Titre: Espoir (je sais c'est très banale mais tant pis!)
Auteur:
La Grande Elvira-baba!
Infos:
Ces personnages de sont évidemment pas à moi, cela va de soit!Ils appartiennent à la célèbre J.K Rowling!
Note:
Les fautes d'orthographe sont affreuses, je suis désolé mais j'essaye de faire de mon mieux!
Prologue:
Rouge, rouge sang, rouge passion ... Cette délicieuse couleur qui caractérise la destruction. Oui, décidément il savoure son tableau couleur carmin. Elle brûle, elle se consume lentement, elle s'effrite sous les coups impitoyables des flammes, la maison est détruit peu à peu arrachant un sourire satisfait au vieil homme posé non loin de là. Vivement qu'il finisse son travail, exterminer tout ces trouble fêtes, ces sales Aurors!La lueur des flammes illumine la nuit sans lune, soudainement un son aigu sort de sa baguette magique. C'était le signal de départ, désormais plus de retour en arrière, juste un avenir remplit de meurtres, de sadisme et de colère trop longtemps contenu. Ses acolytes et lui se rassemblent avec appréhension en voyant débarquer leur machine de guerre se poser lourdement sur la terre. Ses ailes se replient, un grondement retentit en écho avec les cris d'agonie qui sortent de la maison en feu, ce spectacle ils les savourent tous, ce nectar de violence...cette sensation exquise d'être supérieur aux autres. L'excitation monte en flèche dans les membres,chaque muscle, chaque partie du corps de la bête qui trépigne d'impatience, ses pupilles fluorescente reflétant la scène. Le maître voit bien que la bête est à bout, qu'elle est sur le point d'attaquer à nouveau alors il pointe sa baguette sur son jouet, celui qui lui permettra de recommencer le temps de Terreur, le temps du Seigneur des Ténèbres. Un cri de douleur sort de la gueule de la bête, gémissante, douloureuse,elle avait compris le message, elle devait plier l'échine -et c'est ce qu'elle fit sous les ricanements des autres.-
-N'est-ce pas ironique?, fit le maître, La bête de Poudlard s'incline devant nous?
Un homme plus petit que les autres, un regard de fouine sourit avec démence:
-La bête salvatrice de Poudlard sera leur perte! Vite,vite, Darwin, attaquons Poudlard et tout ces Sang-de-Bour...
-Tais-toi!, siffla Darwin avec irritation, avant...Avant d'instaurer la Terreur débarrassons nous des Aurors, ces enquiquineurs, mais je vous prévient, menaça t-il de sa baguette, je m'occupe personnellement du cas d'Harry Potter et personne d'autre!
-Quoi? Non, Darwin tu n'auras pas la gloire à toi tout seul! Tu n'es pas le seul partisans du Seigneur!Et sûrement pas son préféré!
La colère traversa les yeux de Darwin qui se retourna face à face avec l'homme à tête de fouine:
-Ah vraiment? Et toi qu'as-tu de plus que moi? Ce n'est pas toi qui a rassemblé tout ce monde ici, ni toi qui à réussit à trouver la bête, et c'est encore moins toi qui à passé vingt-ans à soumettre la bête! Alors dit moi, Eckert, qui es-tu pour prétendre le droit d'achever le Survivant?...Alors, réponds!
Le fameux Eckert pâlissait à chaque phrase de Darwin, il déglutit difficilement pour lui répondre, il ne l'avouerais jamais mais à cet instant précis, il avait peur, terriblement peur, sa main gauche tremblait nerveusement:
-Ri,rien Darwin... Tu as raison, c'est toi qui achèveras Potter et sa famille... Je me suis laissé aller...
Le maître fit une moue pensive avant de sourire:
-Ce n'est pas grave, je comprends... dit-il lentement.
L'homme à la tête de fouine soupira de soulagement, mais il se crispa quand Darwin qui jouait avec sa baguette reprit la parole:
-Cependant je te trouves bien impertinent Eckert... A en croire je dirais même que tu doutes de moi...
-Non! N-no-non, je ne d-doutes pas de toi, j'ai eu tort!
-C'est vrai tu as eu tort... Quel dommage, je vais devoir me trouver un autre informateur...
De sa baguette, il pointa Eckert qui étouffa un crie de surprise, la bête qui jusqu'à là c'était calmé s'anima soudain:
-Il est temps ma douce de déguster, annonça Darwin, narquois.
Le hurlement d'Eckert mourut dans sa gorge dans un affreux bruit d'étranglement tandis que la bête l'immobilisait, sa gueule s'approchant à grand pas de la poitrine de l'homme qui se débattait. Elle cracha un liquide visqueux de sa gueule avant de plonger ses crocs dans la chairs pour un seul but: arracher le cœur palpitant de sa proie. Les hurlements d'Eckert montaient en crescendo au fur et à mesure que le liquide rongeait sa peau,son corps.
-D'autres volontaire? Dit-le maître, un sourire mesquin peint sur le visage.
La peau d'Eckert tombait en lambeau, toutes les personnes sauf Darwin détournait le regard devant l'atrocité du repas de la bête. Un silence pesant s'installa pendant des minutes qui parurent une éternité pour les autres, avant que la seule femme du groupe pointe du doigt la maison calcinée, alarmé:
-Regardez! Les Aurors, ils sont là! Fuyons!, glapit-elle.
Trop heureux de s'échapper au regard de braise de Darwin, ils transplanèrent tous, tous sauf Darwin il sortit un petit calepin, il barra le nom des Bowen et transplana à son tour. La bête finit sa bouché et s'effaça elle aussi dans l'ombre.
Plus loin, à Londres dans une maison modeste et spacieuse où plus précisément dans la chambre des parents, un homme remua agité de spasmes, le front en sueur, il marmonnait. Puis comme une vieille amie longtemps oublié, son front le tirailla d'abord doucement puis plus vivement,plus insistante, arrachant l'homme au bras de Morphée, il se tenait le front, un gémissement sourd qui sortit sa femme de sa torpeur. Elle alluma la lampe de chevet pour constater que son mari souffrait, le front brûlant.
-...Harry?Hey, Harry qu'est-ce qui a?
-M-mon front... grogna t-il.
Ginny, se mordit les lèvres indécise avant de prendre Harry dans ses bras, le berçant avec tendresse et amour. Bien des minutes s'écoulèrent avant qu'il puisse soupirer de soulagement, la douleur partie:
-Merci,Ginny.
-Je n'ai rien fait, c'est ta cicatrice n'est-ce pas?
Harry opina de la tête soucieux, ça faisait vingt-deux ans que sa cicatrice ne lui avait pas fait aussi mal, et ça ne présageait rien de bon. Oui vraiment rien de bon:
-Tu veux en parler, mon chéri?
-Plus tard... Je suis épuisé.
Sa femme sourit et l'enlaça, la berçant encore une fois, elle aussi elle était soucieuse. Les seules fois où la cicatrice d' Harry c'était manifestée c'était le moment où Lord Voldemort était encore ici.
