Chapitre 1 Décembre
Madame Hudson était en train de préparer le repas du diner, tout en regardant par la fenêtre de sa cuisine, encore un mois de décembre décidément bien enneiger, elle regarda son souper en train de cuire, elle avait prévu un bon repas bien garnis pour le docteur Watson qui n'allait pas tarder à rentrer de ses consultations.
Il avait un très bon appétit qui ravissait toujours la cuisinière qu'était Madame Hudson. Tout le contraire avec son locataire Sherlock Holmes, impossible de savoir sur quel pied danser avec lui, un jour il aura faim, ou un autre il sautera complètement le repas, soit par qu'il sera appeler quelque part, soit parce qu'il aura eu une illumination, et sans parler de la quantité de tabac qu'il fume sans arrêt, lui coupant bien souvent l'appétit pour de bon, bref madame Hudson s'attendait toujours à ce que son repas refroidissent seul dans un coin abandonné de son destinataire.
Elle mis le tout au chaud dans le four en attendant l'heure du repas et monta dans les étages pour ranger un petit peu, elle passa devant la porte de son locataire, de la fumée passé sous la porte, suivi d'une odeur pestilentielle, elle ne s'inquiéter pas trop, expérience chimique comme toujours, elle ouvrirait les fenêtres discrètement quand il surgira soudain avec son manteau à la main en partant sans même dire au revoir, les convenances et lui sa faisait deux apparemment.
Elle devait quand même lui reconnaitre un avantage, il lui disait toujours l'endroit il ou allait avant de disparaitre, pas de date de retour ni d'heure mais sa lui suffisait comme ça, et puis le Dr Watson finissait toujours par lui envoyer un télégramme pour lui conter le fin mot de l'histoire, le bon docteur ayant trop peur qu'elle s'inquiète de trop.
Le Dr Watson sortie de sa clinique, il faisait déjà nuit et la neige tourbillonnait dehors, le temps était orageux, on entendait gronder au loin, il releva le col de son manteau, et se dépêcha de retrouver la rue de Baker Street avant l'orage, Madame Hudson l'avait entendus arriver et ouvrit la porte juste à temps, il s'y engouffra pendant que dehors les éclairs déchirait le ciel, il secoua son manteau plein de neige et le donna à Madame Hudson.
W : quel temps madame Hudson, j'ai bien cru que sa allait me tomber dessus !
MH : heureusement vous n'êtes pas rentré trop tard !
W : ou est Holmes ?
MH : en train de faire une expérience chimique comme d'habitude vous le connaissez ! Vous serez gentil d'ouvrir la fenêtre quand vous lui rendrez visite, l'odeur des produits chimiques me pique le nez !
W : ne vous en faite pas madame Hudson, je m'en charge !
Watson monta les marches et alla rendre visite à son ami plus casanier qu'un ours en hibernation, il ouvrit la porte et l'odeur le pris à la gorge, quel produit avait t'il pu encore tester aujourd'hui ? Un jour il le retrouverait raide mort d'une intoxication aux expériences de son labo ou d'une injection de cocaïne. Il soupira et se précipita pour ouvrir la fenêtre tandis qu'un autre éclair foudroyer le ciel.
W : Holmes ! Qu'est que vous avez encore inventé ?
H : je vérifie une théorie sur une affaire Watson
W : laquelle ?
H : et bien la singulière affaire de la persécution de monsieur John Vincent Harder
W : ha oui je me souviens ! Je vous laisse faire et je m'éloigne au fond du salon, vous me direz quand la maison sera hors de danger !
H : Watson ne soyer pas aussi stupide que madame Hudson pour croire à une éventuel explosion !
W : vous reconnaissez qu'éventuellement cela c'est déjà produit une fois !
H : je n'utilise pas de produit explosif en ce moment Watson !
Watson pris un livre sur l'étagère au fond du salon et s'assit dans le fauteuil prêt de la fenêtre
W : on n'est jamais trop prudent avec vous Holmes !
H : bien faite comme vous voulez !
Le temps s'écoula, Watson était absorber par son livre, l'orage s'était un peu calmer, Madame Hudson venait de monter le repas, et Watson s'installa pour manger, il ne demanda même pas à son ami si il venait manger, sachant pertinemment que sa question inutile resterai sans réponse, il était trop absorber par son expérience pour venir manger, quand soudain, Holmes sauta de sa chaise et pris son manteau dans une grande excitation.
W : hum laisser moi deviner vous avez trouvé le fin mot de l'histoire ?
H : exact Watson ! Je dois me rendre au Yard….
W : je dis à madame Hudson de ne pas vous attendre ?
H : c'est ça !
W : bien, vous me raconterai ?
H : bien entendus mon cher Watson !
Sur ce il quitta la pièce dévalent les marches en trombe
H: MADAME HUDSON?
MH: monsieur Holmes?
H: je dois me rendre à Scotland Yard, vous pouvez disposer de votre diner !
MH : comme d'habitude ! Et faite attention à vous l'orage n'est pas encore fini !
Il ne l'écouta pas et sortie dehors, le froid le pris de plein fouet, pas bon de rester enfermer trop longtemps, il pressa le pas et bouscula 2 ou 3 femmes qui trainer sur le trottoir devant les vitrines il s'excusa pour les premières mais bientôt se fut une ou deux de trop et il se mit a grommeler tandis qu'on le traiter de malpoli, non mais il avait du travail lui, pas le temps de pinailler pour un fer à friser ! le tonnerre se mit à gronder et il fit un spectaculaire écart en se retenant au lampadaire en acier à coter de lui, pour éviter une grosse dame poussant une chariote qui ne voulait pas laisser sa place, il jura sur son passage, elle ne se retourna même pas, il regarda ses pieds, il jura encore une fois, il avait atterri dans le caniveau qui déborder de neige fondu, il avait les pied sous l'eau, il se tint au lampadaire pour soulever son pied et regarder l'étendu des dégâts, il était tremper jusqu'au dessus des mollets, c'est madame Hudson qui allait être contente encore, mais qu'est ce qu'il détester les femmes, franchement, des vrai danger public et on leur pardonner tout !
Quand il sentis une drôle d'odeur dans l'air, pas causer par une activité humaine quelquonque mais c'était le temps, il trouvait cela bizarre, il leva la tête en l'air et la un immense éclair traversa le lampadaire le foudroyant sur place, il s'écroula par terre et sombra dans l'inconscience totale.
Il se réveilla quelque minute plus tard, son corps lui faisait un mal de chien, il se souvenait de l'éclair , de l'électricité et de la peur ressentis car il avait les pied dans l'eau et la main coller à un lampadaire en acier, il était allonger sur le pavé et la pluie continuer de tomber, il était trempé et il avait froid une jeune fille l'aida à se relever, mais il tituba et retomba par terre
J : ne vous levez pas monsieur, ne bouger pas vous venez d'être foudroyer !
H : je sais ! J'ai sentis !
Ba dit donc dans quel état tu es mon bonhomme ! Ta pas de chance !
H : n'est ce pas ?
J : pardon ?
H : et bien vous avez dit…
J : je n'ai pas parlé monsieur, ne bouger pas !
H : Watson, appelez le docteur Watson 221 Baker Street…
Mais alors c'est le célèbre Sherlock Holmes !
H : lui-même mademoiselle !
J : pardon mais de quoi parlez vous ?
H : excusez moi mais c'est vous qui n'arrêter pas de parler !
J : j'ai absolument rien dit sa doit être le contre coup de votre électrocution
La jeune fille se leva et se rendit à Baker Street la rue n'était pas très loin, elle laissa Holmes à un ami bien connu
P : monsieur Holmes ? Tout va bien ?
H : Peterson ! Vous êtes la dernière personne que je m'attendais à voir !
P : Julia nous a dit que vous venez d'être électrocuter ! On a entendus l'éclair ! Vous n'êtes pas trop bruler ? C'est un miracle que vous soyez en vie !
H : merci Peterson, mais sa fait un mal de chien, j'attends de voir ce que Watson va me dire
J'espère que monsieur Watson arrivera vite, ils sont sous la pluie, et une électrocution ce n'est jamais bon, et puis le diner va refroidir !
H : je crois que votre femme s'inquiète pour nous je l'entends d'ici, Watson va bientôt arriver !
P : hein ma femme ?
Peterson tourna la tête, sa femme regarder par la fenêtre
P : heu monsieur Holmes, ma femme est dans la maison, comment pouvez vous l'entendre ?
H : comment ça ?
P : regarder vous-même
Il l'aida à se redresser en position assise il grimaça de douleur, et aperçu madame Peterson bien à l'abri derrière sa fenêtre, il devenait fou ou quoi, il avait bien entendu une voix de femme distinctement dans sa tête, Watson fini par arriver en courant, il dérapa sur le trottoir humide et s'accroupis près de Holmes, la jeune fille à ses coter
W : Holmes ! Est ce que tout va bien ?
H : j'ai connu mieux, mais apparemment je n'ai aucune brulure…
Il tenta de se relever Peterson l'aida, il eu énormément de mal à tenir debout, il avait le tournis et sa vision lui montrait la ville en train de tanguer, Watson le rattrapa et avec Peterson le soutint chacun d'un coter pour le ramener à la maison, il se souvint avoir monté les marches et entendu madame Hudson dire
Pourquoi faut-il qu'il lui arrive les trucs les plus incroyables ! il ne peut pas avoir une vie normale comme tout le monde ?
Puis il sombra dans l'inconscience.
Il se réveilla dans son lit, Watson inquiet à ses côtés
W : Holmes ! Vous êtes réveiller dieu soit loué ! Comment vous sentez vous ?
H : Ba mieux que tout à l'heure quand même !
W : vous voulez dire hier ?
H : quoi ? j'ai été inconscient durant une journée ?
W : oui en gros, vous avez était foudroyer Holmes vous pouvez prier le bon dieu de vous en êtes sortis sans rien, cela aurai pu être plus grave, vous avez était sérieusement étourdis et vous n'avez que quelque égratignure rien de plus, sa aurait pu vous tuer
H : oui j'ai surtout eu la plus grosse frousse de ma vie et je vous raconte pas la douleur du au foudroîment !
W : je vous comprends !
Mais que fait ce fichue facteur, un télégramme ce n'est pas si long à envoyer quand même
H : ha madame Hudson rouspète contre le facteur !
W : ha bon ?
H : Ba vous ne l'entendez pas ?
W heu non Holmes vous êtes sur que ?
H : attends je n'ai pas rêvé ?
W je n'ai entendu personne je peu vous le jurer
H : madame Hudson !
MH : monsieur Holmes ?
H : vous avez envoyé un télégramme ?
MH : oui j'attends la réponse mais ce stupide facteur n'est pas encore passé !
Elle repartie dans sa cuisine en rouspétant
H : je vous l'avez dit
W : Holmes je peux vous jurer que je n'ai absolument rien entendu et que madame Hudson se trouve un bon étage plus bas, comment vous l'auriez entendus ?
H : heuuu elle a parlé fort ?
W : Holmes ! Vous avez peut être une hyper sensibilité des oreilles causer par votre foudroiement je crois que c'est pour cela
H : oui peut être hier J'ai entendus la femme de Peterson alors qu'elle était derrière sa fenêtre !
W : hum ce n'est pas normal, avez-vous entendu autre chose ?
H : hum…non
W : si vous aviez une hyper sensibilité des oreilles rien que le fait de vous parler à coter devrait vous faire souffrir vous comprenez ?
H : oui mais tout va bien pour l'instant docteur !
W : je vais vous surveiller de plus prêt !
H : laisser, ça va aller ! je vais aller faire un petit tour dehors, je vois qu'il fait beau maintenant, et me changer les idées, si j'ai le moindre soucis je vous le vous en ferai pars
W : Holmes ce n'est pas prudent, vous tenez à peine debout !
H : ne vous en faite pas pour moi !
W : mangez au moins, sinon on va vous retrouver par terre dans quelques minutes !
Holmes soupira, Madame Hudson lui apporta un solide petit déjeuner qu'il englouti d'un coup, il attrapa son manteau et arriva sur le pas de la porte quand madame Hudson entrer dans sa cuisine avec le plateau vide du repas
Hé bien pour une fois sa fait plaisir de voir qu'il a au moins mangé et tous, n'a ton pas idée de se laisser mourir de faim pour une enquête !
H : vous savez madame Hudson, mon enquête passe avant toute chose mais merci pour le petit déjeuner c'était succulent comme toujours au revoir !
Madame Hudson le regarda surpris,
MH : heu merci monsieur Holmes
Elle n'avait rien dit ! Comment avait t'il pu deviner que…ou alors elle avait pensé tout haut, madame Hudson rentra dans sa cuisine en pensant qu'elle devait se faire bien veille pour penser tout haut.
