pas qu'une fée pouvait être aussi triste, confia Remus aux deux autres.
- Nous avons qu'à lui demander ce qu'il se passe pour qu'elle soit dans cet état. James quémanda donc à la petite créature ce qui n'allait pas.
Une petite voix mélodieuse leur confessa : Je suis en train de mourir. Je me vide de mon énergie. Quelqu'un ne croit pas au fée.
Les trois amis s'exclamèrent en même temps : Mais les fées existent ! Tu es une fée. Nous croyons en votre existence.
Les baguettes magiques des sorciers se mirent à briller quelques secondes dans leurs mains où ils les tenaient toujours, en répandant une douce chaleur. Les ailes de la fée devinrent un peu plus foncés durant la même période.
- Que vient-il de se passer ? Questionna l'un d'eux pendant que les autres se posaient la même question.
Peu sur d'elle, la fée leur répondit : Je pense que se sont les phrases que vous venez de dire qu'ils ont fait cet effet là. C'est parce que quelqu'un ne croit pas en nous que je suis dans cet état.
- Que devons nous faire pour vous aider ? questionnèrent, curieux, les trois maraudeurs en même temps.
- Je ne sais pas du tout. Je me suis sentie revivre quelques secondes après que vous ayez parlé, mais je ne sais pas ce qu'il s'est passée. "
Remus proposa de répéter une nouvelle fois la phrase. La fée accepta. Les trois garçons pointèrent leurs baguettes vers la petite créature et récitèrent la formule. La fée perdait de plus en plus sa transparence. D'un accord tacite, les maraudeurs continuèrent de réciter la lexie une dizaine de fois jusqu'au moment où la fée entourée d'une douce lumière claire se leva et se mit à voler jusqu'à eux.
" Vous m'avez sauvé la vie. Sans vous, à l'heure qui est, je serais morte. Je vous serez éternellement reconnaissante.
- Mais de rien, nous sommes arrivés juste au bon moment. En plus, si Remus ne vous avez pas entendu, nous n'aurions pas pu vous sauver. "
La fée vola un peu jusqu'à Lunard : " je te remercies beaucoup. Je m'appelle Ariane, je suis la reine des fées de la forêt interdite. Tu es un bon loup garou. Comme vous le savez peut-être, une fée a la possibilité de réaliser les vœux des personnes qu'elle désire. Vous m'avez sauvez la vie. Aujourd'hui, je suis trop faible. Je vais devoir rejoindre ma colonie. Demain, je passerai vous voir et j'exaucerai l'un de vos désir. Je vous souhaite à tous une bonne nuit, à demain. " Elle vola jusqu'à James puis Sirius, s'inclina devant tous les trois et partit dans la profondeur de la forêt.
" Euh ... on vient bien de sauver une fée et demain elle exhaussera le vœu de ton choix, résuma Sirius ahuri.
- Je crois que c'est exactement ce qu'il vient de ce passer. Il commence à faire froid et si on rentrai. "
Tous acceptèrent et rentrèrent, plongés dans leur pensée, vers leur dortoir.
Remus voulut réfléchir à un vœu qu'il pourrait demander à la fée, mais il ne trouva rien. La seule chose qu'il voulait été guérir de sa lycanthropie, mais il doutait pouvoir demander cela. Du moment qu'il pouvait garder ses amis, il était heureux. Il ne put réfléchir plus longuement, Morphée était déjà venue le chercher.
(!)
" PATMOL, SORS TOUT DE SUITE DE MON LIT ! " Un gros chien noir venait de sauter sur un James encore endormi.
Le chien sauta du lit. Sous les yeux de toutes les personnes présentes dans la chambre, le canidé se transforma en un jeune homme aux cheveux bruns lisses : " Tu es le dernier levé, la salle de bain est libre. Les cours commencent dans 30 minutes, et j'ai faim alors dépêche toi d'aller te préparer si tu ne veux pas descendre tout seul. Nous t'attendons dans la salle commune."
Vingt minutes plus tard, James, Sirius, Remus et Peter prirent leur petit déjeuner. Une fois celui ci terminé, ils se dirigèrent vers les serres où se déroulaient leur premier cours de l'année : botanique en commun avec les serpentards.
James et Sirius semblaient assez en colère.
" On n'humilie pas un maraudeur comme ça. Personne n'a jamais osé s'en prendre à nous de cette façon. Il faut leur préparer quelques chose, s'enerva Sirius.
- Je crois qu'e nous ferions mieux d'oublier cette histoire, calma Remus. Ils m'ont l'air bien gentil tous les deux. En plus, ils nous ont proposés de ne plus rien nous faire si nous ne leurs faisons rien. La scène de ce matin risque de se reproduire si vous insistez. Et avant de se venger, nous devrions nous occuper du professeur de défense contre les forces du Mal, il me paraît bizar.
- Lunard, tu nous proposes la paix avec EUX, ça se voit que ce n'ai pas toi qui t'ai fait humilier ce matin. Et tient regardez qui voilà. "
Un homme au cheveux gras se trouvait une dizaine de mètre devant eux :
" Hé ! Servilus, tu sais que tu m'as manqué pendant les vacances.
Le jeune homme continua d'avancer sans se préoccuper des personnes qui le suivaient.
- Tu sais que ce n'est pas bien de ne pas répondre lorsque l'on te parle, Servilus.
À cause d'un sort, le garçon s'éleva à deux mètres du sol avec de petites ailes noirs, comme celle des démons.
- POTTER, REMET LE SUR LE SOL.
- Oh, Lily jolie, comment vas tu ? Tu as passé de bonne vacance ?
- Ne m'oblige pas à enlever des points à ma maison dès le premier jour, repose le par terre.
- Ce n'est que Servilus.
- Que se soit Severus ou n'importe qui, tu n'as pas à faire ça. Repose le.
- Si tu y tient tant voilà. Le sort fut enlevé. Severus fit une chute de trois mètres de haut. Ses ailes ayant disparut en moins d'une seconde.
- MAIS TU ES MALADE ! Lily se jeta sur James qui était à deux mètres d'elle. Sous le choc, James tomba en arrière, Lily au dessus de lui.
- Tu vois quand je te dis que je suis irrésistible, tu ne peux pas résister à me sauter dessus. Tu veux bien sortir avec moi ?
- Je préfère encore mieux sortir avec le calamar qu'avec toi. Tu es insupportable." Elle ponctua sa phrase par de violent coup de poings. Sirius et Remus décidèrent de venir en aide à leur ami. Ils savaient que ça ne tarderait pas à dégénérer. Peter, de peur d'être en retard, continua sa route vers les serres.
Remus bloqua les bras de Lily afin de l'empêcher de frapper. Au prix de grand efforts, il arriva à la détacher de James qui se releva.
- Tu es un arrogant. Jamais je ne sortirais avec toi, faudrait grandir un peu. Tu as quel âge ? Cinq ans. En tout cas, je plains tes parents d'avoir un fils tel que toi.
- N'insulte pas mes parents, tu ne les connais pas. Sirius eu juste le temps d'intercepter James, avant qu'il puisse foncer sur Lily qui était toujours tenue par Remus. L'insulte de trop venait d'être lancée.
- J'aimerai bien passer une année dans disons vingt et un ans, je n'ai jamais aimé les chiffres ronds, pour voir ce que ces deux là sont devenus, murmura Lunard. Ils sont incapables de se voir sans finir par se sauter à la gorge. Il faudrait faire quelque chose pour changer cela, ça devient lassant."
Pendant ce temps là, une fée ayant échappée de peu à la mort cherchait après ses sauveurs. " À les voilà là bas. Je vais pouvoir aller les voir pour enfin payer ma dette... Quoi ? Il veut partir dans le futur, je n'ai jamais fait ça moi. Bon j'ai une dette, je dois la payer. Je vais essayer quand même. Il a dit vingt et un ans. Un an est égal à 365 jours, 21 multiplié par 365, heureusement que je suis bonne en mathématique. Si je les envoie dans 7665 jours, ça devrait fonctionner. C'est parti.
- AHHHHHH, qu'est ce qui se passe ? s'exclamèrent quatre personnes en même temps.
- Voilà je pense que j'ai réussi. Par contre, je vais me reposer maintenant. Ça ne paraît pas, mais envoyer quatre personnes dans le futur ce n'ai pas simple. J'ai préféré ne pas envoyer celui qui est inconscient, il risque de ne pas supporter le voyage."
J'espère que vous avez aimez. Ceci n'est que le prologue, il sert à mettre l'histoire en route.
J'espére vous retrouver dans une semaine.
