Hello ! Je publie enfin ma première fanfic, cela fait un moment que j'ai commencée à l'écrire (environ 2ans), mais je ne l'avais jamais postée ( problème avec mon ordi' ), j'espère qu'elle vous plaira !

Je tiens aussi à préciser (même si tous les monde s'en doute) que les personnages Cullen ne m'appartienne pas, c'est la très talentueuse Stephenie Meyer.

Certaines citations qui sont entre guillemets viennent de la série Grey's Anatomy.

Je vous souhaite une agréable lecture, et n'hésiter pas à laisser un petit commentaire.

Pour ceux que intéresse, un résumé en vidéo de mon histoire : http(:)/www(.)youtube(.)com/watch?v=EaeZUJU-Ug4

Il vous suffit d'enlever les ( ) ^^

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I Don't Understand The Life

Tome 1

« Le temps file, le temps n'attend personne. Le temps guérit toutes les blessures. Tous autant que nous sommes nous voulons plus de temps. Du temps pour se relever, du temps pour grandir, du temps pour lâcher prise. Du temps. »

Chapitre 1 : Que vais-je devenir ?

Je n'en pouvais plus de courir pour échapper à ce groupe de nouveau-nés qui voulait ma peau. Me tuer.

Cela devait faire approximativement une semaine qu'il me coursait. Et j'en avais marre. J'étais fatiguée aussi bien psychologiquement que physiquement. Je peine à courir. Je peine à respirer. Pourquoi suis-je entrain de sauver ma vie ? Pourquoi...? Je pourrais le retrouver au paradis...

Vous vous demandez sans doute qui je suis ? Eh bien, je me présente, je suis Ashley Ladssivitsch. J'ai environ cinq ans d'âge mental, et je n'ai qu'un an physiquement. Et je suis un trébuchai à cause d'une racine d'arbre, je m'attendis à un choc assez violent avec le sol et pourtant, je sentis quelques choses me percuter sur le côté. Je volais quelques mètres plus loin. Je rencontrai rapidement le sol. Le choc fut violent. Ma joue était collée à l'herbe fraiche. Je sentis l'odeur des vampires. J'allais donc mourir ainsi. Seule dans la forêt. Personne ne remarquerait mon absence. Personne ne sans souciera. Une larme coula le long de ma joue. Je me laisserais tuer, je n'avais pas le courage de me lever, de voir leurs sourires sadiques, leurs yeux rouge sang et leurs envies de me tuer. J'attendais quelques secondes, attendant la douleur, mais rien ne vint. J'ouvris doucement les yeux pour voir une silhouette s'approcher de moi. Je clignai des yeux pour que ma vue ne soit plus embrumée par les larmes. Je vis alors une magnifique jeune fille s'accroupir à mes côté cheveux étaient blonds, il descendait en cascade jusqu'en bas de son dos. Son corps était magnifique. À en faire pâlir n'importe quels mannequins. Elle approcha doucement sa main de ma joue, elle essuyait doucement les larmes qui ornaient mes joues avec son doigt. Je me reculai rapidement à son contact, de peur qu'elle me frappe. J'avais tellement l'habitude d'être frappée. Ils le faisaient tout le temps. Elle me regarda avec surprise avant que cette dernière émotion ne soit remplacée par de la tristesse.

- Je ne te ferrais aucun mal, ne t'inquiète pas. Me dit-elle calmement.

J'encrai mon regardé dans le sien après que je me sois assise en tailleur dans l'herbe. Son regard me surpris, il était d'une beauté rare. Ses yeux avaient une couleur d'orée. Elle s'approcha doucement de moi.

- Je m'appelle Rosalie. Et toi ?

Je n'osais pas lui répondre, de peur que ma réponse ne lui convienne pas et qu'elle me donne une gifle. Des larmes perlaient aux coins de mes yeux alors que des sanglots me prenaient la gorge. Je ne sais plus quoi faire ! Le vent frais fit trembler mon corps. Elle me prit doucement dans ses bras, j'essayais de me débattre avec le peu de force qu'il me restait, mais je n'y parvins pas. Elle m'avait soulevée puis s'était assise au pied d'un arbre, dos contre le tronc. J'avais passé mes jambes autour de sa taille et avais posé ma tête sur sa ne voulais et ne pouvais plus opposer aucune résistance. Si je dois mourir, je mourrais. Mais je n'ai plus la force de me battre pour vivre. J'ai simplement envie de m'endormir paisiblement et ne jamais me réveiller...

Point de vue Rosalie :

Je chassais tranquillement, je m'étais abreuvée d'une biche et un ours. Je rentrais à la villa mais je percutais quelque chose, sur le moment, je n'avais pas vraiment réalisée que j'avais percutée quelque chose, ce n'est qu'une fois que mon regard eu scruté les horizons que je vis une petite fille part terre. Ses cheveux était noir avec quelques mèches rouges. Elle restait à terre, je me leva rapidement et partis la voir. Je m'accroupis à côté d'elle, elle ouvrit doucement les yeux et m'observa. Ce qui attira le plus mon attention fut ses yeux, de magnifiques prunelles bleu océan, d'une beauté rare et inexistante. Elle n'est pas humaine. Je vis des larmes couler le long de ses joues, je passa doucement ma main pour effacer toute trace de tristesse. Elle recula rapidement. Trop rapidement. Se qui confirme un peu plus mon hypothèse qu'elle n'est pas humaine. Je pu déceler de la peur dans ses yeux. j'en fus surprise, elle avait peur de moi ? Jamais je ne pourrais faire de mal à un enfant.

- Je ne te ferrais aucun mal, ne t'inquiète pas. Lui dit je doucement.

Elle s'assit puis encra son regard dans le mien. Ses yeux me surprenaient toujours autant. Je m'assis à mon tour dans l'herbe contemplant ce petit être en face de moi. Observant chaque détails.

- Je m'appelle Rosalie. Et toi ?

Je n'obtenue aucune réponse mise à appart le faite qu'elle se mis à pleurer et que son petit corps soit secoué de spasmes. Le soleil avait laissé place à la lune. La jour à la nuit. La chaleur à la fraicheur. Elle commençait à trembler. Je me leva et m'approcha doucement d'elle, observant chacun de ses mouvements qui pourrait m'indiquer qu'elle aurait peur. Mon instinct maternelle prit le dessus et je ne pu m'empêcher de la prendre dans les bras. Elle essaya de se débattre au début mais abandonna rapidement. Je me suis relevée et j'ai pris place contre un arbre. Elle as passée ses jambes autours de ma taille et a posée sa tête sur ma poitrine avant de s'endormir.

J'étais restée longtemps dans cette position, je pouvais facilement deviner qu'il était midi, ce petit être dans mes bras semblait ne pas avoir dormis depuis longtemps. Je passa tendrement ma main dans ses cheveux avant de poser une sous ses fesses et une autre dans son dos. Je me releva doucement, la tenant fermement contre moi puis partis en courant à la villa. J'arriva rapidement à destination et pénétra dans l'habitacle. Il n'y avait que Carlisle dans le salon, je m'approcha rapidement de ce dernier. Il avait levé rapidement la tête à mon entrée. Sans doute à cause du rythme cardiaque du petit ange que je tien dans mes bras.

- Rosalie, peut tu me dire qui est cette petite ? Me demanda t-il avec un regard interrogateur.

- Je l'ai percutée dans la forêt accidentellement, et je souhaitais savoir si sa ne te gênais pas te regarder si elle va bien et si elle est en bonne santé.

- Pas de soucis, suis moi dans mon bureau.

Je le suivis donc jusqu'à son bureau. Je pénétra rapidement dans la pièce.

- Bon, reprit Carlisle, comment s'appelle t-elle ?

Cette question me déboussola quelque peu car je ne connaissais point la réponse.

- Je sais pas, elle ne ma pas parlée...

- Ah... Est ce que tu peut la poser sur la table d'auscultation ?

- Oui, bien sûr.

Je la posa doucement, cela ne sembla pas la réveiller même si elle avait émit un petit grognement d'insatisfaction. Carlisle s'approcha d'elle, puis lui enleva doucement sa veste, elle commença à grogner. Il allait commencer à lui enlever son t-shirt mais elle se réveilla et se leva. Elle se recroquevilla dans un coin de la pièce en pleurant avant de ce basculer d'avant en arrière. Je m'approcha rapidement avant de m'accroupir face à elle.

- Hey, mon bébé, on te veut aucun mal. Je te le promet.

Les larmes coulaient sur ses joues. Je posa main dans son dos et lui fis des caresses rassurantes. Ses larmes se firent de moins en moins abondantes. Elle leva son magnifique visage en ma direction. Je me perdais littéralement dans ses magnifique yeux bleu.
Je passa doucement mes mains sous ses bras puis la souleva avant de la poser sur la table d'auscultation. Carlisle se mit face à elle et se baissa légèrement pour être à sa hauteur.

- Coucou ma belle, je suis Carlisle. Je suis médecin. Je vais juste voir si tu va bien et que tu n'a aucunes blessures. D'accord ?

J'allais lui dire qu'elle ne parlait pas, et donc ne comprenait sans doute pas se que nous dissions. Mais à mon plus grand étonnement, mon bébé hocha positivement de la tête.

- Ne crois pas qu'elle ne comprend pas qu'on lui dit, tu sais, c'est une demi-vampires, donc elle a des capacités intellectuel plus élevée que la norme.

- Mais, alors pourquoi ne répond t-elle pas ?

- Elle a dut être traumatisée par quelque chose...