Bonjour à tous, alors voilà, je post ma première fic ^^ enfin pas tout à fait "ma" c'est une traduction de Tempest, je sais je ne commence pas par la plus simple ou la plus courte mais j'avais vraiment envie de partager cette fic vraiment génial, j'ai vue énormément de personnes en parler et je me suis dis pourquoi pas essayer ^^ alors voilà le premier chapitre de Tempest ? j'essaierai de poster un chapitre par semaine et si ce n'est pas le cas je vous préviendrai à l'avance, ce sera à cause de mes révisions, de mon travail pour mon bac qui est dans 3 mois x) mais bon, je pars sur un principe d'un chapitre tous les dimanches :) et dites moi si des choses ne vont pas, ce que je pourrais améliorer etc ( j'avoue que j'ai galerer à la trasuire) j'espère que le résultat sera à la hauteur de la fic :) sur ce je vous souhaite une bonne lecture ?
Chapitre 1 : Tempest
Les mots étaient, la guerre c'est terminé en moins d'une journée.
Mais Anna qui avait l'habitude d'être la princesse de cette nation connue autrefois sous le nom d'Arendelle, le savait mieux que quiconque. Quand la reine Elsa des îles de sud a déclaré la guerre, Arendelle n'était pas tombé en moins d'un jour, mais en moins de quelques heures. Personne ne l'avait vue venir, étant donné qu'Arendelle et les îles du sud avaient de si bonnes relations depuis toutes ces années ; mais même ainsi, Arendelle était plus que préparé pour une invasion. Refusant catégoriquement les termes de la reddition ; Arendelle se préparait à la guerre. Quelque soit les forces armées qui auraient osés frapper Arendelle, ils rencontreraient une des marines les plus forte et la nation la plus unie au monde.
Quelque soit leur forces armées.
Anna avait été là pour en témoigner, un seul cuirassé venant des îles du sud, qui paraissait anodin, avait amené une imparable tempête destructrice.
« Qu'est-ce que c'est ? » demanda Anna.
A côté d'elle, le roi n'avait aucune réponse.
Du haut du château d'Arendelle, Anna regarda à travers une longue-vue et vit un navire opaque, sans voile, naviguant à travers les mers. Ce fut la première chose qui avait capté son attention, elle le regardait incrédule, bouche bée, le cuirassé bondit à travers les vagues sans aucune aide. Il semblait que le navire se propulsait lui-même par la seule force de la volonté, et seulement quand Anna récupérait le contrôle de son corps, elle remarqua la beauté du navire.
« Il est fait de glace » souffla Anna.
Et de nouveau, elle avait pu admirer l'exploit impossible, car le soleil tapai, la chaleur de l'été chauffait les eaux côtières, c'était beaucoup trop chaud pour de la glace. Comment un navire pouvait être fait de glace ? Fait uniquement d'une glace impeccable, sans veines, sans bulles d'air ou de débris qui auraient pu endommager la surface bleu transparente, brillant comme des diamants, car il réfractait la lumière. Arrêtés et crêtes formaient ce qui était en effet un cuirassé : poupe, arc, mâts, et comme pour prononcer davantage cette irréalité, le navire arrêté, des voiles de glace apparaissaient pour finir l'ensemble.
« Quelqu'un vient » déclara le roi. Lui et Anna regardaient avec anticipation, à bout de souffle, confus et inquiets de la tournure inattendue des événements.
Une seule femme sortit, sur l'arc du navire, elle n'était pas vêtu comme une guerrière. Anna avait elle-même portée une armure, se sentant peu convenable dans cette tenue, c'était plutôt pour inspirer les citoyens d'Arendelle ; mais même dans ses robes les plus majestueuses elle se sentirait insuffisante par rapport à l'etrangère. Cheveux blonds platine et la peau blanche, Anna ne pouvait que rêver, un teint de porcelaine, comme si elle n'avait jamais vue la lumière du jour. Curieusement sa robe ressemblait au navire, bleu claire et légèrement transparente, et sa longue traîne derrière elle se fondait avec le navire, suggérant plus que des similitudes de couleur.
« Voilà la reine Elsa » dit le roi, avec plus de peur qu'Anna n'avait jamais entendu de son père pourtant normalement inébranlable.
« Mais encore » murmura Anna, énervée par cet étrange spectacle, sans savoir pourquoi, essayant de se convaincre que tout allait bien, « Qu'est-ce qu'une telle personne viendrait faire ? »
Elle le découvrit lorsque la reine Elsa leva les bras vers le ciel et invoqua la mort.
Bien que le roi ait immédiatement sonné l'alarme, il était trop tard pour arrêter la tempête de neige qui s'abattait sur Arendelle. Sur un ciel bleu claire s'éclatait un mélange de grêle et de neige qui bloquait le soleil lui-même, des éclats de glace tous en forme de lance miniature tombaient à une vitesse vertigineuse, comme si on les lançaient vers le bas. Le gel se propagea mystérieusement du fond du cuirassé pour recouvrir le fjord, l'eau avait été gelé en un instant, laissant place à un champ de glace défoncé.
« Tuez la sorcière ! »
Sur l'ordre du roi , les archers tirèrent sur le mur du château, les trébuchets lançaient des blocs de pierre sur la femme, mais elle restait tranquillement debout les bras tendus. Une grande vague de glace apparu du sol et arrêtait soigneusement chaque flèche, résistait à l'impact de dizaine de rochers, tout cela sans une égratignure. Dès que le barrage fut terminé, le mur tomba. Anna pu voire une petite contraction au coin des lèvres d'Elsa.
Elle veut voir ça, réalisa Anna. Ce fut la seule raison pour la quelle le mur était tombé. Elsa veut voir la chute d'Arendelle de ses propres yeux.
La glace c'est mise à tomber du ciel et empala un millier d'hommes, comme le saint jugement de la reine, regardant de son siège de gloire.
Avec toute sa marine gelé dans les ports et son armée décimé par la glace contre laquelle ils ne pouvaient rien, Arendelle offrait à présent les conditions de la reddition.
Mais la reine Elsa ne l'accepta pas.
Une armée de créatures de neige ont pris d'assaut Arendelle et la reine Elsa marchait très calmement, sans entrave, jusqu'aux portes du château, gelant presque jusqu'à la mort les derniers hommes encore en vit puis les repoussa avec une rafale de vent glacé, elle flânait pour rencontrer la famille royale.
« Il n'y aura pas de reddition » dit Elsa encore très calmement, annonçant de simple fait pendant qu'elle était assise sur le trône et le roi d'Arendelle se mit à genoux sur le sol, une lame de glace en vol stationnaire sur la gorge. « Reddition signifie la négociation. Il n'y aura pas de négociation. Seule mes conditions seront entendus ».
« Alors qu'est-ce que vous voulez, Elsa ? »
« Fidélité absolue » déclara Elsa. Le roi essayait de parler, et la glace se rapprochait alors qu'il tentait de se redresser. Il recula, réduit au silence. « J'aurai la souveraineté totale, bien que vous puissiez garder votre trône et tant que mon vassal. Vous devrez rappeler vos militaire dans un moi. Vous devrez nous payer un tribut chaque année, le montant que je vous dicterais. Vous ne pourrez faire du commerce qu'avec les îles du sud, à la fois exportations et importations. Et-»
« C'est ridicule ! »
Malgré la protestation du roi, Anna sauta sur ses pieds, d'où elle se mit à genoux à côté de lui. Il n'y eu rien qui l'en avait empêchée, probablement parce que Elsa ne la considérait pas comme une menace ; mais à la façon dont elle se tenait, elle vit un bataillon de ces bêtes de neige étranges commencer à converger autour d'elle. Elle releva la tête vers Elsa avec un dos droit, indifférente du danger, puis Elsa agita une main. Les créatures se sont calmés.
« Tu peux dire ce que tu penses » murmura Elsa.
« Ce que vous demandez est totalement injuste » dit Anna, s'avançant d'un pas vers le trône de son père, où Elsa n'avait pas le droit d'être.
« Anna, s'il te plaît, arrête avant de te faire bless-»
Elsa regarda vers le bas, regard glacial, puis la température de la salle du trône chuta jusqu'à ce que le gel recouvre les fenêtres. Le roi su tut une fois de plus, et alors seulement la température commença à augmenter. Pas confortable, mais tolérable du moment que l'on porte suffisamment de vêtements d'hiver.
« Continue » déclara Elsa.
Anna pinça ses lèvres, sans peur. « Tout d'abord, mon père ne deviendra pas votre vassal alors que c'est son royaume ».
« Un royaume occupé » corrigea Elsa, jetant un rapide coup d'œil au roi vaincu. Il avait l'air complètement résigné à son sort, mais il avait également renoncé à persuader Anna.
« Eh bien, comment allons-nous nous défendre si une autre personne comme vous arrive et que nous ne disposons pas de militaires ? » Anna omis de dire à quel point leur armée avait été efficace.
Elsa hocha le tête. « Je vous offre une protection en échange de votre fidélité ».
Anna ne fut pas apaisée. Si quoi que se soit… la colère grandissait en elle. « Le commerce alors ! Comment sommes-nous censés survivre juste en faisant du commerce avec vous ? Et nous ne pouvons pas vous donner le tribut, pas après ce que vous avez fai-»
« Je vais, bien sûr, débloquer vos champs et le fjord » dit Elsa. « Votre activité économique intérieur restera intact. Je vais aussi vous offrir une compensation appropriée. Je ne voudrais pas voir Arendelle mourir de faim ».
« Vous ne savez rien à propos d'Arendelle » pleura Anna. « Vous ne connaissez pas les gens, vous ne connaissez pas notre culture, alors comment allez-vous gouverner ? Tu ne le mérite même pas ! ».
Les cris haletant d'Anna retentirent dans la salle du trône, et elle poussa avec force le cri de ses émotions. Des larmes de colère lui piquaient les yeux. Elle ne savait rien, ce qu'elle disait ne changeait rien, et tout argument qu'elle pouvait offrir était faible. Anna savait qu'elle n'avait jamais eu beaucoup d'une princesse, à peine une personne capable de prendre des décisions importantes et de donner des arguments logiques, mais elle ne pouvait pas accepter cela sans rien faire. Comment peut-on faire irruption et tout prendre ? Qu'est ce que les autres voudraient faire ? Anna essuya les larmes de ses yeux avant qu'elle ne puissent tomber.
Elsa regarda Anna pendant un long moment, itinérant sans ciller les yeux, sur les traits d'Anna avec une expression complètement illisible. Lorsqu'Anna remarqua l'examen, elle fixa les yeux glaciales légèrement élargi par l'acte audacieux. Elsa fut la première à rompre le contacte. Enfin, elle se détourna d'Anna et revint vers le roi, ses lèvres tirés vers le bas dans un léger froncement de sourcils. « Dans ce cas, j'ai encore une stipulation » dit Elsa.
« Elsa, vous avez déjà demandé tout ce que je devais vous donner » dit le roi d'un ton las.
« Pas tout » déclara Elsa. Pendant qu'elle parlait, la lance de glace fondit en de l'eau sur le tapis rouge. « Il y a juste une chose, et si vous acceptez, je promet la clémence à Arendelle. »
Le roi leva la tête. «Qu'est-ce que ce serait ? »
Elsa hocha la tête vers Anna.
« Je la veux ».
J'espère que ça vous a plus et que vous avez autant envie de savoir la suite que moi quand je l'ai lu la première fois ^^ dites moi ce que vous en avez pensés dans les commentaires :) et à la semaine prochaine ?
