Note de l'auteur:
Bonjour,
Cela fait quelques temps que ça me démangeais de me tenter à écrire toutes ces histoires qui me trottent dans la tête. Alors aujourd'hui je me lance,j'espère que cela vous plaira. Je m'excuse par avance des fautes d'orthographes qu'il peut y avoir dans cette histoire.
En espérant que cela vous plaise ;)
Le soleil tapait fort en cette après-midi d'Août et cela faisait des semaines qu'il n'avait pas plut. Lizzie savait qu'elle devait trouver de l'eau au plus vite ou alors elle ferait bientôt partis des walkers.
Elle marchait depuis des heures maintenant mais cela semblait vain, il n'y avait pas l'once d'une flaque d'eau à l'horizon. Elle se résigna donc à rebrousser chemin en direction de son campement. Demain il faudra changer de zone se dit-elle, il n'y avait plus rien ici.
Lorsqu'elle arriva devant la petite maison de chasseur qui lui servait d'abris depuis quelques jours, la porte d'entrée s'ouvrit brusquement sur un petit garçon haut comme trois pommes.
- Tu es rentré ! Tu es rentré ! S'écria le gamin en sautant les trois marches qui le séparait du sol avant de s'élancer vers elle.
- Combien de fois t'ais-je dis de ne jamais sortir de la maison en criant, le réprimanda la jeune femme.
Malgré ses remontrances Lizzie étais heureuse de voir son petit homme.
Cela faisait un an maintenant qu'elle avait trouvé Peter errant seul sur la route. Le gamin ne devait pas avoir plus de 4 ou 5 ans et elle le savait condamné si elle le laissait. Au début, c'est par refus de perdre la dernière once d'humanité qu'il y avait en elle qu'elle le recueilli et le protégea. Puis au fil des jours elle s'attacha à l'enfant et même si elle ne voulait pas le reconnaître, elle le considérait comme le sien et donnerai sa vie pour lui.
- Pardon, je suis désolé répondit le gamin en baissant la tête.
Voyant qu'elle avait peut-être été trop sévère, Lizzie s'abaissa à sa hauteur plaça son index sous le menton de Peter et le remonta doucement vers elle de tel sorte à ce qu'il la regarde dans les yeux.
- Tu sais bien que ce n'est pas pour t'embêter toutes mes règles, lui expliqua t'elle tendrement, si les monstres t'entendent ils vont venir et je ne pourrait peut-être pas te protéger mon trésor. Je ne veux pas qu'il t'arrive quelque chose, je tiens beaucoup à toi tu sais. Tu comprends ?
- Oui je comprends mais il y a Tango, il me protège non ?
Tango était le chien de Lizzie bien avant l'apocalypse. C'était un boxer très obéissant et extrêmement fidèle. Lorsqu'elle allait chasser ou chercher de l'eau elle le laissait avec l'enfant comme protecteur, elle avait toute confiance en lui.
Son chien venait d'ailleurs vers elle pour la saluer.
- Oui bien sûr qu'il te protège, dit elle en caressant la tête du canidé, et il donnerait sa vie pour toi, mais est-ce une raison pour risquer la sienne ? Tu doit être plus prudent, s'il te plaît promet moi que tu vas faire attention.
- Oui, je te le promet. , après quelques instant de réflexion il reprit, un jour je vais devenir grand et fort tu sais, et ce jour là, c'est moi qui vais te protéger.
Devant une tel déclaration elle eu les larmes aux yeux et le serra très fort dans ses bras. Elle espéra alors de toute ses forces que son petit bout de chou vive assez longtemps pour voir ce jour arriver.
Mais il semblait que leur moment de tendresse n'était pas destiné à durer. En effet, Lizzie pouvait entendre ces grognements si caractéristiques qui l'empêchaient de dormir sur ses deux oreilles la nuit. Elle leva brusquement la tête pour prendre conscience avec horreur qu'une vingtaines de walkers approchaient dans leur direction.
Sachant qu'elle ne faisait pas le poids en vue du nombre, elle positionna l'arc qu'elle avait à la main dans son dos, pris Peter dans ses bras et se mis à courir dans la direction opposé. Elle traversa la forêt aussi vite qu'elle pu, Tango sur ses talons. Après un quart d'heure de course effrénée elle arriva devant de grandes grilles imposantes entourant un près vierge de tout mort-vivants.
Alors que tout espoir semblait perdu, le ciel semblait avoir eu pitié d'elle.
