Harry, ou les Malheurs de la Vertu.
Auteur : Niea Chan
Source : Harry Potter (JK Rowling), et La Nouvelle Justine, ou les Malheurs de la Vertu (Marquis de Sade)
Genre : Yaoi, OOC, Lemon (voire PWP, fort possible), présence de machins qui peuvent rebuter certaines personnes, merci de lire les commentaires.
Couples : Un peu tout le monde X Harry le Prude
Disclaimer : Gniah gniah gniah, les personnages de Harry Potter, y sont pas à moi, ni au voisin, ni aux canards de la rivière en face (qui a dit que je faisais une fixation sur les canards ?), mais a Mme JK Rowling. Elle se fait des kilos de fric dessus, moi rien sur cette fic (a part peut être des insultes) et je me plains pas (a part pour les insultes, ca fait jamais plaisir)(mais d' abord, ya quelqu' un qui lit les Disclaimers ?)
Commentaires : Bon ... Bonbonbon ... Je touche le fond ... Mais là, le très très très fond ... Tout le monde est d'accord la dessus, moi la première. J'aurais presque honte, si je n' étais pas aussi fatiguée ... Bref, c'est après avoir lu (sur mon ordi, 300 pages de word, je les ai senti passer) le bouquin de Mr de Sade, La Nouvelle Justine, que j'ai eu cette idée ... comment dire ... pitoyable ... Mais, j'aime bien écrire des lemons, c'est rigolo, je trouve ... Car oui, ça risque de pas voler très très haut, je tiens à signaler tout de suite. Bref, Harry le Poissard dans le rôle de cette brave Justine à qui il arrive que des malheurs. Je tiens donc à signaler, que cette fic est totalement HS avec le bouquin HP, personne se connait, personne va a Poudlard, personne essaie de casser la gueule à Harry parce qu'il a pas voulu crever quand Voldemort le voulait. Voila. Je ne ferais pas non plus de scène cradingue comme Mr Sade en a fait dans son bouquin (scatophilie, zoologie, et autre machin dans le meme genre, c est pas trop trop mon truc). Je pense que c'est tout.
Ce que vous verrez probablement dans cette fic : Inceste (ce sera prevenu, je precise), viol (la poovre petite chose qu'est Riry dedans va attirer tout les pervers, faut l'excuser, et moi aussi), des lemons en veux tu en voila, des fautes de frappes car j ai toujours pas de correcteur word.
Ce que vous ne verrez pas dans cete fic : Zoophilie , Scatophilie (parce que ca, beurk, Sade en abuse un peu trop je trouve), Chang (ou alors empalée sur un pieu dans un jardin en guise de décoration, comme les nains de jardin), pédophilie étant donné que la plupart des perso vont miraculeusement devenir majeurs ou a la limite évoquée, mais je ne pense pas en mettre quoi.
Au passage, lisez Justine, c'est crade, c'est gore, c'est degueulasse, mais c'est un classique français. Non, je n'essaie pas de détourner d'innocents petits lecteurs du Droit Chemin, et puis perso ça m a bien fait rire quand même parfois. Quoi ? Mon esprit tordu va très bien, merci.
Voila, z'êtes prévenus, ça risque de (se) sauter dans tout les coins. Avez vous bien lu les commentaires et tout le reste ? Si oui, alors, décidez de votre chemin : celui de la Luxure, du Vice et des Bêtises de l'auteur, ou celui de la petite fleche "Revenir a la page precedente" ("Modoru" avec mon beau pc japonais).
Remerciements : A mes betas lectrices, sans qui je ne serais rien (ou plutot, sans qui mes fics ne seraient qu'un immonde tas de fautes, en plus d'etre un immonde tas de betises), Himitsu, Neo Sakura, et Asami Seme. A Mr Sade, pour son bouquin, meme si parfois, je me demande si c'est vraiment des remerciements que ca meriterait (Boubouchi, alors, on censure ? On censure pas ?). A mon Papa, pour m'avoir envoyer un pot de Nutella cette annee. Et surtout, aux personnes qui passeront sur cette page pour lire cette fic !
Prologue :
Notre histoire débute en l'An de Grace 17XX, au coeur des vastes contrés francaises. Dans un couvent, logé dans les campagnes proches de Paris.
Ce couvent, hautement réputé parmi les plus nobles familles du Royaume, abrite en son sein les enfants des riches maisons, sans distinction de sexe.
C'est ici que Harry Potter a vécu les premières années de sa vie, après avoir été confié au couvent par ses parents, grandement occupés par leurs affaires. Harry, âgé de 18 ans, est le plus beau garcon que l'on puisse trouver. Un visage d'ange, agrémenté de grands yeux émeraude, une peau blanche et douce, des cheveux noirs comme de la soie. Le jeune homme possède un corps digne des Dieux, souple et mince. Et tout cela, accompagné d'un caractère charmant et doux.
Le jeune Harry a été place au couvent de Poudlard lors de sa troisième année sur cette terre, afin d'y être éduque, dans tous les arts qui puissent exister. Il se révéla doué dans la plupart des matières que lui enseignaient les moines et les bonnes soeur du couvent, et faisait preuve de la plus grande dévotion qu'il soit donné de voir. Le matin, il était l'un des premiers à se rendre à la prière, et le soir celui qui veillait le plus tard en compagnie des frères.
Rien ne manquait à ce jeune homme parfait, qui ne connaissait ni le malheur, ni la détresse.
A ses côtés depuis sa jeunesse, envoyé au couvent au même moment que lui, se trouvait son cousin, Dudley. Malheureusement pour Dudley, la Mère Nature ne l'avait point doté des même charmes naturels que son cousin, du meme âge que lui.
En effet, le jeune Dudley etait un être que l'on pourrait qualifier de lourdaud. Alors que Harry était la Beauté meme, Dudley etait pourvu de quelques kilos en trop, qui arrondissait les uniformes fournis au couvent. D'une intelligence moyenne, s'il s'en sortait c'était uniquement dû à la bonne grâce et a l'extrême générosité de son cousin, qui acceptait de l'aider dans ses devoirs.
Harry appreciait énormément Dudley, qui s'avérait être un bon compagnon de jeu depuis plusieurs années.
Mais ce que Harry ignorait a propos de son cher cousin, c'était que celui ci etait plongé dans la Luxure depuis bien des années.
La Luxure. Un domaine que Harry connaissait fort peu, pour n'en avoir jamais entendu parler. Les moines les plus sages du couvent se gardaient bien d'en émettre le nom en presence de leurs élèves. De ce fait, Harry ignorait les plaisirs criminels que connaissait son cher Dudley, longtemps tenu dans l'ignorance par la piété de ses maîtres.
Sa seule connaissance de la chose était ce que les moines prêchaient plusieurs fois par jour, concernant le Péché de Chair, l'Enfer, et le Démon. Cela effrayait grandement Harry, qui veillait à ne point penser a cette dépravation, ce vice, qui se trouvait pourtant entre les murs de ce couvent.
Harry vivait donc dans l'ignorance la plus totale du monde qui l'entourait, et s'en accomodait très bien ainsi. Mais, comme tout bonheur, le sien ne pouvait durer.
Un jour, la fatalité lui tomba dessus comme le seau d'eau tombant d'une porte sur la tête de l'infortune qui a eu le malheur de l'ouvrir.
Il fut appelé au bureau de la Mère MacGonagall.
"Mon cher Harry, souffla celle ci avec un désespoir incroyable dans la voix, je me vois dans le malheur de t'annoncer quelque chose de terrible ...
"Qui y a t il donc, ma Mère ? questionna l'innocent jeune homme avec un battement de paupières.
"Mon enfant, tes parents ont rejoint notre Seigneur bien aimé au Paradis ..."
Harry resta interdit quelques secondes, avant de tomber à genoux devant le bureau de la vieille femme, effondré par la nouvelle.
"Harry, pardonne moi de t'informer de telles nouvelles ... Mais celle ci n'est point la seule ... Une autre toute aussi terrible va suivre ..."
Reprenant ses esprits, le jeune homme s'assit avec difficulté sur un siège libre, des larmes dégoulinant sur son beau visage.
"Harry, dans la mort, tes parents, que l'on disait fort riches, ont laisse d'énormes dettes, que le peu de fortune qu'il restait dans leurs coffres ne peuvent rembourser ...
"Ma Mere ...
"Harry, toi et Dudley allez devoir quitter ces lieux."
En effet, cette information était bien aussi terrible que la précédente. En perdant ses parents, ces êtres à qui il devait la vie, il perdait aussi son toit, tout ce qu'il chérissait depuis des années.
Il étouffa un sanglot dans sa main et leva des yeux implorants vers la Mère Supérieure.
"Ma Mère, n'y a t il aucune chance de nous garder ?
"Hélas non, mon enfant, tu connais les frais que nécessite une éducation ici. Mais alors deux ! Je ne peux vous permettre de rester !
"Ma mère, et si nous travaillons ! Pour nous permettre de gagner honnêtement notre toit et notre pain de tout les jours !
"Harry, murmura la veille femme en secouant la tête avec impuissance, tout ce qui est produit par notre Maison, les moines s'en occupent déjà. Nous n'avons pas besoin de davantage de main d'oeuvre."
Le jeune garcon renifla, puis essuya les larmes qui coulaient le long de ses joues roses.
"Harry, mon enfant, crois moi, ce n'est pas de gaieté de coeur que je fais cela. Tu es un de nos élèves les plus assidu, sérieux, et l'un des plus dévoué à notre Seigneur. Je regretterais ton départ de nos murs."
Le jeune garcon lui adressa alors un sourire plein de bravoure, défiant ses larmes et sa tristesse.
"Moi aussi, vous me manquerez, ma Mère. Vous êtes le meilleur Professeur que je n'ai jamais connu. Que Dieu vous garde.
"Que Dieu te garde, mon enfant."
C'est a nouveau en larmes que l'adolescent quitta la pièce. Il se rendit dans ses quartiers, qui avaient été vidés de tout objets de valeur susceptible d'etre revendus pour combler les dettes laissées par les Potter. Il récupéra alors les rares biens qu'il lui restait, fit ses adieux a tout ses compagnons, et quitta le couvent, en compagnie de son cousin.
Ce même cousin qui, loin de se lamenter sur la mort de son oncle et de sa tante, se félicitait plutôt d'être enfin sortit du couvent. Il etait a present en mesure d'appliquer les sciences qu'il appreciait tant.
Ils avaient quitté le couvent depuis quelques heures déjà et marchaient dans la campagne, quand Dudley fit part a son cousin de ses decisions.
"Harry, mon ami, je vais me rendre chez mes parents, afin d'y vivre. Veux tu m'accompagner ?"
Harry s'arrêta a l'ombre d'un saule pour reprendre son souffle apres cette longue marche sous le soleil, et roula des yeux.
"Mon cousin, je te le déconseille fortement. Ils ont une bien mauvaise réputation, celle d'être de grands libertins, c'est d'ailleurs pour cette raison que tu leur as été retiré pour être éduqué dans ce couvent.
"Je le sais bien, annonca alors le garcon en haussant les épaules, c'est d'ailleurs pour cette simple raison que je me rends la bas, afin de rendre honneur a ce culte que je prise."
Harry se tourna alors vers son cousin, les sourcils froncés.
"Qu'essaies tu de me dire la, Dudley ?"
Celui ci lui adressa un sourire coquin, puis installa ses grosses fesses a cotes de celles, menues et délicates de son cousin, sur l'herbe fraiche.
"Harry, je comprends que tu sois malheureux, à cause de la disparition de Tonton James et de Tata Lily, mais la vie continue pour toi. Il ne faut pas te laisser abattre."
Il déposa une main aux doigts grassouillets sur le genou de son voisin, comme pour le réconforter.
"Tu sais, je peux te faire oublier ton malheur. Moi, quand je suis chagriné, je me branle ..."
Sa main glissa lentement entre les cuisses fermes de son cousin, pour aller caresser son entre jambe. Harry resta interdit sous la cajolerie dont il était la victime. Dudley decida alors, par manque de réaction de la part de son cousin, que celui-ci était d'accord avec ses maximes, malgré la grande dévotion dont il avait fait preuve toute sa courte vie durant.
Il déposa un baiser humide sur la gorge du jeune homme, avant de se diriger vers ses lèvres, dans l'intention de s'en emparer. Mais Harry le repoussa violement, ainsi que la main qui avait commence à masser son membre. Le jeune garcon jeta un regard effrayé vers son cousin.
"Dudley ! Comment peut tu me faire de telles propositions ! Ou as tu donc appris de telles horreurs !"
Dudley ricana et passa une main dans son pantalon, pour se caresser lascivement, sans lâcher son compagnon du regard.
"Arrête ca Harry, je croirais presque entendre cette vieille MacGonagall ! Le monde est fait ainsi, mon pauvre cousin naif. Dès que tu mettras les pieds en ville, tu découvriras que tout ce qui t'entoure est fait de vice et de débauche. Tu ne pourras survivre sans t'adapter !
"Je refuse d'entendre de tels propos !"
Et pour appuyer ses paroles, le jeune Harry plaqua ses doigts sur ses oreilles et tourna le dos a son compagnon, qui n'avait cessé ses jeux de doigts sur son sexe durci. Mais il ne pouvait ignorer le comportement que venait d'avoir Dudley a son égard. Ou avait il donc appris de telles horreur !
Il sentit soudain la présence de son cousin à ses cotés et se retourna vivement. En effet, celui-ci se trouvait face à lui à présent, et regardait son compagnon avec un air indechiffrable sur le visage. Il avait interrompu sa masturbation, mais Harry pouvait aisement distinguer la bosse que formait son membre sous ses vêtements.
"Harry, je n'ai ni l'intention de te forcer, ni celle de t'emmener avec moi chez mes parents, si tu ne le désires point. Je te conseille juste de t'adonner au plus vite au plaisir de la Chair, c'est l'unique moyen de survivre en dehors des murs de Poudlard."
Il salua vivement le jeune homme, qui restait encore pantois face à un tel comportement. Mais il se retourna une derniere fois vers lui, alors qu'il s'eloignait en direction d'un village.
"Crois moi, Harry ! Tu n'as pas d'autres choix !"
Puis, il se tourna à nouveau, laissant là un Harry indecis au coeur brisé. Où était donc le gentil et innocent cousin avec qui il jouait quand il etait petit ? Il ne pouvait croire à ces mensonges. Il aurait voulu courir après Dudley pour le supplier à genoux de retirer ses paroles, de lui annoncer que tout cela n'etait que tromperies.
Mais Dudley avait déjà disparu de sa vue.
Il refoula les larmes qui lui brûlaient les yeux et se rassit à l'ombre de l'arbre, afin de réfléchir à sa situation. Il se retrouvait d'un seul coup sans famille , sans ami, sans argent et sans lieu où il pouvait se loger, et il ne savait absolument pas quoi faire. Il ne connaissait aucun autre membre de sa famille, ou alors seulement de nom, et ne pouvait se résoudre à suivre les pas de son cousin pour se rendre chez son oncle et sa tante.
Il frémit au seul souvenir qu'il avait de ces parents, il ne les avait rencontré qu'une unique fois lors de son enfance. L'oncle Vernon était un être imposant, dénué de sensibilité et de douceur, au caractère dur et ferme. De haute taille, cet homme devait peser dans les 100 kilos et ne cachait ni sa richesse, ni sa bonne fortune, en particulier en public. La tante Petunia, à l'inverse de son époux, était une personne sèche, tout en peau et en os, mais tout aussi cruelle et dépourvue de tendresse.
Harry gardait d'eux un souvenir assez effrayant, et ne souhaitait donc pas les rencontrer a nouveau.
Il poussa un profond soupir et regarda les brins d'herbe remuer sous le souffle du vent. Le mieux pour lui serait de se rendre a Paris, afin d'y retrouver la maison de ses parents, et peut-être, ainsi, un être connu, qui pourrait lui venir en aide. Il devait bien exister un confrère, un ami de ses parents, qui saurait se montrer généreux avec lui. Peut être même pourrait il trouver du travail pour survivre.
Revigoré, il se leva, puis, après avoir adressé une longue prière à ce Dieu qu'il chérissait tant, afin d'être à nouveau protége du malheur et de l'infortune, il prit le chemin de Paris d'un pas décidé.
C'est ainsi que commenca le periple de Harry.
A suivre.
Voili, voilou, premier chapitre. Impressions quelconques ? Insultes ? Deces du PC ? Merchi d'agrementer votre lecture d'une petite review si vous avez le temps, ca fait bien plaisir !
