Une invitation à dîner
Dans la ville de Konoha, Choji et Ino se croisent. Comme à son habitude, Choji se met à parler cuisine
- Tiens Ino, qu'est ce que tu vas cuisiner ce soir ? Des pommes de terres sautées ou des lasagnes ?
- Et bien…en ce moment je n'aie pas très envie de lasagnes. Alors si je devais choisir entre les deux, je ferais plutôt des pommes de terre.
- Chouette. Et tu sais ce qui irait bien avec ? Du poulet rôti. Ah que j'ai hâte d'être à ce soir
- C'est une bonne idée…EH…MAIS…QUI TA DIT QUE J'ALLAIS CUISINER POUR TOI ?
- Bah…personne. A par toi à l'instant.
- TU N'ES VRAIMENT QU'UN GOINFRE CHOJI. ET TU SAIS C'EST QUOI TON PROBLEME ? C'EST QUE TU CROIS QUE N'IMPORTE QUI VA CUISINER POUR TOI !
Aucune réaction
* Soupir d'Ino*
- Tu es vraiment désespérant Choji.
- Hum ? Qu'est ce que tu dis ?
- Tu n'as donc rien écouté de ce que je t'ai dit ?
- Non. J'ai trop faim. Alors…je viens à quelle heure ?
Ino sortie une massue dont ne sait où et en mit un coup sur la tête à Choji.
- AIE. POURQUOI TU AS FAIT CA ?!
- Car tu es énervant. Tu ne penses cas manger. Il y a d'autres choses importantes. Comme par exemple, l'amour, le shopping…
- C'est bien beau tout ça, mais ça ne me dit pas à quelle heure je viens chez toi ce soir
Nouveau coup de massue, sortie encore d'on ne sait où.
- MAIS TU VAS ARRETER AVEC TES COUPS DE MASSUE ?! D'ailleurs, tu la sors d'où ?
- C'est mon envie profonde de t'assommer un bon coup qui la fait apparaître.
- T'es sérieuse là ?
- Si tu savais
- Bon. Ca ne me dit pas ce que je vais faire ce soir. A part aller chez toi…je n'ai pas d'idée.
*Nouveau soupir d'Ino*
- Bon. Très bien. Mais c'est la seule fois, et c'est seulement pour que tu me fiche la paix.
- Merci Ino. Tu es vraiment géniale. Tu verras, je me ferais tout petit, tu ne te rendras même pas compte de ma présence. Oh je suis si heureux.
«Je sens que je me suis embarquée dans la soirée la plus longue de ma vie. Au pire, je ressortirais la massue… Oh oui, ça c'est une idée.» Ce disait Ino machiavéliquement alors que Choji continuait son monologue.
FIN
