Il était déjà arrivé que Ladybug et ChatNoir soient ensembles.
Une nuit, très tard, après un combat contre un akuma qui les avait poussés à courir, sauter et défoncer leurs limites physiques, Ladybug et ChatNoir s'étaient écroulés sur l'herbe tendre d'un parc, sous la pleine lune d'une chaude nuit d'été. Une heure plus tard, n'ayant pas utilisé leur pouvoir spéciaux respectifs, ils se réveillèrent de leur léthargie toujours en tenue pour se rapprocher l'un de l'autre, se câliner et finalement s'embrasser…
L'intensité du contact s'approfondissant, ils laissèrent la passion les prendre. Ils se voulaient l'un l'autre. Cette nuit-là fut leur première. Ils parlèrent ensuite d'être un couple et Ladybug avoua à ChatNoir la division et le trouble de son cœur. Et puis, il avait dû admettre qu'elle avait raison : des moments entre eux se feraient au détriment de leurs heures de sommeil déjà ridiculement courtes.
Il y avait aussi eu cette fois, la veille de son anniversaire, où il n'arrivait plus à contenir ses larmes. Il avait appelé sa Lady et elle lui avait offert le contact le plus intime avec son corps pour qu'il s'y réchauffe. Finalement, le jour anniversaire, Marinette et ses amis lui avaient fait la surprise de l'entourer.
Ils avaient eu une journée toute à eux durant le congé des fêtes, un ''rendez-vous galant.'' Adrien avait réservé une chambre d'hôtel avec un balcon et avait placé un écriteau sur la porte. Ils avaient passé la journée ensemble tantôt à jouer à l'extérieur et tantôt à l'intérieur pour se réchauffer. Ils avaient dîné dans la chambre de plats qu'ils étaient allé chercher, se faisant découvrir de délicates ou moins délicates fantaisies culinaires.
Cette journée avait un goût de bonheur et de plénitude. Ils auraient aimé qu'elle ne s'arrête jamais et ils avaient décidé de partager le lit pour la nuit. Cette nuit-là encore, ils partagèrent des plaisirs amoureux.
Lorsqu'il lui avait proposé de retenter l'expérience à la St-Valentin, elle lui avait répondu un ferme «N'importe quand, sauf ce soir-là!» Il dû admettre qu'elle avait encore une fois raison quand, à la fin du marathon des akumatisés de la St-Valentin, il était si fatigué en rentrant chez lui que même si elle s'était jetée à son cou, il aurait refusé. Donner des coups de bassin lui semblait douloureux.
C'est quelques semaines plus tard qu'il avait abordé LE sujet. Devenir un vrai couple. Ce soir-là était beaucoup plus calme que les autres et ils s'étaient assis pour regarder la lune derrière la tour Eiffel.
«On ne peut pas continuer comme ça! Nous prenons un très gros risque chaque fois qu'on a une relation. Je t'adore mon chaton. Ta présence sans la vie de Ladybug est irremplaçable. Mais tu ne fais pas et ne peux pas faire partie de mon autre vie. Et je ne peux honnêtement pas avoir un petit ami dans chaque vie!»
«Pourquoi voudrais-tu d'un autre garçon si je suis avec toi?»
«Nous avons si peu de temps à nous. Je n'ai pas envie d'être seule presque tout le temps. Ça, je le sais maintenant grâce à toi. Tu m'as fait découvrir le bonheur de partager mon intimité avec quelqu'un. Et... et il y a un autre garçon qui possède une partie de mon cœur.»
«Alors, que proposes-tu?» demanda-t-il amer, sachant que ses désirs seraient des ordres pour lui.
«On ne peut pas continuer à coucher ensemble dans la situation actuelle. Mais le jour où on attrapera le Papillon nos vies vont changer. On aura une vraie chance d'être ensemble. On pourra se présenter nos identités, faire partie intégrante de la vie de l'autre même parler à certaines personnes de nos identités de super-héros! Alors, ce que je propose…»
«Redoubler d'effort pour attraper le Papillon et attendre. J'imagine que je n'ai plus qu'à innocenter un par un tous les hommes de Paris. Bon sang, j'espère juste qu'il est dans cette ville!»
«T'auras plus le temps de dormir!» plaisanta-t-elle.
«Tu m'empêches déjà de dormir!» dit-il, retrouvant son flirt habituel.
La fin des études approchait, la plupart des examens étaient terminés. Un emploi d'été attendait Adrien avant le retour à l'Université à l'automne.
Étendu sur son lit en sous-vêtements légers, Adrien se rappelait leur première fois avec sa Lady. Cela avait eu lieu un an plus tôt.
Il avait soulevé la tête de l'herbe tendre où elle reposait en entendant un léger grognement près de lui. Le corps de sa Lady, élancé et tout en courbes reposait près de lui. Il s'était replacé sur le dos tout près d'elle, voulant lui laisser faire le premier geste. Ni tenant plus, il se tourna sur le côté pour lui faire face et plongea dans ses pensées. Akuma? Maison? Qu'est-ce qui était le pire? Le meilleur était certainement ce qu'il vivait là. Et ce fut encore mieux lorsqu'elle se rapprocha de lui, ne laissant qu'un espace négligeable entre leur visage. Espace qu'il combla avidement.
Il la recouvrit de son corps et l'embrassa. Caressant ses lèvres avec les siennes. Elle le repoussa au sol et se couchant sur lui reprit sa bouche. Elle jouait avec ses lèvres amoureusement. Il décida de lui faire une blague. Si elle n'aimait pas ça, elle ne se gênerait pas pour le lui faire savoir. Avec une clé de jambe, il la retourna au sol. Bloquant ses membres, il retourna à leur baiser. D'une main, il immobilisa ses poignets au-dessus de sa tête et de l'autre se mit à explorer son corps. Il parcourait son flanc de sa hanche à son aisselle traînant son pouce sur des endroits sensibles. Savourant chacune des expressions passant sur son visage avant de caresser l'intérieur de sa bouche avec sa langue.
Comme il avait alors ramener ses genoux au sol pour s'y appuyer, elle enserra ses cuisses autour de sa taille et le fit basculer au sol.
Elle se replaça pour s'étendre sur lui, ondulant et le caressant de son propre corps. Puis, elle se repositionna pour que leur entrejambe se caressent et leur langue aussi.
Comme la pression montait contre le bas de sa combinaison, il la bascula à nouveau, légèrement plus férocement. Elle se retrouva à nouveau au sol, les points levés au-dessus de sa tête. Troublée par leur position qui lui en rappelait précisément une autre, elle poursuivit sa reconstitution en ramenant son visage contre elle.
Il fut d'abord surpris que son baiser soit devenu d'un seul coup plus chaste et pudique. La surprise se poursuivit lorsqu'il sentit des larmes sur les joues de la jeune femme.
«Désolée, ça m'a…ça m'a rappelé un de nos baisers, celui où tu n'étais pas avec moi.» Délaissant les jeux amoureux, l'attitude du garçon se fit tendre. Il emmêla leurs bras et leurs jambes en se décalant pour ne la couvrir que de moitié. Puis, il reprit ses lèvres et la serra contre lui, pendant qu'elle enfonçait ses doigts dans l'épaisseur de ses mèches. Comme la pression revenait dans son entre-jambe, il osa prononcer les mots qui habitaient son cœur.
«Ma Lady, je…voudrais, je…te veux.»
«J'ai aussi très envie de toi. Co-co-comment est-ce qu'on pourrait…?»
«Il faut enlever notre transformation. Sans ça tu ne peux pas, n'est-ce pas? Et sur moi c'est juste trop bizarre sans retirer ma bague»
«Voyons voir ce que la magie a en réserve pour nous! Lucky Charme!» proposa-t-elle. Un bout de tissus rouge à pois tomba dans sa main.
«Mais elle disparaîtra lorsque tu laisseras aller ta transformation?» protesta-t-il.
Cependant que l'héroïne regardait autour d'eux. Les maisons étaient à une certaine distance mais elle vit une lueur rouge au loin. Attrapant son yoyo elle fut sur place puis de retour en un instant. Elle avait en main un napperon de tissus en lin, surement un objet décoratif. Elle l'attacha par-dessus son masque, lança l'autre objet dans les airs avec un «Miraculous Ladybug» et du coup les quelques dégâts qu'il y avait eu plus tôt dans la soirée furent réparés.
Ils se retournèrent dos à dos, retrouvèrent leur apparence secrète et retirèrent leurs vêtements ne gardant que ce qu'ils portaient dessous. Marinette portant les vêtements qu'elle avait fait elle-même et Adrien des originaux de la marque de son père mais sans logo. Lorsqu'il la reprit dans ses bras, elle lui dit :
«Je crois qu'ils y en a deux qui préféreront cela comme ça.»
«Ah oui! Ne te vexe pas mais, s'il ne s'agit pas de ta kwami, Plagg est dégoutté par tout ce qui ce fait en couple y compris les choses aussi simple que de manger une glace en amoureux.»
«Ce n'est pas une bonne idée, c'est dangereux ce que vous voulez faire» intervint un petit être rouge. Vous ne pouvez pas vous permettre de fabriquer un bébé maintenant, vous devez combattre le Papillon. Rien ne vous empêche de vous aimer sans créer une vie nouvelle.»
«Mais Tikki, ce n'est pas notre intention! Et ce n'est pas la bonne période pour ça, pour moi. C'est vrai qu'on a pas de protection mais on fera attention ce soir et j'irai demander quelque chose de plus efficace bientôt.»
«Oublie ça. Tant que tu porteras le pouvoir de la création il n'y a pas de moment où tu es moins fertile qu'un autre et peut importe la médication que tu pourrais prendre, ma magie en annuleras les effets.»
«Ne t'en fait pas Tikki, on en tiendras compte et on sera prudents.» la rassura-t-il «Personne ne nous force à faire quelque chose dont nous n'avons pas envie. De mon point de vue, prendre tes lèvres est déjà un miracle.» Assura-t-il en caressant celles-ci de son pouce. Les lèvres devant lui étaient rouges et vibrantes.
«Je, je suis bien prête à te satisfaire mais, je ne connait pas les mécanismes du plaisir, je n'ai jamais…C'est la première fois pour moi, désolée.»
«Ne le sois pas. Je préfère cela qu'autrement. J'avoue que je suis dans la même situation. Et pour le reste… commençons par des choses simples.» Elle était dans ses bras depuis qu'ils étaient revenus l'un vers l'autre. Relevant sa mâchoire du bout des doigts, il déposa un baiser sur ses lèvres délicieuses. «J'aimerais seulement pouvoir contempler ton regard! Il faut qu'on trouve de faux masques.»
«Je m'en occupe» répondit-elle. «Tu sais» poursuivit-il d'une voix teintée de désir, j'ai un fantasme. Quelque chose que je veux faire avec toi depuis des années.» Il observa la poitrine de la jeune fille alors que sa respiration s'accélérait. Elle portait un très joli ensemble brassière-dessous tout rose et bordé de crème.
Il souleva sa main et déposa un baiser sur le dos de celle-ci. Pour la première fois, elle le laissa faire complètement, se jurant de ne plus jamais l'en empêcher. C'était un simple baise-main (au départ) mais ses lèvres touchaient sa peau dénudée. Et comme il faisait ça si bien! Retenant sa main délicatement dans les siennes. Son baiser de déplaça ensuite vers le poignet, contourna le pouce pour redescendre enfouir les lèvres dans la paume.
Se redressant, il déposa ses lèvres sur son épaule et en caressa la peau nue. Il fit courir sa bouche jusqu'à l'autre épaule descendant jusqu'au haut de la poitrine mais pas plus bas.
Reprenant ses lèvres, il plaça ses bras autour de sa taille pour la serrer contre lui et elle plaça ses bras autour de son cou, qu'elle atteignait à peine. Se faisant, la poitrine de la jeune fille vint s'écraser sur la sienne tout en muscle. Délaissant ses lèvres un cour instant, il eu un point de vue particulier sur son décolleté. Il décida alors de retirer le vêtement de la jeune fille. Caressant les pointes du bout des pouces d'abord, sa langue prit le relais sur l'un d'eux pour en taquiner le bouton qui en était sortie. Elle arqua le dos et lui donna pleinement accès à ce qui le faisait soupirer de bonheur.
Il voulait tirer encore et encore plus de délicieuses plaintes de sa bouche entrouverte et se mit à parcourir et caresser parfois du tout des doigts parfois à pleine main toutes les parties de son corps qu'il pouvait atteindre, s'attardant sur les plus sensibles et accordant une attention particulière à celle qui devenait de plus en plus humide sous ses caresses.
Elle n'avait pas tenu le choc, il avait dû l'allonger sinon elle serait tombé à ses pieds…ou dans ses bras.
«Chat, je veux qu'on le fasse, du moins qu'on commence. Peu importe ce qui arrivera demain, ça, se sera réel. Ça nous transformera, comme une marque indélébile.»
«Oui, je veux ça moi aussi.» Le jeune homme retira la dernière pièce de vêtement qu'il restait à la jeune femme. Il positionna son visage entre ses jambes et accorda toute son attention focusée sur cet endroit. Il la caressa des doigts et du regard, ajoutant le concours de ses lèvres et de sa langue après un moment.
Lui-même était plutôt dur et jetant un regard vers le haut du corps qui ondulait sous lui, son membre finit de s'étirer. Comme elle dégouttait encore et encore, il s'enfonça lentement mais surement en elle.
Dès que la pointe s'était glissée en elle, elle était devenue muette et avait arquer le dos, vibrante de jouissance. Il atteignit le fond puis se retira tout aussi doucement s'immobilisant juste avant de retirer la pointe. Il se replongea en elle et lorsqu'il eut atteint le fond, elle le reteint en place d'une main sur ses hanches.
«Est-ce que je t'ai fait mal.» s'enquit-il concerné après un moment voyant qu'elle se détendait.
«Aucune idée! Mais j'ai adoré.» réussit-elle à dire cherchant son souffle.
La pression autour de son membre n'était plus la même réalisa-t-il. Elle ne «vibrait» plus autant. Par contre, elle était toujours aussi étroitement confortable et humide et chaude. Il ne bougea que quelques coups puis se retira, sentant la pression remonter.
«Garde les yeux fermés un instant, ma chérie.» Il lui retira le bandeau ayant lui-même fermé les yeux et le posa sur son propre visage. «Maintenant, c'est toi qui as le contrôle, je veux que tu me touches, que tu explores, que tu t'amuses…Tout ce que tu voudras bien me faire me plaira, tu veux bien essayer?»
«Oui, mais j'ai peur de te faire mal.»
«Sois douce, évite ce qui écorche la peau, la salive augmente le plaisir et si jamais tu me fais mal, je te le dirai tout de suite.» expliqua-t-il en réfléchissant.
Pour toute réponse, elle le fit s'allonger au sol. Il sentit qu'elle s'installait sur le côté, à hauteur de son torse.
Pour avoir embrasser sa paume un peu plus tôt, Adrien savait que la main de sa Lady n'était pas celle d'une personne qui passait ses journées à regarder sa manucure. C'était celle d'une femme manuelle. Une main musclée avec quelques coupures. La main d'une personne qui n'hésitait pas à travailler. Mais lorsqu'elle le parcourut, elle était d'une timidité émouvante. Sa main avait une délicatesse particulière qui lui était vaguement familière. Elle s'amusa d'abord à toucher ses bras et son torse comme s'il y avait longtemps qu'elle en avait envie. Il sentie un délicat contact aussi doux que du satin sur son bas-ventre et déjà il en éprouvait du plaisir.
Elle plaça une main sur son ventre et une sur sa cuisse puis il sentit son souffle chaud sur son membre pour ensuite sentir un premier contact plus frais qui se réchauffa rapidement lorsqu'elle le parcourut de sa langue. La sensation fut incroyable. Tout ce qu'il réussit à dire fut «Oui, encore» d'une voix faible et suppliante. Jamais encore n'aurait-il imaginer que la sensation d'une langue sur son sexe pouvait faire parcourir des frissons depuis sa petite orteil jusqu'à la racine de ses cheveux qui se dressèrent sur sa tête. Pour un peu, il aurait arraché le bandeau pour s'assurer que tout cela était réel.
Être entré en elle, sa Lady, lui avait donné un coup au cœur mais sa langue et ses lèvres sur lui c'était plus physique, moins émotif et plus…sexy, sensoriel, primale.
La première succion qu'elle lui fit fut délibérément lente et agonisante. Dans un réflexe, le bas de son dos s'arqua et son corps se tordit.
Comme sa langue recommençait à lui donner du plaisir, il sentit naître dans son bassin, un besoin intoxiquant. Néanmoins, il n'était pas certain qu'elle accepterait et il avait beaucoup trop peur d'elle pour aller contre la moindre de ses préférences.
«Ma Lady, je n'aurais jamais pensé, je veux dire, dans aucun de mes fantasmes, je n'avais envisagé cela mais, j'ai vraiment, une énorme envie de, de, de bouger en toi. De…me frotter sur ta langue. Me donnes-tu ta permission?»
Avec un mouvement de tête qui imposa des mouvements brusques à l'organe de ChatNoir et à ses mains de se cramponner à l'herbe sous ses doigts, Ladybug relâcha le sexe qu'elle avait en bouche et répondit «C'est d'accord, mais pas tout de suite, souviens-toi, c'est moi qui ait le contrôle sur toi chaton, et j'aime plutôt ça. Tu dois attendre mon signal pour le faire.»
Il accepta rapidement ses conditions d'un «À tes ordres, ma Lady.»
La femme de ses rêves recommença alors à le pomper copieusement. Quand sa respiration s'accélérait, elle reprenait les coups de langue. ChatNoir en était à un point où des sanglots sortaient de sa gorge et des larmes de plaisirs inondaient ses tempes. Il suppliait tour à tour pour qu'elle continu et qu'elle lui permettes d'atteindre la félicité dans un discours incohérent.
Elle lui permit alors d'avoir son fantasme et le signal en fut qu'elle plaça sa large main derrière sa tête parmi ses mèches noires défaites. Elle plaça sa propre main sur son bassin pour servir de frein et il put se donner à son plaisir. «Aaaaaah, Oooooooh, » articula-t-il en se glissant entre ses lèvres magiques, puis d'un « ummmmm » il relâcha sur sa langue et dans sa gorge ce qui lui causait tant de pression. Toute son énergie y passa aussi et il ne pu que rester au sol vidé émotivement et physiquement. Elle remonta pour le prendre dans ses bras et caresser ses mèches blondes dépassant du bandeau.
« Lorsque je t'ai vu la première fois» énonça-t-il calmement, «J'ai compris que tu serais la femme de ma vie. Mais aveuglément, je n'avais pas encore comprit que mon attachement était encore plus profond, une symbiose. Ne m'écarte pas de ta vie. J'ai trop besoin de toi. »
« Si le jour de notre rencontre, je t'avais demander en mariage, t'avais parler d'acheter une maison pour nos enfants, que nous ne devenions qu'un, m'aurais-tu demander d'attendre? » lui demanda-t-elle.
« Oui, je ne connaissais rien de la vie à cette époque. Je n'étais pas prêt. J'ai découvert la vie en commençant par le meilleur, et aujourd'hui je refais encore le même choix. Tu es la vie que je veux, mon amour, je te choisie encore. »
« Ce soir, j'en suis arrivé au point où tu étais à cette époque. Je te découvre comme je me découvre. Il y a d'autres options de vie pour lesquels je veux avoir le choix. Il y a…un garçon et une question de carrière internationale, des études à l'étranger. Je ne sais pas encore quelle vie je veux. Je ne suis pas prête à te dire « toujours ».
«T'attendre, c'est déjà être avec toi. Et si tu me laisses t'aimer, je suis le plus heureux du monde.»
