disclaimer: attention, les persos de cette fic ne m'appartiennent pas, alors ne m' attaquez pas pitié (lol) on sai ke cé à akira toriyama, mm si personne le lit. seul la situation de listoire m'appartient et la mise en scène.
UN AMOUR INATTENDU
trunks, réveille toi tu vas être en retard !
la voix de sa mère en plus des tapes répétées sur sa tête lui fit ouvrir les yeux.
Notre réunion est dans une heure et tu n'es ni lavé ni rasé. Encore moins coiffé. Alors active toi.
Elle était dans l'encadrement de la porte, et la personne qui lui tapait la tête n'était autre que Bra, impeccable dans son tailleur bleu ciel et ses talons aiguilles. Il se redressa, sortit du lit tout nu et se dirigea vers la salle de bain.
oh, gros dégoûtant, fit sa sœur en grimaçant. J'suis en bas entrain de manger mon ptit dej, maman.
Ok, chérie. Ne te salis pas. Je descends tout à l'heure.
Elle opina et alla à la cuisine tandis que bulma mettait son collier, dernier cadeau de végéta. Elle passa les mains sur son tailleur bleu nuit et s'assit à sa coiffeuse pour se brosser les cheveux. Végéta était parti pour son entraînement quotidien avec goku depuis six heures. Elle posa une touche de fond de teint et de fard à paupières, du gloss sur les lèvres comme une jeune fille et mit son chapeau qu'elle lissa.
Trunks, après avoir pris une douche, s'être rasé et coiffé, était assis à la cuisine avec sa sœur quand leur mère ouvrit la porte de la cuisine.
On y va, mes cocos !
ils étaient ébahis de sa beauté, même à 56 ans, toujours aussi éclatante.
Maman, se plaignit Bra, pourquoi j'ai pas de chapeaux ?
Parce que tu ne veux jamais faire les courses avec moi. Alors tu n'as pas l'adresse de mon chapelier, chérie, c'est tout. On ira après la réunion le voir.
je peux en avoir un maintenant ?
Oui, vas vite voir dans mon placard, il yen a un noir qui fera ressortir la couleur de tes yeux et de ton tailleur.
Merci m'man !
bulma s'assit près de son fils et engagea la conversation. Badine, au début, puis de plus en plus sérieuse. Elle finit par arriver au cœur du problème.
chéri, j'aimerais te voir marié, tu sais. Tu as 30 ans dans deux jours. Pas de gosses, pas de petite amie qui ait fait plus d'une semaine avec toi. Ça m'inquiète.
Il parut embarrassé, puis dit d'une voix un peu chevrotante :
tout va bien, maman, je t'assures. Je ne suis pas concentré sur le fait d'avoir une femme, voilà tout. Je n'ai pas encore trouvé celle qu'il me faut.
si tu le dis. Bon, je te laisse te débrouiller, fit elle en voyant sa fille revenir. Oh ma puce, tu es splendide, on dirait mon mini-moi !
ils prirent une limousine qui les conduisit à la capsule corporation où ils montèrent dans la salle de réunion. S'y trouvaient déjà tous les collaborateurs de la société. Bulma retrouva son sérieux, s'installa à sa place et laissa ses enfants s'asseoir avant de commencer.
bonjour, mes chers amis.
Bonjour, répondirent ils tous.
voilà. Je vous ai rassemblé aujourd'hui pour faire le point. Je vais aller à la retraite -j'aurais dû le faire depuis l'an passé je vous le rappelle-continua t'elle, ignorant les murmures qui parcouraient la salle, et je veux que mes enfants prennent la relève. Cependant, je tiens toujours les rênes. Je détiens 45 des actions, mes collaborateurs -c'est à dire vous- 10 et mes enfants 45, soit 22,5 chacun. Quelque objection ? non ? bien. Ensuite, si jamais je viens à mourir, les 45 m'appartenant reviendra au premier de mes enfants -Trunks- sauf si d'ici là il n'est pas marié. Dans le cas échéant, c'est Bra qui en héritera. C'est tout pour les nouvelles. Avons nous des contrats à signer ou des choses à dire ?
Bra se fichait éperdument du pourcentage qu'elle aurait ou qu'elle avait. Tant qu'on ne venait pas l'importuner avec des soucis d'argent. Elle ne faisait que du shopping avec l'argent qu'elle avait. C'était son droit. Trunks gérait assez bien la société pour qu'elle puisse se permettre cela. Elle aidait aux laboratoires, donc elle s'était vue attribuer leur direction.
Celui ci était assis à son bureau et réfléchissait quand sa mère entra pour lui annoncer qu'elle partait en voyage avec son père et goku, chichi, C 18, krilin, gohan et videl et que donc lui et goten auraient la responsabilité des autres plus jeunes pendant deux à trois semaines.
Maman...
Trunks, on a besoin de ça pour reprendre l'air, tu comprends ? tenta t'elle d'expliquer.
oui, mais je suis super occupé et c'est là que je dois m'occuper de bra et des autres.
excuses moi, mon chéri. Je suis désolée. Vraiment. Ils viendront tous à la capsule ce soir.
c'est pas grave. J'en prendrai soin.
Il sourit et elle l'embrassa avant de quitter son bureau.
Bra, Marron et Pan, ravies que leurs parents se décident enfin à voyager, étaient assises à la terrasse d'un café, entourée de paquets gros comme des valises. Il était à peu près 17 h.
Ah, j'adore le shopping ! clama Bra en buvant son café au lait.
Et moi donc ! soupira Marron.
Je ne sais toujours pas ce que vous trouvez d'amusant à courir les boutiques comme ça.
Oh, pan, toi tu n'aimes qu'une chose, l'aventure ! les batailles, les combats ! souffla Marron d'un air ennuyé. C'est d'un ridicule...
Oui, on a passé l'âge, continua Bra. Alors, et ton mec ? demanda t'elle ensuite.
Trop prétentieux. Il a osé me faire ''hin'' d'un air arrogant quand je lui parlais. Et en plus, nul comme pas permis au lit. Un vrai pied.
Elles éclatèrent de rire.
Pan, il te faut un macho. Tu aimes pas les types mous !
Marron se taisait obstinément et bra leur proposa, à bout de conversation, de rentrer à la capsule. Leurs parents devaient déjà avoir pris le train pour le paradis express. La planète des kaïos, en somme.
Elles se levèrent et prirent leurs paquets. Bra paya l'addition pendant que ses amies l'attendaient à la voiture.
A 25 ans, Marron était LA top model la plus recherchée sur le marché de Satan City. Avec ses longues jambes et son visage de rêve, elle faisait craquer tous les créateurs et stylistes et plus d'un homme. Et pas des pauvres ! les plus riches et les plus sexy se pressaient à sa porte. Elle s'était forgée une réputation de mangeuse invétérée d'hommes, mais elle les quittait très vite. En général, elle ne donnait pas de raisons, surtout le dernier en date. Misai Itimiya, son ancien associé. A présent styliste elle même , elle travaillait en collaboration avec la capsule corporation et fournissait tous les vêtements des employés et habillait toute la famille. Sa dernière folie en date ? s'être coupé les cheveux très court il y avait deux mois. Ils lui arrivaient au bas du dos, et elle les avait raccourcis au cou.
Pan était devenue tellement jolie que goten la suivait partout tout le temps pour empêcher les hommes de la toucher. Elle en riait pour la simple et bonne raison qu'elle ne s'en souciait pas le moins du monde. Elle était comme Bra et Marron. Des dévoreuses d'hommes. Rien de plus. Pas d'amour, pas de tendresse ou de complicité. Ses cheveux étaient, eux, longs et fins comme ceux de sa grand mère paternelle. Elle avait une longue tresse qui lui tombait sur les fesses et avait hérité du charme saiyen légendaire. Sauvage et impulsive. Elle avait son dojo dans le centre ville.
Bra était la beauté classique. Toujours bien habillée, bien coiffée, professionnelle jusqu'au bout des ongles, manucurée et bien maquillée etc... mais tigresse lorsqu'on la cherchait. Ce qui n'arrivait pas souvent. Copie conforme de sa mère avec le sale caractère de végéta, personne à part Marron et Pan ne pouvait devenir son ami. seulement, ces derniers temps, elle se laissait aller physiquement. Ses cheveux étaient à la même taille que Pan, mais elle les laissait sur ses épaules, les disciplinant de temps à autre.
Toutes les deux avaient 23 ans.
Dites, les filles, j'ai une idée. Les parents sont pas là. Trunks et goten seront d'accord avec nous si on allait chercher les boules de cristal et qu'on se faisait exaucer trois vœux, non ? proposa Pan.
Oui, mais je préférais aller à la plage moi, bouda Marron.
Moi je suis plutôt d'accord avec Pan. On va bien s'amuser.
Une fois à la maison, elles trouvèrent les garçons assis dans le salon entrain de regarder la télé et jouer au strip poker.
Les filles, vous vous joignez à nous ? dit goten.
Pourquoi pas ? on va d'abord se changer. Je vous connais, vous, bande de tricheurs... rigola Bra avant de rentrer dans sa chambre.
bonjour, Pan, Marron, salua trunks.
Bonjour Trunks ! répondit Pan.
Marron garda le silence et continua sa route. Etonné qu'elle soit toujours aussi antipathique avec lui, il haussa les épaules et retourna à son jeu. Il n'avait jamais compris pourquoi elle était si distante.
10 minutes plus tard, elles revinrent dans le salon et s'assirent par terre. Goten partagea la pioche et ils commencèrent. Bra perdit le premier tour et dût enlever son chandail et obéir à une injonction de Pan.
bois ce verre de whisky cul sec.
Elle remplit un verre à ras bord et le lui tendit.
Trente minutes de jeu plus tard...
Marron avait évité jusque là de trop perdre, mais maintenant qu'il ne restait plus qu'elle en sous vêtements et trunks en boxer, les autres étant allés dormir, bourrés jusqu'à la moelle, elle devait bien se résoudre à le faire. elle laissa donc tomber ses cartes et attendit la tête basse l'ordre.
Embrasses-moi, demanda t'il.
Ne rêve pas. Ce jeu est amusant, mais les autres dorment, et je crois que je vais y aller aussi. Te voir en caleçon me dégoûtes assez fortement, vois-tu... cingla t'elle en se levant. Elle enfila ses vêtements et s'apprêta à sortir quand il la retint en se levant à sa suite et la bloqua contre le mur avec ses deux mains. Elle sentait son visage si proche du sien qu'elle en frissonna. Il le sentit.
Marron...
laisses moi partir. Tu empestes l'alcool et si tu me touches... je hurles, murmura t'elle, essayant d'être convaincante.
Pourquoi tu me détestes tant ? je ne t'ai rien fait... rien...
elle secoua sa crinière, en prise à une montée de colère croissante. Elle vit ses lèvres s'approcher de plus en plus près...
une gifle cuisante arrêta sa progression et il recula, surpris, avant de passer à un autre stade, la rage. Elle fuyait ? eh non, il n'allait pas la laisser partir comme ça, pensa t'il en la voyant traverser le corridor en courrant. Il la rattrapa en moins de deux secondes et colla ses lèvres aux siennes dans un baiser brutal. Elle se débattit, mais sa force était minuscule comparée à celle de trunks. Il délaissa sa bouche pour glisser sur son cou. Elle cessa de se débattre et soupira. A quoi bon nier encore l'étendu de ce désir qui la saisissait à chaque fois qu'elle le voyait ? elle voulait du sexe, elle était saoule et il était là. Cependant, elle essaya de lui faire entendre raison.
trunks... on est saouls, et le regrettera demain, j'en suis sure...
Laisse donc les regrets à demain... on passe un bon moment.
Il remonta la langue derrière son oreille et elle gémit en se pressant contre lui mais elle ne comptait pas le laisser prendre le contrôle. Elle ne l'avait jamais perdu. Ça n'allait pas commencer ce soir. Elle le tira vers sa chambre à lui et ils y entrèrent pour aussitôt se déshabiller l'un l'autre. Une envie furieuse les avait pris. Ils voulaient se découvrir. La même fièvre les consumait. Marron le fit s'asseoir sur le lit et lui offrit un strip-tease épatant. Elle commença par ôter son haut le plus sensuellement possible en se cassant au rythme d'une musique entendue d'elle seule. Lentement, elle enleva une main de son soutien gorge, effectua un tour sur elle même et enleva l'autre, conservant cependant le bustier. Trunks était sans voix. Cette fille, qu'il avait toujours considéré comme une connaissance, limite une petite sœur, était entrain de lui danser quelque chose de tellement érotique qu'il semblerait qu'il n'en reverrait plus jamais d'autres.
Elle fit coulisser sa fermeture éclair et poussa le jean qu'elle portait à l'autre bout de la pièce. Elle ne portait plus que son slip et son soutien à nouveau, et il put détailler son corps de naïade. Elle avait une poitrine généreuse, sans être grosse, qui tenait parfaitement, un ventre plat obtenu grâce à des séances quotidiennes de stepping ( N/A :le concept est de danser en faisant de la gym avec la musique) et un nombril percé avec un M et un papillon dessus. Il sourit et lui tendit les mains, l'invitant ainsi à venir s'asseoir sur lui. Elle vint, mais tomba à genoux devant lui pour se mettre à sa hauteur. Leurs yeux se croisèrent, leurs nez se frôlèrent, leurs bouches se rencontrèrent dans un baiser fougueux, plein de désir trop longtemps refoulé. Quand elle sentit la langue de trunks venir frôler la sienne, elle alla à sa rencontre et elles se joignirent dans une danse effrénée. La lambada ? non, la salsa, plutôt. C'était volcanique. Il la tira sur lui et se tourna pour être en position dominante. Sans plus de cérémonie, il déchira son soutien gorge et le jeta sur le tas que formaient leurs vêtements communs. Elle le regardait, la respiration saccadée, la poitrine se baissant et se soulevant à un rythme irrégulier. Il posa sa bouche sue un sein, et elle se tordit de plaisir lorsque sa langue le titilla gentiment. Il passa à l'autre en laissant une traînée de salive sur son chemin, puis fit de même pour son ventre. Il joua un moment avec son piercing en faisant descendre sa culotte. Ensuite, pour prolonger la torture, il remonta lentement à sa bouche et laissa ses doigts vagabonder sur sa zone la plus érogène. Il faisait des allées et venues entre son clitoris et sa vulve et n'entrait que légèrement pour lui donner un avant goût de se qu'il lui ferait. Lorsque enfin il se décida à la pénétrer d'un doigt, il fut étonné de sa vivacité à venir à sa rencontre.
trunks...trunks...
elle psalmodiait son nom comme s'il était Dendé en personne pendant qu'il faisait entrer un deuxième puis un troisième doigt. Il les retira lorsqu'elle était sur le point de jouir et elle grogna de désappointement.
Trunks...
Eh ben quoi ? faut s'occuper de moi aussi, ma puce...
elle sourit, et d'un mouvement de hanches se retrouva au dessus de lui.
tu vas voir ça...
Marron utilisa son bassin du mieux qu'elle put pour finir d'exciter Trunks en glissant du haut vers le bas par dessus son boxer. Quand il en eut assez, celui ci rejoignit ses comparses par terre et il voulut se remettre en position dominante. Mais c'était sans compter l'avis de sa partenaire. Elle se remit au dessus de lui et se souleva un peu pour pouvoir mieux s'empaler. Il retint un hoquet de plaisir quand elle descendit d'un seul coup de reins tandis qu'elle poussait un glapissement sourd. Il pouvait voir ses jolis seins ballotter sous l'effet du plaisir et ses cheveux se coller contre sa peau moite. Il accentua la cadence et elle suivit, amplifiant ses cris. Heureusement que chaque pièce était insonorisée, sinon toute la caps saurait ce qui se passait sans équivoque !
Il était superbe...un dernier coup de reins et elle serait au paradis...
Elle était tout simplement magnifique ! jamais il n'avait pris autant de plaisir. C'était peut être parce que c'était...non, ce n'était rien du tout. Du plaisir. Elle était douée point à la ligne.
Ils donnèrent le dernier coup de hanches ensemble et hurlèrent leur extase au monde entier.
Ma... oh mon dieu...soupira t'il en sa laissant tomber sur le lit, épuisé.
Il regarda de son côté. Elle s'était endormie, telle un ange. Il regretta alors ce qu'il venait de faire. c'était une amie de sa sœur, bordel de merde ! il devait réparer cette erreur dès le lendemain matin. il remonta la couverture sur elle et se coucha sur le dos, les mains derrière la tête. Il finit par s'endormir d'un sommeil léger pour se réveiller plusieurs fois dans la nuit. Pour vérifier si elle n'était pas partie. Pour voir son visage en forme de cœur, ses longs cils et sa bouche pulpeuse rougie par leurs baisers. Il se demanda encore si elle se souviendrait de quoi que ce soit s'il la ramenait dans sa chambre à elle. Elle était plus saoule que lui. Bon, ok, il n'était pas saoul le moins du monde. Puis il renonça à la transporter dans les couloirs. Trop dangereux pour eux.
Le matin, il la trouva déjà debout entrain de ramasser ses affaires pour repartir dans sa chambre.
qu'est ce que tu fais ? demanda t'il encore endormi.
Il croisa son regard froid et calculateur. Bleu glacial.
Pas de commentaires, je pars. C'était idiot ce que TU as fait.
elle sortit de la pièce, le laissant abasourdi.
C'est la meilleure ! que je saches, on a tout les deux hurlé ! cria t'il à sa suite dans le couloir.
Elle croisa Bra qui la fixa d'un air ''haha, j'ai tout compris...''et qui lui dit d'aller se doucher rapidement parce que leur expédition commençait aujourd'hui même.
A la table du petit déjeuner, les commérages allaient bon train. Trunks entra dans la pièce et leur souhaita bonne journée.
trunkichounet, dit sa sœur, avec les autres on va chercher les boules de cristal pour passer le temps. Tu viens ?
Et qui va surveiller la société ?
Donne la à garder pour deux semaines !
Non. Et ne m'appelles plus JAMAIS trunkichounet, d'accord ?
Oh, du calme, ça va ! il est énervé ce matin vous trouvez pas ?
Si ! s'exclama Pan.
on se demande pourquoi... insinua goten.
Marron entra à ce moment précis dans la cuisine, fraîche et dispose, une jupe et un débardeur blanc comme vêtements et une queue de cheval comme coiffure. Ses pieds comme d'habitude dans tes talons hauts. Elle s'arrêta dans le pas de la porte une demie seconde, fixant trunks. Puis elle salua gentiment les autres avant d'aller prendre un café.
Alors, comment c'est terminé le jeu ?
trunks et Marron se regardèrent du coin de l'œil. Sa tasse trembla, et elle se tourna pour se donner une contenance.
On a plus continué, fit soudainement trunks en se levant.
Marron se sentit soulagée et lui dit discrètement un ''merci'' du bout des lèvres .
Elle lui avait adressé la parole ! elle lui sourit pour la première fois depuis des années.
je n'allais pas leur raconter cette nuit...murmura t'il pour elle sans se faire remarquer.
Marron eu un petit rire et Pan lui lança un coup d'œil inquisiteur.
Bon allons y, dit Bra, c'est pas le tout mais le temps passe à une vitesse pas possible... trunks, on se casse. Fais gaffe à toi.
Elle l'embrassa sur la joue, goten le tapa sur l'épaule, Pan lui sourit et Marron ne le regarda même pas. Cette fille le tuerait. Elle était vraiment imprévisible.
Et voilà pr notre première fic en commun ! on salue tt le monde et les lecteurs... si ça marche, on en fera une autre...
Biz à vous,
Lala et lilia.
