Bonjour à tous !!!
Pour ceux qui ont suivi « Cjoisir la bonne école », j'annonçais l'écriture d'une grande saga. Et bien la voici ! Le principe est le suivant : Que se passerait-il si Hermione Granger avait fait l'objet de la prophétie, à la place de notre cher Harry Potter ? En quoi le récit des livres différeraient ? C'est ce que je vous propose de découvrir : certains chapitres seront moins longs que dans les livres originaux, et certaines choses différeront complètement. L'uploade se fera à raison d'un chapitre par semaine, histoire de me laisser le temps ! Miantenant, Ladies and gentlemen, place à .... Hermione Granger et la Pierre philosophale !
Rating : Tout public
Disclamer : Rien à moi, tout à JK Rowling
Hermione Granger et la Pierre philosophale
Chapitre 1 : La survivante.
Un homme de grande taille, les cheveux noirs tombant délicatement sur son visage plutôt séduisant, se tenait devant une maison en ruine. Les flammes léchaient les murs autrefois blanc de cette petite maison de banlieue. Le quartier avait été dévasté quelques minutes auparavant et les sirènes des pompiers londoniens retentissaient en cette nuit sombre d'Halloween.
L'homme s'approcha du pas de la porte en feu et tendit l'oreille. Aucun bruit ne parvenait de la maison. Tous ses occupants avaient succombé à l'attaque meurtrière de Voldemort.
- Pettigrow, tu vas me le payer... ragea Sirius Black, laissant quelques larmes couler sur son visage.
Il transplana aussitôt, avant que les premiers moldus n'arrivent.
Les voitures de police et les camions de pompiers se garèrent dans un crissement assourdissant. Les hommes se déployèrent et les premiers jets d'eau se dirigèrent sur les flammes. Le bruit était tel que deux craquements sonores passèrent pour des poutres qui tombaient parmi les crépitements.
Deux personnes vêtues bizarrement firent apparition au milieu de cette fourmilière humaine. L'une des deux, un vieil homme à la longue barbe blanche, agita un objet en bois en murmurant des paroles latines. Il s'engagea alors avec une vieille femme en direction du maison encore en flamme, et personne ne les remarqua. La femme, arrivée devant les flammes, agita à son tour sa baguette de bois et le feu s'évanouit. Ils entrèrent tous deux dans la maison et observèrent le carnage. Deux corps à moitié calcinés se trouvaient dans ce qui était avant l'incendie un salon. Les yeux des cadavres étaient encore ouverts. Le vieil homme se baissa, et d'un mouvement de la main, les ferma. Il se releva et tendit l'oreille. Des petits cris venait de l'étage.
- Vous avez entendu, Albus ? demanda la femme.
- Oui, Minerva...
Ils se regardèrent un instant, et les cris redoublèrent. Ils se précipitèrent vers les escaliers et montèrent les marche avec hâte. Minerva remarqua une pièce avec la porte ouverte. Elle leva sa baguette, aussitôt imité par son ami et ils entrèrent dans la chambre. Dans un berceau blanc un bébé pleurait. A ses pieds, le cadavre d'une jeune femme brune.
- Oh mon Dieu... laissa s'échapper Minerva.
- Andromeda Tonks... continua Dumbledore.
Minerva se pencha au dessus du berceau et prit le bébé dans ses bras. Pendant ce temps, Albus observait le corps de son ancienne élève.
- Albus... Regardez... murmura Minerva en désignant du menton le front de l'enfant.
Le vieil homme s'approcha et repoussa du bout des doigts une mèche de cheveux et vit une fine cicatrice en forme d'éclair, de laquelle se dégageait une faible lueur verte. Les deux personnes se regardèrent.
- L'avada kedavra... continua Albus tandis que Minerva berçait doucement l'enfant qui avait arrêté de pleurer. Comment a-t-elle survécu ? Où est Voldemort ?
A ce nom, Minerva tressaillit.
- Mon cher professeur, quelqu'un d'aussi raisonnable que vous ne devrait pas hésiter à prononcer son nom, ne croyez-vous pas ?
- On en discutera plus tard, Dumbledore ! répliqua sèchement McGonagall.
Dumbledore ferma les yeux un moment, tandis que le bébé gazouillait en essayant d'attraper les cheveux de McGonagall.
- Il est mort... finit par lâcher le vieil homme.
- Vous plaisantez ?
- En tout cas, il a disparut, et n'a plus aucune forces magiques. Il est mort, Minerva.
- Mais... Comment ? demanda McGonagall.
Dumbledore ne répondit pas de suite et observa le bébé, qui en profita pour attraper la barbe du vieil homme. Albus sourit.
- C'est l'adorable bout de chou que vous tenez dans vos bras qui nous en a débarrassé, finit par dire Albus en chatouillant le menton du bébé qui se mit à rire. Il faut partir maintenant. Ramenons cet adorable trésor à Poudlard. Je demanderai à Hagrid d'aller chercher Ted et Nymphadora.
- Vous êtes entrain de me dire qu'un bébé de un an a survécu à l'avada kedavra et a réduit à néant un des plus grand sorcier du monde ?
- Il semblerait.
- Après tout les gens qu'il a tué, il n'a pas réussit à tuer une petite fille ? C'est stupéfiant. Mais, Par Merlin, comment a-t-elle fait pour survivre ?
- On ne peut faire que des suppositions, on ne sauta peut-être jamais... Allez, il faut partir maintenant. Les moldus ne vont pas tarder.
Les deux personnes disparurent en un craquement sonore, emmenant avec eux le petit bébé.
- Professeur Dumbledore, est-ce vrai ?
Assis autour d'une table, Dumbledore présidait une réunion, Minerva a sa droite berçant l'enfant qui s'était endormie.
- Oui James, Voldemort a enfin disparut, en entraînant les parents et la tante d'Hermione.
- Ma femme est morte ? demanda Ted Tonks incrédule.
- Oui... Je suis désolé, répliqua doucement Albus en regardant tristement Nymphadora qui sanglotait dans les bras de son père.
- Mais... Comment Vous-Savez-Qui a-t-il fait pour savoir ? demanda une jeune femme aux yeux verts.
- Il faudrait que leur gardien du secret les ait trahi et c'est impossible ! s'exclama James.
McGonagall jeta un regard appuyé à James Potter, qui se laissa tomber sur son fauteuil. Il se sentait las, fatigué.
- Les aurors sont à sa poursuite, répliqua doucement Dumbledore. Le tout maintenant est de savoir ce que nous allons faire d'Hermione Granger... Ted ?
- Je sais que c'est ma nièce, mais je viens de perdre ma femme et ma sœur, alors je ne me sens pas le courage de...
L'homme se tut, ne pouvant continuer.
- Je comprend, répondit doucement Dumbledore. Et auriez-vous un frère ou une sœur moldue qui sera apte à recueillir votre nièce ?
- Peut-être mon frère... Il est célibataire, un peu illuminé, mais je pense qu'il voudra bien s'en occuper... murmura Ted d'une voix brisée.
- Mais professeur Dumbledore, pourquoi voulez-vous que ce bébé ne grandisse pas dans un environnement magique ? demanda James étonné.
- C'est vrai ! Je suis sure qu'elle et Harry s'entendraient très bien, poursuivit Lily.
- Pour la bonne raison que dès demain matin, le monde entier connaîtra son nom. J'aimerai qu'elle grandisse paisiblement, loin de tout ça, répondit doucement Dumbledore. Bin, l est temps d'emmener cette chère petite chez son oncle.
Dumbledore s'approcha de Minerva et chatouilla le menton de la petite fille. Cette dernière attrapa la barbe du vieux sorcier et tira un coup sec en faisant un grand sourire. Albus se mit à rire, puis transplana avec Minerva et Ted.
- Non mais vraiment, ils ne sont pas très discret... ralait Minerva en apparaissant en un craquement sonore.
- Laissez-les éclater leur joie, professeur McGonagall. En 13 ans, c'est la première occasion qu'ils ont de...
- Oui, mais ils vont se faire remarquer par les moldus... coupa la vieille femme.
Dumbledore se releva pas et se tourna vers Ted.
- Vous êtes sur... commença le vieux sorcier.
- Oui Albus. Cela fait des années que je ne l'ai pas vu. Le mieux, c'est de déposer Hermione, de joindre la lettre et de disparaître aussi rapidement que nous sommes venu.
- Bien... soupira le directeur.
Minerva posa sur le pas de la porte le bébé qui gazouillait et lui fit une petite bise sur le front.
- Nous nous reverrons dans dix ans... A bientôt Hermione... murmura le professeur animagus en tentant de cacher l'émotion qui perçait dans sa voix.
Le bébé, qui semblait comprendre ce qui se passait commença à pleurer. Les lumière du premier étage de la maison du frère de Ted s'allumèrent aussitôt.
- Nous devons partir... paniqua Ted.
Il transplana, imiter quelques secondes après par Dumbledore. McGonagall s'éloigna rapidement, se métamorphosa en chat et se cacha dans un buisson. Le bébé continua de pleurer, jusqu'à ce que la porte de l'entrée s'ouvre. Un homme d'une trentaine d'année, brun, les yeux ensommeillés, regarda d'un air éberlué le pas de sa porte. Il se saisit de l'enfant, le tenant maladroitement, et décacheta la lettre.
- Oh ben mince alors... murmura-t-il quelques instants plus tard en rangeant le parchemin dans la poche de son pyjama.
Il regarda le bébé qui essayait d'attraper ses cheveux.
- Il va falloir qu'on vive ensemble... Ca te dérange pas ?
La petite fille gazouilla joyeusement.
- Ca tombe bien, moi non plus. Bon, on va dormir ? Allez Oncle Dave va te coucher...
Le moldu ferma la porte après avoir jeter un coup d'œil à la rue déserte. Minerva reprit forme humaine et observa la maison de David Tonks encore quelques minutes.
- Bonne chance, Hermione... murmura-t-elle avant de transplanner.
A ce moment là, des milliers de personnes dans le pays levaient leur verre en scandant : « A le santé de Hermione Granger, la survivante ! »
J'espère que ça vous a plu !! n'hésitez pas à me donner vos critiques et commentaires par reviews !
Bisous, et à vendredi prochain pour un nouveau chapitre,
Link9
Pour ceux qui ont suivi « Cjoisir la bonne école », j'annonçais l'écriture d'une grande saga. Et bien la voici ! Le principe est le suivant : Que se passerait-il si Hermione Granger avait fait l'objet de la prophétie, à la place de notre cher Harry Potter ? En quoi le récit des livres différeraient ? C'est ce que je vous propose de découvrir : certains chapitres seront moins longs que dans les livres originaux, et certaines choses différeront complètement. L'uploade se fera à raison d'un chapitre par semaine, histoire de me laisser le temps ! Miantenant, Ladies and gentlemen, place à .... Hermione Granger et la Pierre philosophale !
Rating : Tout public
Disclamer : Rien à moi, tout à JK Rowling
Hermione Granger et la Pierre philosophale
Chapitre 1 : La survivante.
Un homme de grande taille, les cheveux noirs tombant délicatement sur son visage plutôt séduisant, se tenait devant une maison en ruine. Les flammes léchaient les murs autrefois blanc de cette petite maison de banlieue. Le quartier avait été dévasté quelques minutes auparavant et les sirènes des pompiers londoniens retentissaient en cette nuit sombre d'Halloween.
L'homme s'approcha du pas de la porte en feu et tendit l'oreille. Aucun bruit ne parvenait de la maison. Tous ses occupants avaient succombé à l'attaque meurtrière de Voldemort.
- Pettigrow, tu vas me le payer... ragea Sirius Black, laissant quelques larmes couler sur son visage.
Il transplana aussitôt, avant que les premiers moldus n'arrivent.
Les voitures de police et les camions de pompiers se garèrent dans un crissement assourdissant. Les hommes se déployèrent et les premiers jets d'eau se dirigèrent sur les flammes. Le bruit était tel que deux craquements sonores passèrent pour des poutres qui tombaient parmi les crépitements.
Deux personnes vêtues bizarrement firent apparition au milieu de cette fourmilière humaine. L'une des deux, un vieil homme à la longue barbe blanche, agita un objet en bois en murmurant des paroles latines. Il s'engagea alors avec une vieille femme en direction du maison encore en flamme, et personne ne les remarqua. La femme, arrivée devant les flammes, agita à son tour sa baguette de bois et le feu s'évanouit. Ils entrèrent tous deux dans la maison et observèrent le carnage. Deux corps à moitié calcinés se trouvaient dans ce qui était avant l'incendie un salon. Les yeux des cadavres étaient encore ouverts. Le vieil homme se baissa, et d'un mouvement de la main, les ferma. Il se releva et tendit l'oreille. Des petits cris venait de l'étage.
- Vous avez entendu, Albus ? demanda la femme.
- Oui, Minerva...
Ils se regardèrent un instant, et les cris redoublèrent. Ils se précipitèrent vers les escaliers et montèrent les marche avec hâte. Minerva remarqua une pièce avec la porte ouverte. Elle leva sa baguette, aussitôt imité par son ami et ils entrèrent dans la chambre. Dans un berceau blanc un bébé pleurait. A ses pieds, le cadavre d'une jeune femme brune.
- Oh mon Dieu... laissa s'échapper Minerva.
- Andromeda Tonks... continua Dumbledore.
Minerva se pencha au dessus du berceau et prit le bébé dans ses bras. Pendant ce temps, Albus observait le corps de son ancienne élève.
- Albus... Regardez... murmura Minerva en désignant du menton le front de l'enfant.
Le vieil homme s'approcha et repoussa du bout des doigts une mèche de cheveux et vit une fine cicatrice en forme d'éclair, de laquelle se dégageait une faible lueur verte. Les deux personnes se regardèrent.
- L'avada kedavra... continua Albus tandis que Minerva berçait doucement l'enfant qui avait arrêté de pleurer. Comment a-t-elle survécu ? Où est Voldemort ?
A ce nom, Minerva tressaillit.
- Mon cher professeur, quelqu'un d'aussi raisonnable que vous ne devrait pas hésiter à prononcer son nom, ne croyez-vous pas ?
- On en discutera plus tard, Dumbledore ! répliqua sèchement McGonagall.
Dumbledore ferma les yeux un moment, tandis que le bébé gazouillait en essayant d'attraper les cheveux de McGonagall.
- Il est mort... finit par lâcher le vieil homme.
- Vous plaisantez ?
- En tout cas, il a disparut, et n'a plus aucune forces magiques. Il est mort, Minerva.
- Mais... Comment ? demanda McGonagall.
Dumbledore ne répondit pas de suite et observa le bébé, qui en profita pour attraper la barbe du vieil homme. Albus sourit.
- C'est l'adorable bout de chou que vous tenez dans vos bras qui nous en a débarrassé, finit par dire Albus en chatouillant le menton du bébé qui se mit à rire. Il faut partir maintenant. Ramenons cet adorable trésor à Poudlard. Je demanderai à Hagrid d'aller chercher Ted et Nymphadora.
- Vous êtes entrain de me dire qu'un bébé de un an a survécu à l'avada kedavra et a réduit à néant un des plus grand sorcier du monde ?
- Il semblerait.
- Après tout les gens qu'il a tué, il n'a pas réussit à tuer une petite fille ? C'est stupéfiant. Mais, Par Merlin, comment a-t-elle fait pour survivre ?
- On ne peut faire que des suppositions, on ne sauta peut-être jamais... Allez, il faut partir maintenant. Les moldus ne vont pas tarder.
Les deux personnes disparurent en un craquement sonore, emmenant avec eux le petit bébé.
- Professeur Dumbledore, est-ce vrai ?
Assis autour d'une table, Dumbledore présidait une réunion, Minerva a sa droite berçant l'enfant qui s'était endormie.
- Oui James, Voldemort a enfin disparut, en entraînant les parents et la tante d'Hermione.
- Ma femme est morte ? demanda Ted Tonks incrédule.
- Oui... Je suis désolé, répliqua doucement Albus en regardant tristement Nymphadora qui sanglotait dans les bras de son père.
- Mais... Comment Vous-Savez-Qui a-t-il fait pour savoir ? demanda une jeune femme aux yeux verts.
- Il faudrait que leur gardien du secret les ait trahi et c'est impossible ! s'exclama James.
McGonagall jeta un regard appuyé à James Potter, qui se laissa tomber sur son fauteuil. Il se sentait las, fatigué.
- Les aurors sont à sa poursuite, répliqua doucement Dumbledore. Le tout maintenant est de savoir ce que nous allons faire d'Hermione Granger... Ted ?
- Je sais que c'est ma nièce, mais je viens de perdre ma femme et ma sœur, alors je ne me sens pas le courage de...
L'homme se tut, ne pouvant continuer.
- Je comprend, répondit doucement Dumbledore. Et auriez-vous un frère ou une sœur moldue qui sera apte à recueillir votre nièce ?
- Peut-être mon frère... Il est célibataire, un peu illuminé, mais je pense qu'il voudra bien s'en occuper... murmura Ted d'une voix brisée.
- Mais professeur Dumbledore, pourquoi voulez-vous que ce bébé ne grandisse pas dans un environnement magique ? demanda James étonné.
- C'est vrai ! Je suis sure qu'elle et Harry s'entendraient très bien, poursuivit Lily.
- Pour la bonne raison que dès demain matin, le monde entier connaîtra son nom. J'aimerai qu'elle grandisse paisiblement, loin de tout ça, répondit doucement Dumbledore. Bin, l est temps d'emmener cette chère petite chez son oncle.
Dumbledore s'approcha de Minerva et chatouilla le menton de la petite fille. Cette dernière attrapa la barbe du vieux sorcier et tira un coup sec en faisant un grand sourire. Albus se mit à rire, puis transplana avec Minerva et Ted.
- Non mais vraiment, ils ne sont pas très discret... ralait Minerva en apparaissant en un craquement sonore.
- Laissez-les éclater leur joie, professeur McGonagall. En 13 ans, c'est la première occasion qu'ils ont de...
- Oui, mais ils vont se faire remarquer par les moldus... coupa la vieille femme.
Dumbledore se releva pas et se tourna vers Ted.
- Vous êtes sur... commença le vieux sorcier.
- Oui Albus. Cela fait des années que je ne l'ai pas vu. Le mieux, c'est de déposer Hermione, de joindre la lettre et de disparaître aussi rapidement que nous sommes venu.
- Bien... soupira le directeur.
Minerva posa sur le pas de la porte le bébé qui gazouillait et lui fit une petite bise sur le front.
- Nous nous reverrons dans dix ans... A bientôt Hermione... murmura le professeur animagus en tentant de cacher l'émotion qui perçait dans sa voix.
Le bébé, qui semblait comprendre ce qui se passait commença à pleurer. Les lumière du premier étage de la maison du frère de Ted s'allumèrent aussitôt.
- Nous devons partir... paniqua Ted.
Il transplana, imiter quelques secondes après par Dumbledore. McGonagall s'éloigna rapidement, se métamorphosa en chat et se cacha dans un buisson. Le bébé continua de pleurer, jusqu'à ce que la porte de l'entrée s'ouvre. Un homme d'une trentaine d'année, brun, les yeux ensommeillés, regarda d'un air éberlué le pas de sa porte. Il se saisit de l'enfant, le tenant maladroitement, et décacheta la lettre.
- Oh ben mince alors... murmura-t-il quelques instants plus tard en rangeant le parchemin dans la poche de son pyjama.
Il regarda le bébé qui essayait d'attraper ses cheveux.
- Il va falloir qu'on vive ensemble... Ca te dérange pas ?
La petite fille gazouilla joyeusement.
- Ca tombe bien, moi non plus. Bon, on va dormir ? Allez Oncle Dave va te coucher...
Le moldu ferma la porte après avoir jeter un coup d'œil à la rue déserte. Minerva reprit forme humaine et observa la maison de David Tonks encore quelques minutes.
- Bonne chance, Hermione... murmura-t-elle avant de transplanner.
A ce moment là, des milliers de personnes dans le pays levaient leur verre en scandant : « A le santé de Hermione Granger, la survivante ! »
J'espère que ça vous a plu !! n'hésitez pas à me donner vos critiques et commentaires par reviews !
Bisous, et à vendredi prochain pour un nouveau chapitre,
Link9
