Note de l'auteur :
Ceci est une nouvelle fic en relation sur la vie passée de Lana Andrews qui est présente dans ma fic ''Au- delà du réel''.
J'ai pris ce personnage qui avait vécu une histoire extraordinaire avant son arrivée sur Atlantis et en particulier, dans l'équipe du Colonel Sheppard.
Donc, ce personnage m'appartient mais pas les personnages venant de la série Stargate SG- 1 et Stargate Atlantis.
J'espère qu'elle vous plaira et j'ai déjà hâte de vos nombreuses reviews. A bientôt et bonne lecture. ^^
Lana Andrews Origins
PARTIE I :
Chap. 1
« Mère, non, ne fait pas ça ! MÈRE !, hurla une fillette.
- Jamais vous n'allez pas me prendre ma liberté, Faux dieux !
- Shol'va, tu vas regretter d'avoir osé douter de la puissance d'Apophis et de son armée ! Meurs, Shol'va !
- Tal'shak'amel* ! AAAhhh !
- Mère, non ! »
La femme s'était donné la mort avant que les gardes d'Apophis ne la tuent. Sa fille, quant à elle, fut emmenée en prison, malgré son jeune âge, en attendant que l'on décide de son sort.
(* = Je meurs libre !)
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« AAAAHH ! NOONN ! NE FAITES PAS ÇA !
- Lana, réveille- toi ! C'était un cauchemar, tu n'as plus besoin d'avoir peur. Je suis là, à présent. Calme- toi.
- Oh, Stefan, j'en ai assez de ces horribles cauchemars. J'ai l'impression de devenir folle avec toutes ces images qui défilent dans ma tête !
- Va voir mon amie qui est psychologue ; elle va t'aider, tu verras. »
Lana se blottit contre le torse de son petit ami afin qu'il la réconforte. Cela faisait un certain que la jeune femme était victime de cauchemars étranges.
Le lendemain, Lana alla voir l'amie de Stefan qui était psychologue. En entrant dans le cabinet de la psychologue, elle remarqua que la secrétaire n'était pas là. Lana qui avait rendez- vous, voulut attendre dans son bureau. Mais en entrant, elle vit avec horreur Stefan, son petit ami, et la psychologue s'embrassa ardemment sur la table en bois massif. En colère, elle pesta vers son ex- petit- ami, qu'elle ne voulait plus jamais le voir. Telle une furie, Lana claqua la porte violemment. Elle rentra chez elle, furieuse d'avoir été trompée durant trop longtemps.
Stefan chercha ses affaires dans l'appartement de Lana, le lendemain. Pour l'oublier, Lana se concentra que sur son travail, encore plus que d'habitude. Elle était serveuse dans un restaurant de grillades, au centre- ville.
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La fillette fut dans une cellule avec d'autres personnes. Des gardes ouvrirent soudain la cellule et y jetèrent un homme costaud, de peau mate, avec le signe du Prima d'Apophis sur le front. Les autres prisonniers ne firent pas attention à lui car ils s' avaient qu'il était un shol'va, un renégat. Mais la fillette s'occupa tout de lui, en lui donnant une partie de son repas afin qu'il puisse reprendre des forces. Les deux individus commencèrent à bien s'entendre. L'homme lui conta alors, ses aventures avec un peuple venant d'une lointaine planète, appelée Terre, où il s'est fait de nombreux amis qui viendront le chercher, avec les rebelles Jaffas.
Un jour, les rebelles arrivèrent et réussirent à anéantir Apophis et son armée de loyaux soldats. Ils libérèrent les prisonniers dans les différentes prisons. Tout le peuple Jaffa fut heureux de se dépêtre de l'emprise de ce ''faux dieu''.
L'ami de la fillette la remercia de son aide durant leur captivité. Il devait retourner avec un groupe d'humains vêtus d'uniformes verts qu'il connaissait bien, sur la planète Terre. N'ayant plus de famille, elle les suivit discrètement vers le Chappa'ai. Après qu'ils aient traversé le Grand anneau de Pierre, elle le traversa à son tour.
Dans la base de Cheyenne Mountain, sur Terre, la fillette fut terrifiée en voyant des soldats pointés leurs armes sur la petite clandestine. Ne sachant pas quoi faire, elle essaya de leur dire quelque chose, mais elle ne réussit pas à prononcer le moindre mot. Tout à coup, son ami shol'va vient à sa rescousse ; il expliqua à un homme qui semblait être le chef, qu'elle n'était pas dangereuse pour la base. Le chef décida de la renvoyer sur Chulak, la planète d'où elle venait. Ne voulant pas la laisser seule, son ami la confia à son maître d'armes, Bra'tac qui devait aussi retourner sur Chulak.
Avant de traversée le Chappa'ai, son ami de prison lui promit :
« Ne t'inquiète, Bra'tac va t'emmener dans ton village sain et sauf. Je te promets de te rendre visite bientôt. Je te jure que j'honorerais ma dette envers toi, puisque tu m'as aidé en prison.
- Tu me le promets, Teal'C ? »
Il fit alors un signe de tête qui signifie oui. Triste, la fillette quitta son grand ami, accompagnée de Bra'tac qui l'emmena dans son village où elle fut recueillie par les habitants.
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« Y'a vraiment que des idiots dans ce resto ! Tous des pervers, ces hommes !
- Je suis bien d'accord avec toi, Lana. Le pire, c'est que cette bande de motards pensent s'approprier notre restaurant, avec les serveuses et tout ! Ça commence à m'énerver à la fin !
- Je te le dis, Maggie, je ne resterais pas plus longtemps ici si le patron ne fait rien pour arranger les choses. Un jour, il aura quelque chose de grave et après, ce sera de notre faute !
- C'est clair ; on n'est pas des prostituées tout de même ! S'ils veulent des filles comme ça, ils n'ont qu'à aller dans les pubs pour eux là au moins, ils ne vont pas déranger notre clientèle ! »
Depuis quelque temps, Lana et les autres serveuses durent servir de nouveaux clients réguliers qui faisaient fuir une clientèle plus ''chic et normale''. Elle avait commencé à prendre des cours de self- défense depuis qu'une de leurs collègues de travail avait été retrouvée battue à mort dans un coin de rue, un soir. Elles se doutèrent que cela était l'œuvre de ses hommes vicieux et qui n'ont que des idées salaces en tête.
La nuit, lorsqu'elle dormait, elle fit toujours des rêves avec cette fillette qui semblait venir d'un autre monde. Lana ne crut pas à l'existence de la vie extraterrestre dans l'univers. Mais elle trouvait tout de même bizarre que ses rêves soient tellement réels.
Les jours passèrent tranquillement sans que rien n'interfère dans la vie de Lana. Elle travailla toujours le soir, afin d'éviter en journée les motards qui la dérangeaient, à chaque fois qu'elle passait près d'eux pour servir les autres clients.
Mais un jour, elle croisa la route d'un groupe de quatre personnes qui venait régulièrement déjeuner dans le restaurant.
