Auteur: Miyuki Kurigawa

Titre: Tire moi de ce mauvais rêve

Genre: heu ... +se tourne les pouces+ là est la question!

Rating: K+

Disclaimer: rien n'est à moi, tout est à Yuki-Senseï, hélas, je ne fait point d'argent avec ce que j'écris (ça se saurait si j'étais un écrivain renommé -o-" ) et elle n'a pas voulu me céder MON(y'en a qui ont encore des doutes+œil menaçant+) Riffel Raffit ni Owl. Alors, comme d'habitude, je vais bouder dans mon coin, en espérant que ça marche mieux qu'avec Takaya Senseï ... hem ...

Ouin.

En tout cas, j'espère que vous apprécierez mon premier essai sur l'univers deComte Cain, et God Child. (Vivement le 4, d'ailleurs, qu'a-t-elle bien pu faire que misère à mon Riffounet! A veux savoir)

NDA: De temps en temps, il se peut qu'à la place de "Comte Cain" apparaisse" Brailly Cain"... C'est une déformation de mon Word 97, je ne sais pas ce qu'il lui apris de remplacer tous les "Comte" par ce nom de famille, mais il l'a fait, et j'espère simplement qu'aucun n'a réussi à m'échapper. Tout du moins, je ne me souviens pas avoir rentré une correction automatique de ce mot par l'autre ... Encore toutes mes excuses pour cet incident -.-"

Tire Moi De Ce Mauvais Rêve


Prologue... Ou quand la nuit étrangle la raison


La pièce était sombre. Il se voyait nettement dormir, petite silhouette fantômatique dans les fins draps de son lit. Il avait agrippé son oreiller à deux mains, et plongé dans de profonds songes, sa respiration était longue, profonde et régulière; son corps au repos, se tenait immobile. Un souffle de vent suintait à travers la fine ouverture de volets à peine rabattus, et de temps à autre la zébrure bleue d'uné clair dans le coton gris du ciel éclairait sa pâle figure. Rien ne troublait la quiétude du lieu. Une quiétude qui semblait palpable, une quiétude... mortuaire ...

Cain ouvrit ses papillons dorés, comme soudainement réveillé par un bruit anachronique. Un bruissement de cape, au moins un tissu feutré, sur sa gauche, près de sa porte.

Quelqu'un se trouvait là.

Il agrippa férocement le canon de l'arme qui se reposait sous son oreiller.

Comment se faisait-il qu'il n'ait pas entendu l'ouverture de sa porte!

Le tonerre commença à gronder au loin, de plus en plus menaçant.

Cain était certain d'avoir perçu le grincement d'un violon.

Le bruit feutré se faisait régulier et se rapprochait sournoisement de lui. Cain se redressa un peu plus sur sa couche, ses deux mains enserrant fermement le revolver.

Il ne voyait pas son ennemi, il lui était impossible de tirer à l'aveuglette, chaque balle était précieuse.

Il faudrait ... de la lumière! Le temps d'attraper sa bougie, l'Autre serait tout près, il n'y avait pas une seconde à perdre...

Une Réponse fut donnée à sa requête, un éclair plus violent encore scintilla dans la pièce et éclaira fugitivement le visage de l'inconnu.

- Riff! Laissa échapper Cain avec soulagement.

Mais le majordome ne partageait pas son ravissement.

- Maudit soit-tu, démon!

Cain eut soudainement peur. Effrayé comme un enfant, il se revoyait soudainement rajeunit de plusieurs années, apeuré comme un lapin, coincé dans une impasse, incapable de fuir. Sa mains errait si fort le revolver que celui se débattait dans sa main et essayait de se dépêtrer de cette poigne de fer en gigotant de toute part.

Sans prévenir, deux mains blanches glaciales attrapèrent le cou du jeune comte et l'enserrèrent fermement. Le comte ne put retenir son index qui pressa la détente.


Le bla-bla de MiyuKu:

Hé, ce n'est qu'un prologue, na! Hee hee, je suis assez fière de ce que j'ai pondu, et en plus j'ai de l'inspiration pour la suite, et en plus j'ai le temps de l'écrire, c'est'y pas fantasmagorique, tout ça? Ok j'arrêtes. C'est la première fois que je me lance dans l'écriture d'une fanfiction sur Comte Cain, et je dois avouer que l'expérience n'est absolument pas déplaisante, en tout cas, ça change radicalement de Furuba!

Une petite précison: j'ai essayé d'écrire ce prologue avec Nina Hagen qui me braillait dans les oreilles son americain reggae, je vous promets que ce n'est pas triste ... D'accord, d'accord, je m'en va, rôh ...

A la prochaine :D