Coucou ! Je vous avais dit que je réécrirai cette histoire.
Attention beaucoup de changement. On pourrait même dire que c'est une histoire différente... Mais ce n'est pas le cas ! J'ai aussi trouvé un titre. Bon certes... Ce n'est pas un titre extraordinaire... Mais un titre quand même ! Et désolé pour le résumé... Après tout, on ne change pas une équipe qui gagne ! Oui... gagne est un bien grand mot ... Mais, zut !
J'ai aussi changé les uniformes. Donc revoici une magnifique, et prestigieuse nouvelle liste du port d'uniforme selon les personnages.
Tsurugi Kyosuke : Paulo blanc, manche courte, bouton ouvert, à l'extérieure du pantalon. Pantalon smoking bleu marine, une chaîne en argent suspendu à sa ceinture noir du cotée droit, chaussure noir.
Seto Midori : Paulo blanc, manche courte, bouton ouvert, rentré dans sa jupe. Jupe bleu marine arrivant aux genoux, tennis blanche, cheveux attaché dans une queue de cheval haute, noué par son ruban vert.
Sorano Aoi : Paulo rentré, bouton fermé, jupe arrivant mit cuisse, chaussette mi mollet blanche, mocassin marron, même coiffure que dans galaxie mais sans les sortes de petit pique au bout.
Yamana Akane : Paulo rentré, bouton fermé, jupe arrivant mit cuisse, collant noir, mocassin noir, cheveux en une tresse sur le cotée droit.
Matsukaze Tenma : Paulo rentré, bouton ouvert, ceinture marron, tennis blanche.
Nishizono Shinsuke : Comme tenma.
Kageyama Hikaru : Paulo rentré, bouton fermé, ceinture marron, mocassin marron.
Kariya Masaki : Paulo rentré, bouton ouvert, ceinture marron, mocassin marron.
Shindou Takuto : Paulo rentré, bouton fermé, ceinture marron, chaussure en cuir à lassé marron.
Kirino Ranmaru : Comme Kageyama.
Nishiki Ryouma : Paulo à l'extérieure, bouton ouvert, ceinture marron, tennis blanche.
Kurama Norihito : Comme Kariya.
Hayami Tsurumasa : Comme Kageyama.
Hamano Kaiji : Comme Nishiki.
Shunsuke Aoyama : Comme Kariya.
Ichino Nanasuke : Comme Tenma.
Sangoku Taichi : Comme Kageyama.
Amagi Daichi : Comme Kariya.
Kurumada Gouichi : Comme Nishiki.
Minamisawa Atsushi : Comme Kariya.
Ils ont tous un éclair bleu marine cousu à la droite de leurs paulo. Les survêtements et maillot de foot sont les même que dans galaxie. Leur tenue de sport pour leur cour normeaux c'est comme vous voulez. Juste Première année : rouge, Deuxième année : Bleu, Troisième année : vert.
Voili, voilou ! Nous pouvons commencer.
-x-
Le monde où je me trouve à présent n'est qu'une immensité blanche. La seule chose qui se démarque est un petit garçon recroquevillé, pleurant, entouré d'une aura sombre. Je me rapproche de lui. A chaque pas je rajeunissais. Inquiète, je tends ma main voulant le toucher pour le réconforter. « Eh! Est-ce que tout va bien ? ». Mes doigts touchèrent à peine son épaule que le blanc se changea en noir. La peur m'envahit. Une main faite d'une substance pareille à du pétrole se posa sur ma bouche m'attirant de force loin du garçon, bientôt une autre main m'attrapa, et en très peu de temps plusieurs main me tiré en arrière. Je me défendais, mais rien à faire. Elles m'entraînaient de plus en plus dans les ténèbres. Des cris d'effrois y résonnaient. Ma tête commençait à me faire mal. A force de me débattre mes forces me quittai. Les mains lâchèrent l'emprise qu'elles avaient sur moi, me laissant seul sur le sol froid, épuisé, et entouré de ces cries. Je compressé ma tête entre mes mains espérant atténuer la douleur qui me rongeai. Je senti un liquide chaud. Je tendis mes mains pour constater qu'il y avait du sang dessus. Les cries s'arrêtèrent. Plus aucun bruit. Ma tête était en sang, et mes vêtements en lambeaux. Je ne pouvais plus bouger. Mes jambes été brisé. Et deux adultes gravement blessés gisaient à mes cotées. Je voulais crier, mais j'étouffai. Finalement, dans ce silence oppressant. Un bruit retenti. Je me retournai vers la source, une lumière blanche m'éblouit, le klaxon d'un camion m'assourdit, pour ensuite se changer en la sonnerie insupportable de mon réveille.
Ma main tâtai le tatami à la recherche de ce stupide réveille. Je le trouvé enfin au bout de quelque minute. N'arrivant pas à l'éteindre avec la manière douce, je lui assénai un violent coup avec mon poing. Je soupirais, cela va bientôt faire trois ans que je rêve de ce petit garçon et ça ceux termine toujours avec le klaxon d'un camion. Je me redressé gémissant de l'effort que je donnais, puis assise je m'étirai.
Une fois préparé, je rangé mon futon dans mon placard avec mon réveille. Je sortais de ma chambre, coulissant la porte derrière moi. Je rentré dans la salle à manger où mon père, ma mère, et mon frère m'attendais autour de la table rectangulaire, assis dignement en seiza.
« Vous êtes en retard. » me reprochait froidement mon père, ne me donnant même pas un regard.
« Veuillez m'excuser Otou-sama. » je demandais la tête baissé. Comme à son habitude aucune réponse de sa part pour moi.
« Asseyez-vous mon enfant. » me dit ma mère avec un doux sourire. Et je suivi ses indications en m'asseyant en face de mon frère.
Nous prenions notre petit déjeuné dans le calme, avec seulement le bruit léger de nos baguettes pouvant être entendus.
Lorsque nous avions fini, moi et mon frère partir pour l'école. Il prenait la voiture pour aller à son lycée, et moi je devais aller au miens à pied. Mon père n'a jamais voulue que je sois dans le même établissement scolaire que son fils, et il ne veut pas non plus lui faire faire un détoures inutile par mon école. Ce qui ne gêne pas mon frère il ne veut absolument rien partager avec moi.
« Ayez une bonne journée Onii-sama. » je me penché légèrement en avant.
« Tch... Je t'ai déjà dit d'arrêter de m'appeler ainsi ! » son visage était tordu dans le dégoût et la colère en me regardant « Être considéré comme ton frère... Il n'y a rien de plus déshonorent. » et, sans plus attendre, il monta dans sa ferrari rouge, offerte par père lors de son quinzième anniversaire. Bien évidement il avait un conducteur personnel. Qui allait sûrement bientôt s'en aller. Mon frère va avoir 18 ans cette année, et pourra donc conduire son joujou tout seul. Dommage ! Je l'aime bien moi Jii-san. C'est le seul en dehors de ma mère à ne pas me traiter comme une moins que rien. Je lui fis un grand sourire et un signe de la main, qu'il me rendit en me montrant toute ses dents.
Je les regardais partirent. Puis me dirigeais vers mon vélo que Jii-san m'avait préparé comme tous les matins d'école. Il me la même lavé pour la rentrée. Il va vraiment me manquer lorsqu'il partira.
Je mis mon sac sur le porte bagage, sortais de la cour. Pui arrivant dans la rue je grimpai sur mon vélo. M'éloignant petit à petit de l'imposante maison traditionnelle qui me servait de ''chez moi''.
Une fois au lycée, je rangeai mon vélo à l'endroit prévu pour. Aujourd'hui étant le jour de la rentré les nouveaux élèves allés arriver, mais aussi des moins nouveaux bien connue de nous tous. Je dois dire qu'ils m'avaient manqué. Même Kariya ! Bien que je voyais toujours un peu Aoi de temps en temps.
Je pris mon sac qui reposait toujours sur le porte bagage, et m'en allé vers le bâtiment principal. L'année dernière je m'étais retrouvé seul, sans un membre du club ! J'espère que ça ne se reproduira pas...
J'arrivais vers le tableau des classes, et bien évidemment l'endroit était bondé. Assez difficile de jeter un œil à la fiche...
Je réussis à me frayer un chemin, poussant quelques personnes au passage suivi de leur gémissement, mais vites arrêtés lorsqu'ils virent qui les avait bousculés. Je n'ai jamais compris pourquoi les gens avaient aussi peur de moi.
Mes yeux parcouraient les listent cherchant mon prénom. Finalement je le trouvé à la liste de la classe 2-D. Je regardais pour voir si il y avait quelqu'un du club, mais juste avant que je lise les autres noms, on me tira violemment en arrière, me faisant sortir de la foule.
« Oye, qu'est-ce que tu fais ? » riait l'imbécile.
« Nishiki... Lâche-moi, imbécile. » je disais serrant les dents. Il enleva l'emprise qu'il avait sur moi, riant toujours comme l'idiot qu'il est.
« Ohayo... » salué mollement Hamano encore à moitié endormie.
Suivi de Hayami et son attitude toujours aussi... polie ? « Bonjour Midori-san, j'ose espérer que vous avez passé une agréable nuits ? »
Je lui répondis avec un sourire « Ohayo, Hayami ! Et oui, j'ai passé une agréable nuit ! » je lui mentais. « Je suis très heureuse que tu es un peu plus d'éducation que c'est deux andouille. » disais-je pointant mon pouce vers les susnommés. « Mais je veux vraiment que tu arrêtes de me vouvoyer. Onegai ! » je me positionnais à moitié en prière.
Il se mit à bégayer et légèrement rougir « Je-je-je ferais de mon mieux... Midori. »
« Yosh ! » j'acquiescé, posant une main sur son épaule gauche.
« Ohayo, minna-san. »
« Ohayo. »
Nous saluaient Shindou et Kirino, visiblement en train d'arriver.
« Ohayo. » Nous répondions en cœur, mais tous avec une intonation qui nous est propre.
« Aoyama et Ichino ne sont pas avec vous ? » demandait Nishiki.
« Non, ils nous ont dit qu'ils étaient déjà arrivés plutôt. » lui répondit Kirino.
« Et Akane-san ? » questionnait Shindou en détournant le regard avec une légère rougeur.
Les bras croisé sur ma poitrine, je souriais « Elle était déjà là à 07H00 pour être sûr de pouvoir voir la liste sans se faire bousculé. »
« Et elle avait raison... » rétorquait Hamano regardant la masse de gens devant le tableau.
« Je te le fait pas dire. » continuait Kurama qui venait de sortir de la foule.
« Kurama-san ?! » Shindou dit étonné.
« Pour une fois que ta taille te sers. » je me moquais.
Il me regardait comme si il voulait me tuer... vous pouvez enlever le ''comme si''. « Si j'étais toi je me terré la carotte géante. »
« Hmf. » je relevais mon menton « M'attaquer sur ma couleur de cheveux... tellement prévisible. »
« Parce-que m'attaquer sur ma taille c'était original peut-être ! » il s'avancé en colère.
Et juste avant que je me mette à le défier à nouveaux, notre Ikemen de service s'interposa entre nous. « Oye ! Calmez-vous ! Cela ne sert à rien ! »
« Hai, hai... Ikemen. » Kurama dit dans un soupire, remettant son sac sur son épaule avant de repartir. Mais il s'arrêta et dit nonchalamment « Oh ! Et Midori. Tu es encore seul dans ta classe cette année. » puis continua sa route « On se voie plus tard. »
Tout le monde le regardait partir, et lorsqu'ils retournèrent au groupe ils me virent étalé sur le sol.
Kirino hésitant demandait « Midori-san... Tu vas bien ? »
Je me relevais précipitamment et l'attrapait par le col « Comment tu veux que ça alle bien ? » je lui répondait en chougnant et le secouant « Je me retrouve de nouveaux seul cette année, alors que vous allez tous probablement être dans la même classe. » je commencé à avoir un visage plus inquiet « Et... à force... petit à petit... VOUS ALLEZ M'OUBLIER ! » je fini en continuant de pleurer et m'affalant dans les bras de Kirino.
Il me tapotait doucement la tête un peu gêné.
Nishiki tout sourire vien vers moi et me donne une grande tape dans le dos, ce qui me fit lâcher Kirino et m'étouffer « Ne t'inquiète pas ! Tu te feras rapidement des amis. » et il continuait de rire comme un idiot. Il ne s'arrête jamais de rire ou quoi ?
Je le regardais d'une façon dépité frottant mon dos, puis Hamano qui c'était enfin réveiller ajouta quelque chose « Et si tu t'inquiètes tellement de te retrouver seul, tu n'as qu'à devenir plus sympathique ! »
Mon attention se tournait vers lui, avec une aura noir autour de moi, et une voix grave, je lui demandais « Oye...Hamano... veux-tu mourir ? »
Il se tourna vers Hayami en me montrant « Tu vois ! Qu'est-ce que je disais. »
J'étais toujours énervé par la remarque dégradante, mais je dois avouer qu'il avait... un peu... raison. Je suis sympathique ! C'est juste que lorsque je suis énervé mes réactions sont légèrement excessives... légèrement. Donc je me tus et partit en direction de ma nouvelle classe.
Hamano légèrement surpris que je ne l'ai pas rembarré me questionna « Tu ne dis rien ? »
Sans m'arrêter ou me retourner je lui fit un signe de la main « Non ! Tu as gagné. »
-x-
Oui pour l'instant il n'y a pas de romance, mais tout viens t'a point à qui sait attendre.
Merci d'avoir lue, désolé pour les fautes d'orthographe, et les reviews font toujours plaisir et encourage.
A la prochaine j'espère.