Disclaimer : Les personnages de Naruto ne m'appartiennent pas. Voilà.

Eh, bien voilà, je viens de voir 2 Days in Paris, et ça ma donné envie de faire une jolie petite romance, et nul pairing ne s'y prête mieux que celui ici exploité.

La première fois que je l'ai vu, il avait les mains dans les poches. Il avait un regard de déterré, le genre blasé suicidaire, et les épaules tombantes.

Quand on s'est battu, à l'examen chuunin, il est tombé dans l'arène. Quand je l'ai attaqué, la première chose que j'ai remarquée quand la poussière est retombée, c'est que, debout sur ses deux kunai, il avait les mains dans les poches.

Quand je l'ai vu après l'opération de récupération ratée, à l'hôpital, il avait l'air inquiet et fébrile, et les mains dans les poches.

Quand je suis partie, après que tout le monde fût hors de danger, il était tout seul, pour me dire au revoir. Les autres étaient encore à l'hôpital. J'ai bien essayé de l'asticoter un peu, mais il a juste sourit ironiquement, et m'a tourné le dos en rentrant, les mains dans les poches.

Quand on organisait l'examen chuunin ensemble, il y avait une chose qui m'agaçait chez lui, une caractéristique de je-m'en-foutiste complet : les mains dans les poches.

La première fois que je l'ai vu embrasser Ino, par hasard, je me suis caché dans la ruelle. Elle, elle avait les mains croisées dans le dos, et se mettait sur la pointe des pieds pour l'atteindre ; lui, se baissait légèrement, et il avait les mains dans les poches.

Quand Ino l'a largué, je l'ai vu, sous la pluie, allongé sur un toit, fumant une cigarette. Il avait les sourcils haussés et le regard ennuyé de quelqu'un pour qui ce n'est pas vraiment une surprise, et qui s'en fout au fond, et les mains dans les poches.

Quand je me suis fait larguer, il est venu simplement, avec une cigarette, sous la pluie, et m'en a offert une. Puis il s'est assis sur le banc, à côté de moi, et il a mis les mains dans les poches.

Quand je suis rentrée à Suna, seule, cette fois, il est venu, seul, lui aussi. Il s'est approché de moi, et m'a embrassé. Je n'étais pas surprise, lui pas gêné. C'était prévu. Puis il s'est cassé, les mains dans les poches.

Voili, Voilou, les copinous (la ferme, Flanders !), en espérant que ça vous a plu. Laissez des comms.