Bonjours cher lecteurs !
Note de l'auteur : Tout d'abord je vous souhaite la bienvenu sur le premier chapitre de ma première fanfiction consacrer à l'univers Harry Potter. Je m'excuse déjà pour les éventuelles fautes d'orthographes, grammaire et conjugaison que j'aurais laisser en chemin. J'espère juste que cela ne détruira pas l'histoire. Je sais que ce genre de thème est très apprécier de certain et qu'il existe bon nombres de fanfictions sur le même thème que celle-ci, mais qu'elle saura se démarquer des autres, j'essaye de ne pas être trop prévisible même si c'est parfois compliquer de ne pas l'être lorsque l'on connait bien Voldemort, on peut imaginer que son enfant risque d'être comme lui,... Pour mon héroïne, cela va s'avérer plus compliquer, en écrivant chaque chapitre, je m'aperçois que Theodora est complexe, par les stades de ses humeurs, un vrai ascenseur émotionnel, ou de par son caractère, de ses amitiés et de son ascendances familiale. Le premier tome sera suivit de quatre autres tomes qui j'écris quasiment en même temps que celui-ci au rythme de mes idées.
Disclaimer : Les personnages, certains passages de l'histoire et l'univers sont l'oeuvre de JK Rowling. Theodora, ses amis et sa famille, ainsi que l'histoire sont de mon imagination. Toute ressemblance avec un autre personnages de fiction serait purement improbable. Ce chapitre contient énormément de passage du roman d'origine.
N'hésitez pas à laisser une petite Review,je ne mord pas et sa fait toujours plaisir, mettre cette histoire dans vos favoris et à la suivre, tout ce qui peut faire avancer un jeune auteur comme moi.
Je vous laisse avec ce premier chapitre en espérant que vous aimerez cette histoire!
Bisous, Emy
Chapitre 1
La nuit où tout bascula...
Dans la nuit du 31 octobre, une femme courait à travers les bois qui menait à la maison de son enfance. Il était tombé... Le monde des sorciers seraient en liesse demain au réveil, par l'annonce dans les différents journaux. Et à ce moment-là, la liste des personnes qui avait travaillé pour lui serait dévoilé, il y aura son nom en tête de liste, elle qui l'avait épousé, elle qui lui avait donné un héritier. Tout ce qu'elle espérait c'était que l'enfant allait bien, que le mot laisser par son père n'était pas un piège tendu par son frère. Elle ne savait plus à qui faire confiance. Courant à en perdre haleine, il fallait qu'elle arrive là-bas avant les aurors du Ministère, sinon le bébé risquait de perdre la vie, et elle finirait sa vie à Azkaban, devenant complètement folle parce qu'elle n'avait pas pu protéger son bébé.
Deux hommes apparurent devant elle. Brandissant sa baguette, elle hurla :
- STUPEFIX!
Une lumière rouge sortie de la baguette et heurta les deux hommes qui furent projetés dans les airs. Continuant sa course folle, elle aperçut enfin les grilles et accéléra dans un ultime effort. Elle franchit le portail et prononça une autre formule pour la verrouiller. Elle courut alors jusqu'à la porte, l'ouvra avec une nouvelle formule, entra et la ferma en se reposant contre son battant, pour reprendre son souffle.
Le manoir Hollowitz, ne lui avait jamais semblé aussi sombre. Elle passa, dans l'immense hall et se dirigea vers le salon. Une faible lumière éclairait la pièce et un homme se dressait devant la cheminée, parlant à voix basse avec l'elfe de maison qui travaillait pour sa famille. Elle entra brusquement dans le salon en brandissant sa baguette sur l'intrus. Il était grand, un peu plus âgé qu'elle, ses yeux d'un bleu océan déroutant, ses cheveux bruns en bataille et portaient un petit tas de couverture dans ses bras.
- Oh, du calme, Nyme! S'exclama-t-il. Range ta baguette, je sais que tu as appris pas mal de tours avec lui mais ce n'est pas une raison pour la pointer sur moi.
- Je ne la baisserai que lorsque je serai sûre que c'est toi? Répliqua-t-elle.
L'ombre d'un sourire se fit discrète sur le bout de ses lèvres. Le petit tas de couverture gesticulèrent doucement dans les bras de l'homme qui la berça doucement.
- Très bien Nyme. Tu es née un 24 décembre, tu as épousé Tom Jedusor ou plutôt Voldemort le 15 Octob...
- TOUS LE MONDE LE SAIT! Hurla-t-elle en se rapprochant de lui la baguette brandie sur sa poitrine.
- C'est vrai tout le monde le sait. Mais est-ce que tout le monde sait que je t'ai offert une chouette en peluche blanche comme la neige, le jour de tes 6 ans parce que tu faisais des cauchemars horribles la nuit. Je dois raconter le rêve...
- Non ça ira, Alaric, soupira-t-elle en abaissant sa baguette.
Elle alla se blottir dans les bras de son frère qu'elle sera comme si sa vie en dépendait. Lorsqu'elle défit son étreinte, elle prit le petit tas de couverture et retrouva la chaleur familière de son bébé. La petite dormait paisiblement, sans se douter que dans quelques heures, à son réveil, ce ne sera pas sa mère qui la tiendrait dans ses bras, qu'elle ne pourrait pas traîner son père dans toutes les pièces du domaine des Jedusor, comme elle le faisait depuis qu'elle commençait à marcher. Nyme, n'arrivait pas à concevoir que son enfant allait grandir sans parents, juste avec sa tante et son oncle. Elle s'en voulait de ne pas avoir retenu son époux tant qu'elle le pouvait, pourtant elle savait qu'elle avait essayé de le raisonner, de lui faire comprendre que ce n'était sûrement pas la prophétie en entier. Que le petit Potter, ne possédait aucun grand pouvoir. Elle avait même tenté de lui faire comprendre qu'elle avait besoin de lui, mais rien n'avait changé à son esprit borner et ivre de pouvoir, sa meilleure amie et son mari étaient morts par sa faute et si ça trouve leur enfant aussi.
- Gweenie, prépare du thé, on va en avoir besoin, dit son frère calmement.
La jeune femme, s'assit sur le fauteuil que son père occupait très souvent, elle ne fit même pas attention à l'elfe qui était sortis de la pièce et de son frère qui s'était assis dans le fauteuil d'en face et qui la regardait. Observant sa fille, étudiant chaque trait de son petit visage rond jusqu'aux petites boucles brunes de ses cheveux qui s'étaient mis à faire des boucles quand elle eut neuf mois. À quoi allait-elle ressembler à ses onze ans? Est-ce qu'elle la verrait découvrir qui elle était? Est-ce qu'elle connaîtrait la joie de la voir recevoir sa lettre pour Poudlard? Est-ce qu'elle lui ressemblera? Tant de question encombrait son esprit.
- Est-ce que Lily, James et Harry sont vivants? demanda-t-elle sans lâcher sa fille du regard.
- Lily et James, n'ont pas survécu.
- Et Harry?
- Nyme, le petit Potter est en vie. Je suis désolé pour Lily... je sais que vous étiez proche à Poudlard.
Elle regarda son frère, il était désolé pour elle. Comment pouvait-il être désolé? C'était de sa faute si le petit Harry allait grandir sans ses parents. Elle posa ensuite son regard sur la cheminée ancienne. Alaric semblait inquièt pour elle et jetait des regards toutes les deux minutes à la portes qui menait au vaste hall. L'elfe de maison revint avec un plateau avec quatre tasses de thé. Elle en tendit une à Alaric en prononçant, un " tenez maître" d'une douceur incroyable. Nyme savait que sa famille l'avait toujours bien traiter, même quand Celui-Dont-On-Ne-Doit-Pas-Prononcer-Le-Nom était encore au pouvoir il y avait quelques heures de cela. Gwennie s'approcha ensuite de Nyme avec la deuxième tasse.
- Voulez-vous que je prenne le bébé, Maîtresse? Demanda Gweenie dans un murmure à peine audible.
Nyme tandis le petit tas de couverture à l'elfe, qui la prit avec la plus grande précaution - comme une bombe qui serait sur le point d'exploser. Le bébé dormait toujours dans les bras de l'elfe aux yeux bleus énorme, lorsqu'elle posa le regard sur la petite, le corps de l'elfe se détendit et montra un sourire doux, la balançant doucement de son petit corps et de sa voix petite aiguë, lui chantait des petites chansons que les sorciers connaissaient. La jeune femme, sourit légèrement, elle pensait que Gweenie aurait fait une bonne nourrisse en sachant que la mère de cette dernière s'était occupé d'elle et de ses frères étant enfants après la mort de leur mère. Elle redressa la tête vers le portrait de sa mère, qui caressait doucement le visage de leur père endormi sur ces genoux. Et la réalité la rattrapa encore une fois.
- Père à étai tué par un Auror durant la chute? demanda-t-elle à son frère.
- Pas tout à fait... Il était parti récupérer Théodora afin d'éviter qu'un Auror ne la trouve et ne la tue en pensant qu'elle est une menace potentielle pour la communauté des sorciers. Il a été dans la demeure que tu occupais avec lui et a trouvé Théodora dans sa chambre, elle dormait profondément. Je m'y suis rendu parce qu'il m'avait envoyé un message ou il était écrit que je devais protéger ta fille d'elle.
- Elle?
- Oui, elle est arrivé deux minutes après nous et à tenter d'enlever la petite des mains de père. Mais il me l'a confié et a brandi sa baguette vers elle et m'a dit de fuir et que son sacrifice ne sera pas vain s'il devait mourir. Quand je suis arrivé, il était dans le tableau endormi sur les genoux de notre mère. J'ai compris qu'il avait perdu son combat face à elle.
- Qui dans les mangemorts, qui le suivait aurait voulu la mort de la petite?
- Tu n'as pas une petite idée, Nyme? Qui est la seule femme qui te déteste au point de vouloir te voir morte? Qui est l'autre femme qui convoitait dans l'ombre ton époux mais à épousé un autre quand elle a compris son obsession pour toi? Qui te déteste au point d'avoir essayé de faire de ta vie un vrai cauchemar à Poudlard et aussi hors? Qui veut voir l'héritière de Voldemort morte pour te causer la plus grande souffrance?
Nyme savait de qui il parlait évidemment, cette horrible bonne femme qui passait son temps à se rapprocher de lui, mettant toujours en doute ses paroles, c'est elle qui l'avait convaincu que le petit Potter était une menace et qu'il devait faire quelque chose. Sa sous-lieutenante, cette sale garce, rien que de penser à cette femme, Nymphadora avait des envies de meurtre
- Bellatrix Lestrange! siffla-t-elle haineusement.
- Je vois que tu réfléchis vite. Tu n'as pas perdu ta vivacité d'esprit, dit Alaric en souriant.
Mais sa sœur ne souriait plus. Il savait que Bellatrix était secrètement amoureuse de Voldemort, et qu'elle faisait tout pour ce faire remarqué de lui. Malheureusement, elle s'était résigné à l'admettre que ce dernier ne l'aimait pas et lorsqu'elle a découvert l'obsession du Seigneur des ténèbres pour Nymphadora, sa rage envers elle, fût d'autant plus grande lorsqu'il l'épousa et qu'elle lui donna un héritier - ou plutôt une héritière. Alaric, voyait la haine profonde que Bellatrix inspirait à sa sœur, sur son visage qui s'était durci par la colère et la jalousie.
- Nyme... Tout va bien? demanda Alaric inquiet.
La jeune femme, se ressaisit.
-Oui, j'espère qu'ils vont l'attraper cette folle, cracha Nymphadora
Nymphadora se leva du fauteuil après avoir posé sa tasse de thé vide sur la table basse. Elle s'approcha de la cheminée de marbre et regarda les différentes photos qui y étaient posées. Les quatre enfants de la famille Hollowitz posant devant le lac chacun avec une écharpe différente. Une photo de leur mère avec eux. Ou encore une photo de toute la famille réunie devant le Sapin de noël lorsqu'ils étaient enfants. Elles avaient tant de souvenir dans cette maison, et au bord de la cheminée se trouvait une photo de leurs parents à leur mariage et juste à côté celle de son père aux côtés d'un jeune homme plus que séduisant, très attirant, des cheveux bruns et son regard noir profond et intense. Déjà à cet âge, Tom Jedusor respirait le pouvoir et surtout une forte assurance. Le jeune homme la regardait avec un sourire en coin comme s'il avait un secret qu'eux seuls connaissaient. Elle prit la photo sur la cheminée et la regarda en frottant sa main contre le verre sur l'image d'un Tom Jedusor au sommet de la perfection masculine. Alaric se rapprocha de sa sœur et regarda la photo par-dessus son épaule et à leurs grandes stupeurs le visage de ce dernier s'était durci à l'arrivée de son frère.
- Tu imagines que s'il n'avait pas tourné aussi mal, la vie de la petite aurait pu être différente.
- Si seulement cela avait été le cas. J'ai essayé de le faire changer, pour le bien de la petite, mais...
- Nyme, tu ne pouvais pas y arriver, il est ce qu'il est.
Gweenie s'avança vers elle et lui rendit le bébé toujours endormis bien au chaud dans ses couvertures. En regardant sa fille, elle repensa au regard de son époux sur la petite dès sa naissance. Il n'avait été un rien différent, s'éloignant moins d'elle et de leur fille. Le premier mot de la petite avait été un mot en fourchelang, le visage de Tom s'était alors rempli de fierté. Mais il n'avait pas changé même avec la petite son obsession du pouvoir était rester la même. À son plus grands désarrois.
CRACK!
Le frère et la sœur, regardèrent vers la porte du salon qui était restée ouverte, pour surveiller une quelconque intrusion. Trois silhouettes, s'avançait vers la porte, Nymphadora se colla contre la cheminer, Alaric se mit devant elle, sa baguette brandie vers la porte, la petite s'était réveillé et commençait à gémir et à gesticuler de plus en plus. L'elfe de maison, c'était caché derrière son maître et regardait la porte complètement terrifier. Nymphadora pensa en elle-même :
" Pitié, faites que ce ne soit pas des mangemorts... Faites que ce ne soit pas cette folle de Lestrange..."
La première silhouette apparût à la lumière des lampes à gaz. Il ressemblait à Alaric mais en plus jeunes la seule différence était ses cheveux, ils étaient noirs et ses yeux marron, il portait la tenue que chaque partisan de Voldemort portait, la fameuse tenue des mangemort mais sans le masque. L'homme entra, dans la pièce pour laisser passer une femme âgée avec une longue robe de sorcière vert émeraude, de fine lunette sur son nez, son chapeau de sorcière sur le côté et son chignon serrer lui donnaient une apparence sévère. Derrière elle, il y avait un autre homme, ses cheveux et sa longue barbe couleur argent, le poids de l'âge marquait son visage et son regard derrière ses lunettes en demi-lune, sa robe de couleur pourpre, fit sortir l'elfe de maison de sa torpeur et courra dans la cuisine pour aller chercher le thé sans qu'on lui ait demandé quoi que ce soit.
- Pour l'amour du ciel, monsieur Hollowitz, baissez cette baguette, fit la femme à l'allure sévère.
Alaric s'exécuta.
- Désolé professeur McGonagall. Professeur Dumbledore.
Le professeur Dumbledore, avait un sourire bienveillant et se dirigea vers le double canapé et s'assit. Gweenie, revint avec la théière et commença à verser le thé dans les deux tasses vides. Le professeur Mc Gonagall s'avança et posa une main sur le dessus du divan. Prenant la tasse que lui tendait l'elfe, le professeur Dumbledore, en prit une gorgée. L'elfe regarda l'homme qui s'assit là ou quelques minutes plus tôt, Alaric s'était assis . L'elfe, regarda le jeune homme et s'approcha de lui.
- Voulez-vous du thé, maître Ezekiel? demanda l'elfe doucement.
- Non merci, Gweenie, répondit le jeune homme en lui caressant doucement la tête dans un geste doux. Tu es gentille.
Tandis que Gweenie s'éloignait, Alaric s'avança vers son frère cadet laissant Nymphadora à la vue de tous. Les deux garçons se prenaient dans les bras l'un de l'autre. Pleurant la mort de leur père.
- C'est donc vrai ! S'exclama Mc Gonagall sévère. Tu lui as donné un héritié.
- Ce n'est pas la peine de lui hurler dessus, professeur, s'empressa de conclure Dumbledore, ce qui est fait, est fait!
Dumbledore se leva du divan et s'approcha doucement d'elle.
- Puis-je? Demanda-t-il en montrant le tas de couverture qui gesticulait.
Nymphadora, tendit à contre-cœur son bébé. Dumbledore prit doucement l'enfant qui venait de se calmer et avait repris son sommeil là où elle l'avait arrêtée. Il fit quelques pas vers le professeur Mc Gonagall, qui le regardait sourire à cet enfant, peu commun.
- Professeur, voulez-vous prendre la petite? demanda Dumbledore.
Le professeur Mc Gonagall, prît l'enfant et son visage sévère se radoucit tout d'un coup.
- Elle est magnifique, dit-elle, J'ai eu si peur qu'elle...
- Ne lui ressemble, compléta Dumbledore. Heureusement pour nous, elle ne ressemble ni à un serpent, ni à un fantôme. Cela a dû être un soulagement, pour votre famille. Mais revenons à ce qui nous amène. Comme me l'a appris Ezekiel, Voldemort est tombé et j'ai entendu dire que votre père est mort pour protéger sa petite-fille de Bellatrix. Sachez que je suis sûr qu'elle ne s'arrêtera pas à cette tentative.
- C'est pour ça que je me suis proposé pour vous aider, dit Ezekiel. Je sais que la jalousie de Bella, va la conduire à sa perte. Si c'est le seul moyen de l'arrêter, et qu'elle soit enfermée à Azkaban pour protéger la petite, je suis prêt à risquer ma propre vie pour venger celle de notre père.
- C'est très noble de ta part, Ezekiel, fit Alaric. Mais tu n'as pas à le faire.
- J'ai déjà pris ma décision, fit-il imperturbable. C'est le seul moyen. La petite ira vivre avec Elliope et Robert et leurs enfants. Elliope a accepté d'éduquer ta fille pour la protéger d'elle-même.
- Mais Elliope ne me...
- Ne t'inquiète pas, elle sait que tu as fait ça pour nous protéger, dit Alaric avec douceur. Je suis sûr, qu'Elliope saura s'en occuper et puis elle ne sera pas seule pour veiller sur ta fille, il y aura moi aussi.
Inquiète-elle regarda sa fille. Sa crainte se confirmait, elle allait grandir sans ses parents pour veiller sur elle comme c'était censé ce passer.
- Nyme, une fois jugés, reprit Ezekiel, ils pourront prendre ta défense et essayent de finir à Ste Mangouste. Pour elle, pense à la petite. Tu veux vraiment qu'elle grandisse chez son oncle et sa tante comme le petit Potter. Conduis-toi comme une vraie Gryffondor, si tu ne veux pas que le sacrifice de Lily soit vain.
Nyme baissa la tête à l'entente du nom de son amie qu'elle avait laissée mourir. Ezekiel se dirigea vers le professeur McGonagall et prit sa nièce dans ses bras. Il fit quelques pas vers sa sœur, Alaric les rejoignit et regardèrent tous les trois la petite qui dormaient de nouveau paisiblement. Nyme se pencha vers le visage de l'enfant et lui donna un long baiser sur son petit front si doux et si chaud. Dumbledore, montra sa montre à Ezekiel qui comprit le signal et sortit avec le poupon endormi.
Dumbledore regarda Nymphadora qui pleurait doucement. Le professeur McGonagal avait pris son ancienne élève dans ses bras pour lui remonter le moral.
- Ne t'inquiète pas pour elle. notre sœur, prendra grand soin d'elle, dit Alaric avec douceur et regarda de nouveau vers la porte d'entrée qui se fermait.
- Comment s'appelle-t-elle, Nymphadora? Demanda le professeur Mc Gonagall
- Théodora... Théodora Merope Jedusor.
- Alors bonne chance, Théodora... murmura Dumbledore.
