Salut c'est encore moi Black Moon qui va se faire taper dessus paskelle a pas posté le Chapter de sa fic. Il arrive bientôt, alors : PAS TAPER. Bon voici une histoire à chapitre unique, vraiment courte, au sujet de Tom Riddle (désolé, je préfère le nom anglais). Sans transition, voici ma nouvelle fic.

Disclaimer : Rien est à moi, donc pas d'argent. Tout est à JKR, donc tous les sousous pour elle.

Warning : Attention, allusion au slash. Si vous aimez pas, ne lisez pas.

Pairing : TR/ ? (Vous allez tout de suite comprendre de toutes les façons !)

UN SENTIMENT DE VIDE.
La vérité brûle, ça il le savait. C'était pour cela qui l'avait toujours bouté hors de son esprit, à coup d'ignorance, de mépris. Et il avait toujours réussi. .. Jusqu'au jour ou ses armes si parfaites avaient eu le piètre effet d'un coup de sabre dans l'eau. Et la vérité avait distillé au sein de son âme son venin acide, un poison perfide qui intérieurement l'avait rongé, qui avait détruit avec hargne le forteresse mentale qu'il avait construite durant son exil forcé.

Tout avait ressurgit quand il l'avait vu, si fragile, si petit pour son âge, son visage couvert de poussière et ses yeux magnifiques ou brûlait une leur de détermination féroce. Il avait voulu le tué, pour repousser les attaques pernicieuses de la vérité qui revancharde tentait de l'enserrer dans ses mailles. Il l'avait voulu achever ce qu'il avait commencé treize ans plus tôt jusqu'au bout, mais n'y était pas arrivé. Leurs baguettes avaient admit l'évidence et avaient refusé ce à quoi il les forçaient. . . heureusement, il n'aurait pas supporté d'avoir sa mort sur la conscience, aussi inexistante soit elle.

Après ce duel plus décisif, il avait commencé à ce souvenir de tout ce qu'il avait enfouis avec force de rage dans les méandres les plus obscures de sa mémoire. La première fois qu'il l'avait vu, ses grands yeux enfantins noyés de larmes qui exprimait l'étonnement et l'incompréhension. Un bébé qui avait levé sa petite main vers son visage comme le font tous le autres enfants d'un an, mais qui avait déclenché en lui un sentiment autre que le mépris, l'amertume, ou la haine. Un sentiment sur lequel il n'avait pu, sur le moment, mettre un nom concret. Et cette incapacité à analyser ce qu'il ressentait l'avait effrayé. . . et qui était cet enfant pour effrayer Lord Voldemort. Il avait voulu le tuer, mais n'y était pas arrivé à cause et grâce au sacrifice insensé mais noble de sa mère défunte. Heureusement, sinon, il n'aurait pas eu ces treize années de solitude éprouvante durant lesquelles, il avait médité sur ce qu'il était et avait vu grandir cet enfant qui avait su faire sans le savoir, ce que la vie et tous les meurtres qui avait commis n'avaient jamais pu réaliser : le bouleverser. [1] Il avait vu la vie de cet enfant sans être près de lui. Il avait éprouvé ses douleurs éternelles, et ses joies éphémères. Il avait en quelque sorte vécu en même temps que lui et avait compris ses peines. Il l'avait vu grandir. Mais il avait toujours refuser de comprendre ce qu'il ressentait même si il savait pertinemment dans un coin retranché de son esprit de quoi il s'agissait.

A chaque fois qu'il avait été en face de lui il avait voulu le tuer, comme si en mourant il emporterait avec lui ce sentiment qui lui brûlait les entrailles. Et finalement, il avait compris, et s'était laissé embrassé par la vérité au sommet de sa gloire triomphante. ET tout cela, à cause et grâce à ce regard d'émeraude qui l'avait bouleversé depuis la première fois que son regard de carmin l'avait croisé. Et Salazar pouvait en témoigné, ses serviteurs en avaient terriblement pâti. Ils avaient reçu des ordres très strictes : ils pouvait tuer, torturer, violer qui il voulaient sauf une seule et unique personne : lui. Celui qui aurait osé une bravade insensé aurait été condamné à la peine capitale, mais pas avant d'avoir eu un avant goût très long des feux de l' Enfer. Il avait durement pris conscience et éprouvait un terrible sentiment de vide. Un sensation insupportable qui avait failli le conduire au suicide. Il avait tout claquer, et lui avait tout dit. Il avait vu dans ses yeux que lui aussi avait porté inconsciemment ce sentiment de vide. Ils étaient liés, c'était indéniable, et avait fait ce qu'ils devaient faire.

Tom Riddle, alias Lord Voldemort, regarda une nouvelle fois le plafond de sa chambre, pensa en souriant que si on lui avait dit qu'il serait heureux un jour, il ne l'aurait jamais cru. Il resserra son étreinte, et senti avec amusement celui qu'il aimait ronronner comme un gros chat. Il déposa un léger baiser sur ses lèvres et le rejoignit au pays des songes. Quoi que le monde pouvait penser, il s'aimaient et rien ne pouvait les séparer. Leur passé leur importait peu... seul comptait leur futur, ensembles. Ils savaient qu'un jour viendrait où seraient séparés par la mort, mais ils voulaient profité de la vie.

C'est ainsi que Tom Riddle et Harry Potter s'aimaient. Ils avaient enfin comblé leur sentiment de vide. _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _

Voilà, c'est fini.

Vous vous rendez compte, mon tout premier slash, même si il n'est pas très voyant. Mais bon, c'est le premier que je mais sur le devant de la scène. Peut être est-ce le début d'une longue lignée. Bon, j'espère que vous avez apprécier. Et même si c'est un One Chapter, laissez un petit review, ça fait toujours plaisir et j'aimerais savoir si c'était bon.

Je tiens à préciser que cette fois- ci, Nasty ne m'a pas donné un seul coup de main. [c'est sûr que j'aurais mis plus de détails, tu fais vraiment dans le sentiment]. Bon, à la prochaine.

Note : [1] C'est un hommage à Cicéron pour c'est période cette phrase était vraiment longue.

Si j'ai mis la note ici, c'était pour ne pas interrompre l'histoire, je trouvait que cela faisait déplacé. Allez, bye.
Black Moon.